Derniers Avis : The Finest Hours - Page 5

En 1952, au large du Massachusetts, par une terrible nuit de tempête, un pétrolier de casse en deux et une moitié dérive avec les rescapés de l’équipage à bord, tous promis à couler dans les heures à venir. D’après l’histoire vraie du plus grand sauvetage en mer en petite embarcation, un jeune garde-côte et son maigre équipage à bord d’un petit remorqueur à coque insubmersible, brave la tempête et se porte au secours des 32 naufragés, sur une coque qui n’en compte plus que 8 vacantes.
Le principal intérêt du film se réduit hélas à la technique, aux effets spéciaux et à la mise en scène spectaculaire des opérations les plus délicates qu’ont dû effectuer chacun des deux capitaines : franchissement de la barre aux vagues gigantesques par un petit esquif une nuit de tourmente, la direction d’un demi-bateau aux machines agonisantes dans le but de le faire échouer sur un écueil pour ne pas qu’il coule trop vite, et surtout les scènes colossales d’une haute mer rugissante.
L’essentiel par contre n’est qu’un conglomérat d’ambiances hollywoodiennes bateau, prévisibles et ennuyeuses, aux péripéties théâtrales et téléphonées, sous fond de sentimentalisme beat et praliné, et assourdies par les sempiternels violons, clarinettes et fanfares.

C'est simple on y croit pas une seconde,tout est beaucoup trop facile dans ce film trop propre on s'attache pas aux personnages vu qu'ils ont rien a raconter et la pseudo histoire d'amour pour combler 2H et vraiment du n'importe quoi

Tiré apparemment d'une histoire vraie (pas vérifié, mais en ce moment je vois beaucoup de films "tiré d'une...", chouette je raconte ma vie), The Finest Hours a le mérite de son casting.
Plutôt etoffé coté célébrités, ce qui n'est pas gage de bon film, TFH fait bien son job.
Le divertissement est au rendez vous, même si certaines séquences sont vraisemblablements là pour tirer queleques larmes et d'autres pour montrer le courage Américain, mais on n'est jamais pris à soupirer et cela passe plutôt bien.
Les effets sont bons, ainsi que les acteurs et la réalisation.
A conseiller pendant cette période de famine cinématographique.

Quelle déception ! Oui, je suis déçu. Déçu, déçu, déçu. Déçu de ne pas avoir vu cette production disneyenne sur les grandes toiles des salles obscures, avec le son qui va bien avec. Car le spectacle en valait la chandelle : pour porter à l’écran cette histoire vraie, les scénaristes, se basant sur le roman éponyme de Michael J. Tougias et Casey Sherman et sur le témoignage des survivants, nous content par l’intermédiaire de Craig Gillepsie l’un des plus grands sauvetages en mer de l’histoire maritimes des Etats-Unis. Le budget alloué est important, et a été bien utilisé dans les décors, les prises de vues, et les effets spéciaux. S’inspirant plus ou moins de la mise en œuvre du célèbre "Titanic" de James Cameron à propos de ce sauvetage retentissant, les images ont été prises à la fois en pleine mer et en bassin (construit pour l’occasion) où les comédiens ont joué dans une eau glaciale. Le résultat est confondant tant les eaux déchaînées sont impressionnantes. On se croirait presque pris au piège nous aussi… sauf que parfois, on se demande : car on a droit aussi à quelques curieux moments d’accalmie, certes aménagés pour installer les moments d’émotion spoiler: , comme la découverte du pétrolier, ou la mort d’un membre de l’équipage
. La différence est telle d’un plan sur l’autre qu’on ne peut d’ailleurs que le remarquer, ce qui enlève beaucoup de force à ces émotions. Et c’est presque regrettable d’avoir ces petits moments car ces accalmies cassent le rythme, et je crois me rallier à la plupart d’entre vous, chers lecteurs et chères lectrices, pour dire qu’on aurait encore plus aimé de rester pris par ce sauvetage improbable, de rester concentré sur le sujet comme a dû l’être l’équipage du CG36500, promues véritable coquille de noix au beau milieu des éléments déchaînés. Dans des conditions comme celles-là, pas une minute n’était à perdre devant l’urgence de la situation, et les conditions épouvantables demandaient une concentration de tous les instants. Mais le cinéma américain a souvent beaucoup de mal à ne pas tomber dans la sensiblerie, quel que soit le moment. Côté casting, on louera le charisme de Casey Affleck dans la peau du mécanicien au flegme presque britannique, et qui aura fort affaire face à la difficulté du moment bien sûr mais aussi face à ce vent de panique plus ou moins retenu insufflé par Ben Foster en la personne de Richard Livesey. Toujours côté casting, nous retrouvons quelques têtes bien connues, habituées le plus souvent aux second rôles comme Eric Bana, Graham McTavish, ou encore Abraham Benrubi. Mais nous retrouvons surtout en haut de l’affiche Chris Pine pour interpréter le personnage central du sauvetage, à savoir Bernie Webber, visiblement en proie à bien des questionnements et dénué de confiance en soi, trahis par un regard fuyant, voûté comme il est par ce qu’on suppose être un douloureux passé. Cette psychologie en total contraste avec ses fonctions lui fait perdre la vedette au profit de Casey Affleck car c’est bien lui qui s’en sort le mieux. Et puis nous avons Holliday Grainger, très convaincante en femme amoureuse qui sait ce qui veut, affublée d’une coiffure typique des années 50. Par ailleurs, on notera les paroles plus ou moins drôlesques des chansons de marins, comparables aux chansons de militaires dont les paroles frisent aussi quelquefois le ridicule. La musique de Carter Burwell passe presque inaperçue, éclipsée par le spectacle proposé par les effets visuels, bluffants de réalisme. Donc oui, c’était indéniablement un film à voir au cinéma, pour le plaisir des yeux et des oreilles. Pour le reste, il manque ce petit supplément d’âme qui aurait fait sortir ce film d’une relative banalité pour le propulser tout en haut du box-office. Cependant, cette relative banalité, comme je me plais à l’appeler, permet d’aménager une ambiance plutôt lourde, où chaque coup de vent, chaque coup de butoir donné par l’océan, chaque grésillement de la radio est source d’inquiétude. En tenant compte de tout ce que je viens de dire, j’hésite franchement entre un 3,5 et un 4. Tout n’est pas parfait, mais c’est loin d’être raté. De plus, le scénario parait improbable, mais il n’y a rien à redire là-dessus puisque "The finest hours" est basé sur des faits réels : en se renseignant un peu, on s’apercevra que les principaux faits relatifs à cette catastrophe maritime ont été respectés. Reste le final, émouvant spoiler: , portant aux nues la solidarité entre marins
. Allez hop, j’ai décidé : ce sera un 4/5.

