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orlandolove
134 abonnés
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2,0
Publiée le 16 mai 2016
Alors qu'on aurait pu craindre un traitement bourrin de cette incroyable histoire de sauvetage, l'ouverture du film, en mode romantique, nous rassure un peu : un indéniable soin est apporté aux personnages. Mais dès lors que la mission de secours s'enclenche, l'intrigue fait rapidement du surplace et on se surprend à bailler gentiment.
Un film de naufrage qui ressemble pas mal à ce à quoi on peut s'attendre. C'est très rythmé, haletant, et assez spectaculaire. La façon dont c'est filmé donne l'impression au spectateur d'être également pris dans la tempête. Ce n'est finalement pas décevant, mais il n'y a pas non plus de grosses surprises. L'histoire reste simple, on peut avoir quelques difficultés à rentrer totalement dans le film, au début. Mais il réussit à captiver totalement notre attention lorsqu'il est vraiment lancé. Le taux d'adrénaline grimpe alors chez le spectateur, totalement absorbé dans l'action du film. Ce n'est pas révolutionnaire, mais c'est très efficace.
Ambitieux mais problème, la réalisation pêche par un irréalisme des conditions de mer remarquable. Être capable de parler comme il le font est impossible. Les situations sont absurdes non pas par l'histoire mais la retranscription. Faire ça après tant de bons films sur des tempêtes, et en 2015/2016 quand tant de videos sur internet montrent à quoi ressemble une mer déchaînée... Pire le manque de réalisme du passage de la barre. Phénomène peu connu des non initié est d'un raté remarquable. Tout le monde n'est pas breton, et si vous aimez les belles histoires "vraies" hollywoodiennes, celle ci est peut-être pour vous. Mais au prix de la place, offrez vous une bonne bouteille de vin, vous aurez un mal de mer moins amer.
J'ai beaucoup aimé ce film, simple, réaliste et prenant. J'ai surtout aimé les personnages, pas excessifs, normaux et joués comme des gens normaux, pas comme Bruce Willis.
Histo-drame action très scénarisée (trop ?). Le coté héro malgré lui transpire trop ici. Par contre de bon FX, interprétations beaux gosses agaçantes. 2/5 !!!
L’histoire est passionnante et est reconnue comme l’un des plus gros sauvetage en mer. Alors qu’une immense tempête faisait rage en 1952, des gardes côtes ont risqués leur vie pour porter secours à l’équipage d’un bateau pétrolier qui coulait. Au total, 32 personnes sur 33 vont être sauvés. Prenant le sujet pour scénario, Walt Disney s’est emparé de l’histoire pour en faire un film catastrophe. Effectivement, les séquences d’effets spéciaux sont prenantes et nous en mettent pleins la vue. C’est pour cette expérience en mer que The Finest Hours vaut le déplacement. En effet, Chris Pine, Casey Affleck et Ben Foster n’apporte pas de plus-value au film. L’histoire d’amour irrite un peu et les dialogues n’ont rien de brillants. Mais connaître la production nous rappelle que nous ne sommes pas chez Ron Howard. The Finest Hours est donc un long-métrage sans saveurs mais qui reste un spectacle visuel remarquable. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Le fait que ça soit une histoire vraie et qu'on connaisse la fin dès le début n'est pas forcément gênant à condition qu'il y ait une tension dramatique et une sorte de suspens autour du sort de certains personnages comme ça pouvait être le cas dans le film "The 33" sur les mineurs chiliens seulement, ce n'est pas le cas ici et c'est ce qui fait défaut au film. Le traitement de l'histoire est trop simple et manque de profondeur, on ne doute jamais de la situation, car il n'y a pas de rebondissements et l'on ne s'inquiète pas non plus pour les personnages. Le film est bien réalisé avec des scènes en mer très immersives et spectaculaires seulement tous ces retours sur terre tout ça pour continuer d'alimenter l'histoire d'amour casse l’immersion et le rythme du film qui n'est déjà pas très élevé. Au final, c'est un divertissement correct, mais trop inconstant pour être réellement captivant. Cette histoire méritait mieux.
