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désolée mais franchement je ne pouvais pas mieux noter! Les acteurs sont bons mais c'est nunuche à un point pas possible entre la tortue qui parle le gardien de nuit à coté de la plaque etc etc j'ai quitté la salle avant la fin dommage!
Fritz L
Entre cinéma et théâtre, le lien est parfois ténu… Robert Guediguian, en faiseur d’histoires le sait parfaitement. Il nous entraine « Au fil d’Ariane » dans une fantaisie bigarrée à l’accent chantant de Marseille. Ariane, épouse et mère servile décide, le jour de son anniversaire, sur un simple coup de tête, de prendre le large et de partir à l’aventure. Pas bien loin d’ailleurs, juste histoire de quitter le centre de Marseille et se retrouver dans un univers pittoresque dont les Calanques en sont le décor. Elle y croisera des personnages hauts en couleurs et vivra quelques péripéties improbables et souvent formidables. Ici, pas de minautor, cette petite expédition relèverait plus d’Alice au pays des merveilles. Toutefois, le film ne tient pas toutes ses promesses et traine parfois en langueur… Ce n’est pas la faute à Arian Ascaride, rayonnante et touchante de bout en bout. Si nous sommes ici dans le domaine de la fable, Guediguian en oublie les principes : être concis, incisif et caustique. A force de vouloir se faire plaisir, ou faire plaisir à son actrice de toujours, il en ajoute parfois trop et le film perd en rythme. Toutefois, « Au fil d’Ariane » est une joile comédie à ne pas bouder, bien au contraire…
traversay1
On l'aime bien engagé au-dessus des oreilles, Robert Guédiguian. Avec l'accent marseillais en plus. Qu'il lui ait pris l'envie de tourner une fantaisie qui se déroule comme dans un songe n'est pas répréhensible. On peut parfois vouloir aérer son cerveau et ne pas toujours militer pour un monde plus juste et moins cruel, à la fin c'est épuisant. Très bien, mais le cinéaste est parti dans l'aventure avec un scénario volatil et linéaire faisant entière confiance à ses comédiens, le plus souvent en roue libre, hormis Ariane Ascaride, toujours juste. Certes, quelques effluves marines nous parviennent aux narines et des bribes de poésie s'infiltrent dans le film. Point assez pour prendre un vrai plaisir à cette échappée belle qui semble aller nulle part. Une parenthèse dans le cinéma de Guédiguian ? On l'aurait aimée un peu plus enchantée.
Et voilà " la petite famille Guédiguian" reconstituée dans son cocon marseillais! il en sort un film de copains mignon, plaisant, divertissant vu avec plaisir mais sans lendemain qui chante: on les aime bien tous, à commencer par Ariane Ascaride, mais cette adorable fantaisie cinématographique a la limite de ses ambitions.
Mon Dieu, que le temps m'a paru long à regarder ce film, quelle déception... Un ennui total.....
Mouais, pas mal oniriqque tout de même. À la Guidiguian. On se laisse mener, Marseille, l'esta que, l'accent... Sans doute pas mal de second sens, d'image, d'insinuations, d'évocation. Mais mis à part quelques scène sympa le film est un peu poussif. Bref sympa mais léger.
Quel régal ! Comme c'est charmant ce film dédié à Ariane Ascaride. Toute l'atmosphère de Guédigian est là avec ses acteurs fétiches, avec Marseille, avec une réflexion politique et humaine sur les liens entre les gens, sur la solidarité, sur l'amour (c'est même à Jacques Lacan, qu'en est empruntée une définition), sur l'exil, la mémoire, les désirs enfouis et la scène, les planches sur lesquelles on joue des rôles. Bravo pour ce film plein de fraicheur, de légèreté et de gravité. Une belle promenade en somme.
Une petite fantaisie agréable, qui débute bien mais qui s'essouffle au fur et à mesure, sans véritablement passionnée ni franchement ennuyée, cette œuvre plutôt mineur n'a rien de déshonorant ni de palpitant. Pourquoi pas!
ffred
Robert Guédiguian est de ces réalisateurs à la filmographie en dents de scie, des jolis films, des moins bons et pas franchement de chefs d’œuvres. Cette nouvelle comédie (fantaisie, comme il dit) se situe dans la moyenne basse. Toujours à Marseille, toujours la même bande de comédiens...
