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Un visiteur
4,0
Publiée le 31 août 2014
Retrouvailles dans le sud autour de Marseille pour Ariane Ascaride - toujours extra - et ses amis. On dit amis maintenant car avec JP Darroussin, G Meylan, bien sur R Guédiguian, mais aussi de nouveaux et quelle actrice A Demoustier (Elle promet beaucoup). Souvenez vous "les neiges du Kilimandjaro" en 2011. Beau film avec des photos magnifiques de l'estaque. Simple, mais fort et plein de Bonheur. Bon scénario, très bien porté par cette bande fétiche et attachante. **
Un film affligeant, des dialogues prévisibles et ennuyants et une philosophie à deux balles de bout en bout. J'ai beaucoup aimé quelques autres films de Guédiguian, mais là c'est juste pas possible. Et pitié, qu'il ne s'associe pas à Fellini en plus...depuis quand n'a t-il pas regardé 81/2?
Publiée le 31 août 2014 ( par Michel Crotti ) Retrouvailles dans le sud autour de Marseille pour Ariane Ascaride - toujours extra - et ses amis. On dit amis maintenant car avec JP Darroussin, G Meylan, bien sur R Guédiguian, mais aussi de nouveaux et quelle actrice A Demoustier (Elle promet beaucoup). Souvenez vous "les neiges du Kilimandjaro" en 2011. Beau film avec des photos magnifiques de l'estaque. Simple, mais fort et plein de Bonheur. Bon scénario, très bien porté par cette bande fétiche et attachante. **
J'avais adoré le précédent Guédiguian (les Neiges Kilimandjaro), l'humanité qui s'en dégageait, et j'ai été assez déçue par celui-ci. Certes on a toujours plaisir à retrouver ses acteurs fétiches, le film ne manque pas de charme, mais je n'ai pas été touchée et me suis même un peu ennuyée. On sourit parfois (peu) devant des situations un peu incongrues mais l'émotion ne prend pas.
Très joli conte de la bande à Guedigian , mais un peu moins fouillé que ses dernières oeuvres , néanmoins le film nous emmène aux gré du mistral dans des coins inconnus de Marseille, un bon moment c'est déjà bien !
superbe film où de très belles images et les plus belles chansons de Jean FERRAT nous entraînent dans une jolie poésie, c'est très original, très profond et remarquablement interprété , en particulier par Ariane superbe dans ce rôle !
Ariane a fait un rêve : le jour de son anniversaire, toute sa famille lui fait faux bond. Elle en profite pour faire une petite fugue qui la conduit sur les traces d’une autre famille, celle du cinéma de Guédiguian ! Au Café l’Olympique, au creux d’une calanque, Ariane Ascaride retrouve sa bande, touchante et un peu gauche. Comme Gérard Meylan aubergiste au grand cœur et Jean-Pierre Darroussin, aussi bourru en chauffeur de taxi qu’en metteur en scène Il y a encore Jacques Boudet en pseudo-écrivain américain et l’ancien gardien du Muséum pour qui la mort n’est digne qu’à travers la sépulture. Jean Ferrat est aussi convoqué en chansons, ainsi qu’une tortue moraliste pour bien nous faire comprendre qu’on est dans la fantaisie. A leurs côtés, Ariane va nous rappeler quelques vertus cardinales du cinéaste de l’Estaque : fidélité aux idéaux, tolérance aux comportements, solidarité de classe… Même si depuis les Neiges du Kilimanjaro, Guédiguian a perdu quelques illusions militantes, sa petite musique est toujours plaisante. Mais à force de répéter la même chose, au même endroit, avec les mêmes personnes – avec repas de groupe, sorties en mer - cette petite musique fait aussi rengaine. C’est la limite du film qui tourne en rond et ne dit pas grand-chose. Du coup ce fil d’Ariane est un peu ténu et la fantaisie plus légère que poétique.
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3,5
Publiée le 5 septembre 2020
Un réalisateur de cinéma a-t-il jamais composé une Saint-Valentin romantique plus élégante à sa femme que Robert Guideguian ne le fait ici. Et jamais une femme n'a été plus méritante que la captivante Ariane Ascaride. Elle travaille ici avec deux acteurs de premier plan de longue date, Gérard Meylan et Jean-Pierre Darroussin et ils sont comme toujours exceptionnels. Mais c'est le film d'Ascaride et elle le saisit avec les deux mains et les yeux écarquillés comme un enfant saisirait une bulle de savon colorée. À maintes reprises Robert Guédiguian filme ce beau visage et son sourire qui pourraient éclairer une petite ville. Heureusement libre du commentaire politique qui a tendance à imprégner son œuvre. Ce film est un petit plaisir a déguster...
On reconnaît évidemment la touche Guédiguian et on ne s'éloigne pas beaucoup de ses thèmes favoris. C'est un film que l'on peut aller voir avec plaisir, et la fin a de quoi surprendre.Je le reverrais volontiers. C'est un film plein d'humanité.
Pathétique et ringard! on s'ennuie d'un bout à l'autre. Des banalités assénées lourdement. A force de vouloir faire passer le message, on n'y croit pas plus que les acteurs eux mêmes qui ont l'air de se demander ce qu'ils font là. Où est passé le grand cinéaste de Marius et Jeannette?
J'ai beaucoup aimé ce film, je l'ai trouvé plein de fraicheur, mettant en avant des rapports humains simples et bons ; je pense que c'est l'une des raisons pour lesquelles j'ai apprécié de voir ce film en plus du fait qu'il pointe du doigt un des problème qui empêche à beaucoup de personnes d'aller à l'aventure sans avoir peur des conséquences de leur choix (et j'en fais partie) : celui de se mettre des barrières futiles et plutôt mensongères, des barrières surtout mises en place par la peur de l'inconnu et/ou de l'échec. Je trouve que ce film donne une bonne leçon de vie, une leçon de sagesse qui plus est sans prétention.
Petit Très petit film français sans réelle ambition. Pas très bien joué. On sent que le réalisateur veut démontrer quelque-chose mais on comprend pas trop quoi ou alors c'est trop lourd et je suis passé au dessus ... les seconds rôles sont au niveau de "plus Belle le Vie" Seul Daroussin s'en tire assez bien ... Ascaride est une caricature d'elle même ... N'est pas Pagnol qui veut ...
Les films de Guediguian s'essoufflent, et "Au fil d'Ariane" est le plus mauvais que j'ai vu, hormis les acteurs Ariane Ascaride et Jean Pierre Darroussin, Guediguian perd le fil....
Beaucoup de bonnes choses dans ce film plutôt poétique et visuellement réussi, malheureusement cette soupe moraliste servie par des français petits bourgeois donneurs de leçons est indigeste.