Parce que c’est un véritable acte héroïque qu’a accompli Bernie Webber et son équipe, son histoire méritait d’être dévoilée à tous. The finest hours sait se montrer impressionnant visuellement lorsqu’il nous entraine sur les flots surtout quand il se focalise sur le sort du SS Pendleton mais la tension retombe de manière brutale lorsqu’on remet pied à terre. Ceci est notamment vrai dans la première partie où se développe la relation Miriam / Bernie pour renforcer l’aspect dramatique du scénario. Une petite déception aussi car malgré son beau casting, les personnages incarnés par Ben Foster et Eric Bana sont trop effacés. On reconnaitra le mérite de vouloir rendre hommage à un vrai héros mais ça reste au final un film assez banal.
"The finest hours" est un film catastrophe sympathique. Tiré d'une histoire vraie, on se laisse embarquer dans ce sauvetage de l'extrême. A la fois spectaculaire et émouvant, le film réussit à nous divertir.
Le réalisateur a oublié le vent, ils sont au coeur d'une énorme tempête mais les cheveux restent figés. On arrive pas à y croire. Ce film vaut tout juste un téléfilm.
Film de genre comme on faisait à la fin des années 70's à grands renforts d'effets spéciaux à trois balles. Tout est en numérique maintenant et comme on le sait, ça perd, malgré tous les efforts déployés, de sa poésie. Et trop c'est trop même dans les plus petits détails. Le film manque d'enjeu cruellement. Guère de suspens.
"The Finest Hours" est inspiré d’une histoire vraie : durant l’hiver 1952, une embarcation légère des gardes-côtes américains a secouru un pétrolier coupé en deux par la tempête au large du Massachussetts.
"The Finest Hours" est un film-catastrophe avec tous les passages obligés du genre : le cadre lentement posé, la tempête qui approche puis se déchaîne, la mort/le sacrifice de tel ou tel personnage secondaire (noir de préférence), le happy end. Les naufragés se déchirent en attendant la mort et les sauveteurs se surpassent en leur sauvant la vie. Mais comme dans "Titanic", on ne peut pas se contenter de regarder un bateau couler, on enrichit l’histoire d’une romance entre un jeune garde-côtes et une accorte demoiselle (interprétée avec joliesse par Holliday Grainger, déjà remarquée dans The Riot Club).
Avec son lot de semi-stars en mal de reconnaissance publique : Chris Pine (dont le patronyme réduit ses chances de carrière en France) Casey Affleck (le frère de) et Eric Bana (désormais trop vieux pour jouer les rôles de jeunes premiers), "The Finest Hours" est une grosse production hollywoodienne parfaitement rodée qu’on regardera sans déplaisir au cinéma ou dans son salon, avec un sachet de pop-corn ou une pizza sur les genoux.
Une histoire vrai à laquelle ont ne croit pas un seul instant tellement les mises en scènes et la réalisation sont bâclé. Une histoire d'amour bateau... Avec des acteurs tout droit sortie de série B. Chris Pine à le charisme d'une huître. Je ne me suis absolument pas senti transporté par l'ambiance du film, c'est simple je n'ai pas réussi à y croire tout simplement. Visuellement au début quelque beau effets spéciaux mais sa s'arrête ici car la suite se dégrade au fur et a mesure que le film avance. La bande son en revanche est bien présente, le fond sonore est fort, donne l'impression d'y être presque... Mais vide de contenus malheureusement. Le scénario est tiré de faits réels très bien mais spoiler: Les passages avec le bateau de secours qui fait de la plongé sous-marine c'est bof et en plus mal fait... Les naufragés qui saute dans le bateaux chacun leur tour c'est presque une scène à prendre au second degrés. Le moment ou les voitures des proches/amis/collègues arrivent sur le port, je pensais que l'idée était justement de se rassembler pour allumer leurs feux de routes tous ensemble pour faire office de phare mais en fin de compte non cela paraît être révolutionnaire que la fiancé commence par les allumés. De plus trouver le bateaux des naufragés sans compa/boussoles/radar ou quelconque objets pour leurs permettre de les localiser je n'y croit pas non plus. Ni le fait qu'ils arrivent à tous rentrer saint et sauf de la même manière sur leur petit bateau de 8 mètres de long... Et j'en passe ! Tout simplement grossier.