Un film qui aux premières images vous ennuie pour finalement vous emmener avec les sauveteurs en plein tempête pour aller au secours d'un pétrolier; Le réalisme est saisissant.
PLV : pour l'instant le meilleur film de 2016

C'est l'histoire d'un sauvetage en mer lors d'une tempête spectaculaire, Walt Disney sait raconter ce genre d'histoires et visuellement ça claque bien, de beaux effets. Mais le rythme est trop lent et C.Gillepsie joue trop la corde trop sensible qui fait chavirer le film dans une niaiserie sentimentale. Un peu old school et pas complètement convaincant.

Un Disney sur le sauvetage en mer d'un grand nombre de marins par une poignée de garde-côtes du Massachusetts en 1952, au péril de leurs vies. C'est avant tout un film familial facile à comprendre pour les petits, sans leur faire trop peur, de belles images avec des grosses vagues pour tenir le public en haleine. Pour les parents il y a aussi une histoire en parallèle avec la petite amie du garde-côte héroïque Chris Pine. Pour le coté didactique, Disney illustre les valeurs morales de notre société, délivrant un message sur la persévérance, l'abnégation et l'altruisme, reprenant l'idée "un pour tous, tous pour un".

J'ai vu un film... impeccable dans sa réalisation et qui, bien que sans surprise, réserve une bonne surprise au spectateur... C'est solide, construit, rigoureux... Une vraie machine rodée et éprouvée... Les personnages sont bien campés, les sentiments humains bien forts, et on découvre le destin d'un capitaine et de son équipage pris dans la tourmente, et la ténacité d'un garde-côte qui est là pour les sauver tous, au péril de sa vie et de celle de son équipage.Ce film aurait pu être fait il y a qq années, mais la techno lui redonne beaucoup de saveur aux "classiques" films d'aventure... La musique est également particulièrement réussie... Bilan, on passe un bon moment et on se laisse porter par les flots...

the finest hours permet de constater que les studio Disney varie de plu en plus ses films.
La on se retrouve avec un film d'action tirè d'une histoire vrai bien réalisé mais qui manque de suspense,on devine trop facilement le dénouement.

Que de progrès visuels depuis le célèbre film "Tempête" ! Quoique un peu longuet parfois (les 1h42 font l'effet de 2 heures), les scènes du sauvetage sont remarquables, soyez prêt à avoir le mal de mer depuis votre fauteuil. De plus il s'agit d'une histoire vraie, ce qui rajoute efficacement l'intérêt à cette aventure maritime. Certains personnages intéressants manquent de profondeur, c'est dommage car la mise en scène est très bonne et ceux ci font l’intérêt du film. Le scénario "catastrophe" n'apparait qu'en deuxième partie mais sa mise en place, dans la première partie, est tout aussi importante. Un film voir !

« The Finest Hours » est un très bon film dramatique, offrant la particularité d’être inspiré d’une histoire vraie. Le scénario est bien écrit, identifiant clairement le caractère de chaque personnage. Le travail des acteurs est plus que correct, notamment de la part de Chris Pine et de Casey Affleck. On peut saluer le travail concernant les décors, les costumes ainsi que les véhicules afin d’immerger pleinement le spectateur dans l’époque des années 1950. Les effets spéciaux participent grandement à l’intrigue et à la tension qui règne tout au long de cette histoire. Un film a à voir, sans hésiter …

Le scénario est mollasson. L'histoire du sauveteur est finalement assez inintéressante et certaines scènes sont ainsi de trop.
Deux héros dans ce film, aux profils différents, aux méthodes différentes, mais au courage identique.
Les scènes d'action et effets spéciaux sont globalement une grande réussite.
Le suspens est justement dosé.
Un bon film.

Ce film est vraiment sublime, ce qui est fou c'est que c'est une histoire vrai !!! Il est tellement poignant que les deux heures de films ne se font pas resssentir.

Un blockbuster relativement modeste, cela fait plutôt du bien finalement. Pas trop de pathos, pas trop d'intrigues parallèles inutiles, pas de héros improbable mais des hommes ordinaires qui font preuve d'un courage extraordinaire, pas trop de patriotisme dégoulinant, un Chris Pine qui décidément s'améliore vraiment au fil du temps... Bref, c'est classique, dans le bon sens du terme. Deux seuls gros bémols : c'est visuellement douteux et la musique est bien trop appuyée.

4/5 Recette d'un bon film de l'action, de la bravoure, un peu de sentimentalisme et le tour est joué.