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    Tant qu'il y aura des hommes
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    Nicolas L.
    Nicolas L.

    87 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 novembre 2018
    Grand classique américain, le film vaut surtout pour son casting impeccable. Et surtout son trio d'acteurs à la grande classe (Montgomery Clift, Burt Lancaster et Franck Sinatra). Après c'est daté forcément mais le sujet est assez moderne et les personnages féminins ne sont pas pour une fois cruches et inutiles. Elles apportent au film et ont une réelle profondeur.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 153 abonnés 5 137 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2017
    Le destin de trois hommes relié par une chose: l'armée. Un trio d'acteurs de choix et une façon très passionnée de raconter ces trois histoires qui ne veulent au final que raconter la volonté de servir le pays au-delà des rancœurs ou difficultés personnelles.
    Cyril J.
    Cyril J.

    27 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2016
    Camp Américain d’Hawaï en 1941. Traumatisé d’avoir handicapé son meilleur ami lors d’un match de boxe, il refuse de reprendre les gants, ce qui lui vaut de vivre l’enfer imposé par son commandant et sa compagnie qui ne vivent que pour leur équipe. Une femme d’officier blessée dans sa chair et son cœur rêve de romance, échappatoire adultérin et divorce. Un sergent clairvoyant, désabusé et impuissant sur l’oisiveté du camp, ses brutalités, ses déliquescences, les pressions injustes et tragiques de cette microsociété, et amant passionné de la femme de son supérieur. Une fille d’origine rurale avide de revanche sociale qui ne souhaite que s’enrichir et épouser un homme de la haute.
    Voici les portraits au départ de cette fresque aux aventures entrecroisées et romantiques, au sein d’un surprenant milieu pour le genre, celui du microcosme d’une base militaire dolente du Pacifique, du moins avant que ne pètent au-dessus de leurs têtes les bombes japonaises. Beau film précurseur des scenarios sombres, et critiques de l’armée, à une époque d’après-guerre encore très patriote où la morale prévalait. Avec l’indulgence due à cette époque de femmes éternellement victimisées et d’hommes forts et virils, c’est aussi une manière de ressusciter les excellents Montgomery Clift, Deborah Kerr, Burt Lancaster, Dona Reed, Frank Sinatra et Ernest Borgnine dans ce vaudeville noir, passionné et culte de 1953.
    Extremagic
    Extremagic

    68 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mai 2016
    Bon en dehors du fait que le titre français est largement moins bon que celui américain malgré la petit référence à la fameuse citation d'Einstein. Le film m'a finalement un peu déçu sur sa fin tout simplement parce que les deux premiers tiers sont assez géniaux. Même si la mise en scène n'a rien d'exceptionnelle, elle reste assez efficace et le film est bien rythmé ce qui lui donne un certain entrain. Mais c'est le scénario qui est fichtrement bien écrit avec des personnages assez forts, bien dialogué avec des répliques qui font mouches mais sans se la jouer coolitude, sans trop en faire, tu sens juste que les mecs c'est juste des brutes qui ont du mal à communiquer et qui s'envoient des tacles de-ci de-là, en gros c'est leur manière à eux de causer, de s'exprimer, impossible pour eux de faire autrement. Ensuite bah c'est le genre de films sur l'armée que j'adore parce qu'on te montre bien la connerie que c'est... Maintenant ce qui marche moins bien c'est que j'ai trouvé assez artificiel le passage ou Sinatra va en camp de correction. Je veux dire jusque là il paraissait réglo au sein du régiment, ça sort un peu de nulle par sa réaction surtout que c'est surtout Montgomery Cliff le souffre douleur et qu'il aurait été plus logique que ce soit lui qui reçoive cet ordre absurde et quand tu le vois revenir à la soirée bah directement flairé comment ça va se finir. Alors que jusque là le film se tient très bien, même s'ils sont tous des salauds, tu sais pas trop si Cliff va craquer façon FullMetal Jacket ou s'il va se plier et reprendre la boxe. Après j'ai beaucoup aimé tous les moments dans les bars, la drague, la jalousie, les conflits en dehors du régiment, parce que finalement tout ce que ça dit sur l'armée bah même si je cautionne c'est quand même déjà-vu. Mais le summum reste la fin qui est tout de même vachement poussive, avec ce gars qui décide de retourner au camp pour finalement y mourir. Je veux bien que le perso principal devait mourir (pour moi il aurait du mourir à la place de Sinatra et qu'un deuxième film démarre sur le personnage secondaire) mais on tombe vraiment dans le fatum très poussif des mélo que je déteste. Bref, les dialogues sont truculents, les personnages secondaires très bien écrits, simplement dommage que le film utilise certaines grosses ficelles parce que j'ai quand même pris mon pied devant ce film tout à fait honorable.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    276 abonnés 2 880 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 janvier 2016
    Loin d'être une œuvre à la gloire de l'armée, Tant qu'il y aura des Hommes s'attache à dépeindre les caractères et les petites mesquineries d'une troupe de militaires s'ennuyant ferme dans leur statut, et prêts à bien des choses pour oublier la vacuité de leur quotidien. On s'encanaille et on tisse des drames humains sans le savoir. Zinneman livre plusieurs histoires parallèles (Montgomery Clift et son refus de boxer, Burt Lancaster et ses "ambitions" très personnelles...), les entrecroise tout au long du film avec un certain métier. S'il n'est pas exempt de quelques longueurs et d'un style très classique, il livre néanmoins quelques moments savoureux, distillés notamment par Frank Sinatra, et une chronique sociale très juste de l'époque, celle de l'insouciance alors que la guerre pointait son nez sans s'annoncer. Un peu daté mais encore efficace dans son genre.
    Danny Wilde
    Danny Wilde