Bon meme si vous vous ennuyez ne partez pas avant la dernière minute.
J'ai classé ce film "pas terrible", parce qu'il est très inégal dans son déroulement. Certaines scènes cocasses, plutôt attachantes et réussies en côtoient d'autres à la limite de la débilité ou du presque insupportable. L'ensemble est assez maladroit, tout en manquant de rythme et de souffle. Pire : certains passages mettent carrément mal à l'aise. Il faut quand même préciser que la fin du film éclaire la raison d'être de certains aspects absurdes du scénario, mais il n'empêche... De plus le jeu des acteurs est trop souvent artificiel, voire maladroit : Ariane Ascaride et Jean-Pierre Darroussin ont souvent été mieux inspirés. Disons pour résumer que j'ai été déçu par ce que je considère, sinon comme un navet, tout du moins comme un ratage caractérisé.
Quelle déception après les neiges du kilimandjaro. Pourtant on retrouve Daroussin et Ariane Ascarides, ce film n'a ni queue ni tête, il est mal interprété, seules les chansons de Jean Ferrat en filigrane m'ont ravie.
Je qualifie cette "fantaisie" d'escroquerie cinématographique. Le postulat d'un vagabondage onirique comme trame n'offre aucune richesse véritable puisque les situations peuvent être toutes improbables par définition. N'importe quel réalisateur peut se frotter à ce genre ... mais où est l'intérêt. Par une pirouette finale, Guédiguian réinscrit son propos et nous réinscrit dans la réalité. Soit. Il connait ses classiques (scène de la Fontaine de Trévi - la Dolce Vita). Bien. Et dire que c'est le même réalisateur qui nous avait sorti "Marius et Jeannette" ... Je mets 7 sur l'échelle de la grosse déception.
Le jour de ses 50 ans Ariane se retrouve seule face à son gâteau d'anniversaire... La voilà qui s'enfuit pour échouer pas très loin de Marseille. Dans un restaurant à touristes, en bord de mer dans une petite crique... Là, elle rencontre et partage la vie des personnages échoués également et accueillis le plus naturellement du monde par Denis qui écoute en boucle ses disques de Jean Ferrat...
Une fable ou plutôt une fantaisie, selon ses auteurs, le mot est celui qui convient véritablement, comme un rêve qui se réalise de la vraie vie, simple et chaleureuse avec des gens qui savent être là, les uns pour les autres. Léger et embaumant le soleil et la mer, un pur moment de bonheur que cette fantaisie qu'on oublie et qui manque parfois dans la vraie vie...
Et puis, il y a l'amour, qui se passe de mots, à travers les regards de Denis et d' Ariane. On aimerait qu'un homme nous regarde comme ça tous les jours, et l'on reste toute sa vie à ses côtés, juste pour ces regards silencieux.... Oui, dans ce monde nous avons besoin de fantaisie et Robert Guédigian nous en offre une de toute beauté et en toute simplicité.
Une fable ou plutôt une fantaisie, selon ses auteurs, le mot est celui qui convient véritablement, comme un rêve qui se réalise de la vraie vie, simple et chaleureuse avec des gens qui savent être là, les uns pour les autres. Léger et embaumant le soleil et la mer, un pur moment de bonheur que cette fantaisie qu'on oublie et qui manque parfois dans la vraie vie...
Et puis, il y a l'amour, qui se passe de mots, à travers les regards de Denis et d' Ariane. On aimerait qu'un homme nous regarde comme ça tous les jours, et l'on reste toute sa vie à ses côtés, juste pour ces regards silencieux.... Oui, dans ce monde nous avons besoin de fantaisie et Robert Guédigian nous en offre une de toute beauté et en toute simplicité.
Bof. Mignon, sans plus. On est très loin du merveilleux "les neiges du Kilimandjaro "
Ariane Ascaride parvient même à nous agacer, c'est dire! Reste une patte de cinéaste, on est bien chez guedidjian...
Ariane Ascaride parvient même à nous agacer, c'est dire! Reste une patte de cinéaste, on est bien chez guedidjian...
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