    117 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2016
    A travers une vaste galerie d'officiers, de sous-officiers et de simples soldats, le film brosse un panorama assez réaliste de ce que pouvait être une garnison américaine à la veille de Pearl Harbor, mais en même temps, c'est une virulente critique de l'armée US, de la psychologie des militaires, car le film même s'il comporte une grande scène finale d'attaque japonaise qui décidera l'entrée en guerre des Etats-Unis en 1941, reste avant tout attaché aux personnages. Certes, ceux-ci sont un peu conventionnels, et l'intrigue est très "hollywoodienne", mais la proximité de la guerre domine tout le film et on sent l'imminence du danger. Chacun va alors tenter de vivre une ultime fois pour se prouver qu'il existe en ne sachant pas quel sera l'avenir. Les personnages vont se jeter dans l'action avec la frénésie du désespoir, à l'image des amants maudits incarnés par Burt Lancaster et Deborah Kerr, dont la scène de baiser dans les vagues est restée célèbre et même parodiée, notamment dans Shrek 2 ; cette scène fut jugée trop érotique et scandaleuse en 1953, et faillit être supprimée par la censure américaine. L'interprétation est à ce titre de premier ordre, avec un Burt Lancaster en baroudeur au charme viril, Montgomery Clift en angoissé marqué par le destin, Deborah Kerr en épouse volage d'officier, Donna Reed en douce prostituée désenchantée, Frank Sinatra en récalcitrant persécuté par Ernest Borgnine qui compose un réjouissant portrait de brute sadique, implacable et bornée... La carrière cinématographique de Sinatra (qui n'avait jusqu'ici tourné que des comédies musicales) redécolla grâce à ce premier rôle dramatique, et il reçut même l'Oscar du Meilleur second rôle ; on dit même que Coppola s'en est inspiré pour le personnage du chanteur Johnny Fontaine dans le Parrain. Non content de glaner 8 Oscars, ce drame solide remporta l'adhésion du public qui avait déjà plébiscité le roman de James Jones dont le film était tiré ; cette peinture antimilitariste comporte en effet quelques scènes d'une force poignante et reste encore de nos jours considérée comme un grand classique par de nombreux cinéphiles.
    Eselce
    Eselce

    1 396 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2014
    Le film contient le fameux baiser sur le sable d'une plage tant parodié. Mais sans cette parodie, je ne l'aurai sans doute pas visionné. Bien que les acteurs soient convaincants (Vu en VO), je n'ai pas accroché à cette histoire de boxeur ni aux histoires d'amour de la base que j'ai trouvé un peu tirées par les cheveux spoiler: Surtout avec le final pathétique sur la mort du boxeur et le sergent qui décide de rester sergent alors qu'on l'aurait bien vu "promu" pour acte de bravoure lors de la bataille de Pearl Harbor. C'est un exploit d'abattre un avion jap à l'aide d'une mitrailleuse tenue à la main. Mais surtout il a organisé la défense de la caserne
    Dommage.
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 février 2014
    Bien qu’il prenne pour contexte une caserne militaire américaine en 1941, Tant qu’il y aura des hommes n’est absolument un film de guerre mais bien une étude sociologique à la sauce mélodramatique de la vie au cœur de ce camp d’entrainement. Le trio de soldats autour duquel tourne la plupart des sous-intrigues est brillamment interprété par Burt Lancaster, Montgomery Clift et Frank Sinatra, leur garantissant un potentiel charismatique et viril impressionnant, mais c’est surtout la façon dont se tissent leurs relations, entre eux d’une part et avec les femmes présentes sur place d’autre part, qui donne à ce grand classique son impérissable charme tant romantique que psychologique qui a mérité son double oscar du meilleur film et meilleur réalisateur. Son scénario, qui oppose avec brio les passions amoureuses au sens du devoir et l’humanisme à la cruauté du code hiérarchique, possède également un puissant pouvoir dramatique puisque le fait qu’il se situe à Pearl Harbor en 1941 laisse présager que la fameuse attaque japonaise, que l’on ne voit que dans le dernier quart d’heure, aura sur chacun des personnages les répercutions les plus tragiques.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 février 2014
    Tant qu’il y aura des hommes est un beau film, consacré aux mœurs dans l’armée, ainsi qu’à la bataille de Pearl Harbour. Toutefois, je ne sais quoi en penser. Si la photo est bonne, tout autant que la réalisation, l’épisode de Pearl Harbour est traité avec beaucoup de désinvolture, et expédié sur la fin du film. Les acteurs sont tous excellents, surtout Burt Lancaster. Mais l’état d’esprit de Prewitt (Clift) est assez étrange et son personnage meurt d’une façon abracadabrante. La fin de ce personnage, et le gâchis des histoires d’amour, rappelle le film noir, qui ici n’a pas vraiment sa raison d’être. Un film en demi-teinte donc mais fidèle aux obsessions de Zinnemann, qui reste un beau film, mais qui laisse des questions en suspens.
    Frédéric Le Mouël
    Frédéric Le Mouël

    20 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2013
    A la veille de l'attaque de Pearl Harbor, les états d'âme entre espoirs et désillusions d'un petit groupe de soldats et d'officiers de l'armée américaine. Beau film (à défaut d'être un chef d'œuvre) dont l'intérêt croît au fil de la tension qui s'installe et du drame qui approche. Distribution dominée par Burt Lancaster et Montgomery Clift (particulièrement émouvant dans la scène du clairon).
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 octobre 2013
    Eté/automne 1941. Le soldat Prewitt (Montgomery Clift) débarque à la caserne d' Honolulu . Il va rapidement devenir le souffre douleurs des hommes, suite à son refus de de participer aux combats de boxes entre régiments, ayant précédemment rendu aveugle sur le ring un ami. Il sympathise quand même avec son compère Maggio (Sinatra),découvre les "bordels" d' Hawai, tout cela sous l'œil bienveillant du sergeant Warden (B Lancaster) qui lui, noue une relation amoureuse avec la femme du capitaine de régiment.
    Un mélodrame donc ou le tragique du simple individu se mêle à la grande tragédie historique (l'attaque de Pearl Harbor) . Taillé pour les Oscars donc(en plus avec la musique de G Dunnig bien présente tout au long du film) et récompensé de 8 statuettes en 1954. Si Zinnemann et Sinatra ne sont pas repartis les mains vides de la cérémonie, M Clift fut bredouille et c'est bien dommage selon moi car il porte vraiment le film sur ses épaules;
    C'est assez ambivalent au niveau de la morale du film, critique certes de certaines mœurs dans l'armée mais avec une fin " patriotique" .
    Et bien évidemment, en plus de tout cela, il y a la fameuse séquence sur la plage avec Burt Lancaster et Deborah Kerr
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 août 2013
    "Tant qu'il y aura des hommes" est à prendre avec des pincettes.
    Tout d'abord parce qu'il s'agit d'un film mythique, reconnu comme tel, vendu comme tel, présenté comme tel par tout cinéphile digne de ce nom. Ensuite, car il traite d'un sujet mâché et remâché, évoqué dans des dizaines d'autres œuvres à travers le monde : la guerre, et plus précisément, la Seconde Guerre mondiale. Enfin, parce qu'il use de l'arsenal hollywoodien habituel, à savoir une capitalisation forcée sur une brochette d'acteurs populaires (Lancaster, Sinatra, Kerr, Reed, Clift) et un réalisateur apprécié (Zinnemann, qui dirigea également "Oklahoma !", "Le train sifflera trois fois" ou encore "Horizons lointains").
    Mais à l'instar d'un bon paquet de sucreries, il se déguste sans modération, même soixante ans après sa sortie. Le jeu est millimétré, les plans s'alternent élégamment, le cadre vaut le détour. Sur les paradisiaques plages d'Hawaii, Kerr et Lancaster échangent un baiser passionné, et font entrer le film dans la légende.
    La légende des soldats confrontés à l'horreur de Pearl Harbor, évènement tragique s'il en est, recréé à grands renforts de piqués et de bombardements aériens, de figurants paniqués courant à chaque coin du plateau et de braves héros laissant derrière eux le confort d'une vie sûre pour livrer leur corps au combat. La fatalité. Voilà qui résumerait le tout. Fatalité de l'amour adultère vécu par une épouse de militaire avec un collègue de ce dernier, fatalité d'une société où les poings règlent les problèmes, où l'alcoolisme et les déceptions guettent le promeneur solitaire dans les ruelles sombres qui voient la violence tuer et blesser, où le continent semble si loin, au-delà de l'horizon.
    Certes, "Tant qu'il y aura des hommes" reste un mélodrame de guerre, avec la part de testostérone et d'autorité qu'il comporte. On est à cent mille lieues d'un "Gilda", et même à l'opposé de l'une de ces grandes aventures oniriques dont Curtiz était sans doute le roi (Robin des Bois, Captain Blood, ...).
    On y apprend le respect, on y comprend la douleur et l'obéissance, on y observe une caserne évoluer, dans un monde masculin, aux côtés de femmes en forme d'apparitions enchanteresses, destinées à égayer le quotidien d'engagés désœuvrés. Bien entendu, l'ensemble ne peut en apparaître que sexiste. Mais les circonstances ne l'exigent-elles pas ?
    Grand film, certainement. Très bon film, plus certainement encore. Un incontournable, qui semble vieillir aussi peu que les courbes avantageuses de Deborah Kerr, ici au sommet de sa carrière, et la gouaille confuse de Frank Sinatra. La fatalité donc. On ne peut qu'aimer ce film, fatalement.
    4,5/5
    LaureP
    LaureP

    11 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2012
    magnifique ! acteurs fabuleux, musique, décors, dialogues... tout est bien
    Les personnages sont soignés, forts. C'est dans un film comme ça qu'on voit des hommes, des vrais. De belles histoires d'amour les supportent.
    On ne s'en lasse pas
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    269 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2013
    Le première qualité de ce classique du cinéma américain, c'est de faire jaillir la sensibilité masculine dans un cadre militaire assez rude. Montgomery Clift, dans un rôle d'homme obstiné et blessé, est magnifique. Intense et fragile. De même, les personnages interprétés par Burt Lancaster et Frank Sinatra ont leurs forces et faiblesses. C'est l'antifilm de guerre, l'expression d'une virilité qui n'est pas sans faille, et d'autant plus émouvante. Des hommes à nu... ou presque. La scène où Burt Lancaster et Deborah Kerr s'enlacent sur la plage est restée mythique. On se laisse prendre avec plaisir par ce drame aux accents de mélo, servi par de bons dialogues, une mise en scène fluide. Et conclu sur un joli sentiment de tristesse.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 juin 2012
    From Here To Eternity est un film magnifique, porté par un duo d'acteurs génial, le grand Burt Lancaster, et le moins grand, mais non moins talentueux Montgomery Clift, avec également d'excellents seconds rôles, Sinatra et surtout Ernest Borgnine en tête.
    Ce film touche aussi bien les thèmes de l'amour, de l'adultère, que de la vie dans un camp militaire, avant que n'éclate la guerre. Montgomery Clift est parfait dans le rôle d'un jeune militaire sensible et amoureux, refusant malgré la pression de sa hiérarchie de reprendre la boxe qui a rendu aveugle son meilleur ami. On suit aussi bien ses aventures durant près de deux heures que celles de Burt Lancaster, sergent américain peu ambitieux, amant de la femme de son supérieur.
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