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    A Most Violent Year
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    3,8
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    374 critiques spectateurs

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    opuhi
    opuhi

    5 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 février 2015
    Superbe à tout point de vue photographie réalisation jeu des acteurs, suspens
    oscar isaac est le pacino de demain
    bellini 2
    bellini 2

    6 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2015
    Après l'excellent Margin call, celui ci est un très bon western industriel. Là où le cinéma français, gorgé de subventions, aurait été lourdement pédago , Chandor grace au scénario, à une excellente mise en scène et de splendides horribles décors fait nettement mieux. Il ne cherche pas à nous rééduquer mais à faire du cinéma.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    66 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2015
    Encensé par une grande partie de la critique, "A Most Violent Year" n’a pourtant pas grand-chose d’enthousiasmant. Il souffre surtout d’un scénario sans relief, centré sur un personnage auquel on ne croit jamais vraiment. Oscar Isaac joue un Al Pacino du "Parrain" à la petite semaine, en tentant d’incarner un patron intègre au milieu de la mafia des margoulins qui maquereautent la distribution de fuel domestique à New York. On lui fait tout, le pauvre : une enquête du procureur sur ses pratiques financières (pleines d’acrobaties, mais il n’y est pour rien, juré craché, c’est sa femme qui a juste pris quelques libertés…), ses camions se font voler leur cargaison, ses employés pètent les plombs, sa banque le lâche au pire moment… Et lui reste droit dans ses bottes, bon boss accroché à ses valeurs, bon père qui protège sa famille. Et au final, il triomphera de tous les obstacles. Une icône du rêve américain peinte avec une telle naïveté, une telle absence de complexité dans le dessin d’un personnage, voir ça en 2014, c’est tout de même très étonnant. Et même si Jessica Chastain est, comme toujours, remarquable, on est très loin de la tension glacée des films de James Gray, modèle quasi-revendiqué du réalisateur. Surcoté.
    Charles G
    Charles G

    34 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2015
    N'ayons pas peur des mots. J. C. Chandor a 41, et il s'agit là de son troisième film ; les deux premiers, Margin Call et All is Lost, étaient de très belles réussites, et si il parvenait à confirmer avec A Most Violent Year, il entrait pour de bon dans la cour des grands. A chaque fois, le jeune réalisateur s'attaque à un thème différent et à des atmosphères différentes, et il réussit coup sur coup à nous émerveiller, tout en gardant une justesse qui est désormais associée à son nom. Ce troisième film ne déçoit pas, bien au contraire. C'est au polar sociétal et mafieux que JC s'attaque ici, et il nous livre un film à mi-chemin entre ce qu'aurait fait Scorsese et James Gray. Tout se passe dans le New York des années 80, avant le grand nettoyage de la ville par Rudy Giuliani, quand de nombreux quartiers étaient infréquentables et où la loi peinait à se faire appliquer. L'ambiance du film est absolument dingue de réalisme. On se croirait vraiment à cette époque, dans la grosse pomme, et la mise en scène ainsi que les décors sont totalement immersifs. J'en viens à l'histoire, qui se concentre sur un homme d'affaire joué par Oscar Isaac, à la tête d'une compagnie de livraison pétrolière. D'un côté, il doit gérer l'achat d'un emplacement qui lui permettrait de se développer de telle façon qu'il serait un grand industriel incontournable de la ville et de l'autre, il doit gérer les nombreux tracas du quotidien, causés par des jaloux concurrents ou juste des personnes dans le besoin qui ont choisi la voix de l’illégalité pour parvenir à leur fin. Les acteurs sont phénoménaux, que ça soit Isaac ou Jessica Chastain, qui est je pense la meilleure actrice au monde. Cet homme d'affaire va être attaqué de toute part, que ce soit directement, ou par des choix de vie ou des valeurs qui diffèrent des siennes, et à chaque fois il gardera son intégrité. Toute la ville semble être pourrie, et ses proches eux-mêmes ne sont pas nets, mais sa volonté de réussir sans tricher surpasse tout. C'est beau, c'est immersif et c'est poignant. Chandor est, assurément un très grand réalisateur qu'il faudra suivre dans ce siècle qui commence.
    Ciné2909
    Ciné2909

    72 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2015
    A la tête de A most violent year, nous avons J.C. Chandor qui comme à son habitude signe à la fois le scénario et la réalisation. Si on ne sera pas forcément scotché par son scénario finalement assez banal, on est davantage captivé par cette nouvelle performance d’Oscar Isaac. Il est tout simplement impeccable dans sa panoplie complète du parfait gangster mais qui met (presque) toujours un point d’honneur à rester dans le droit chemin. Quant à Jessica Chastain elle s’impose avec son caractère affirmé et on en vient à regretter que ce personnage n’ait pas bénéficié d’un peu plus de présence à l’écran. Par contre si vous vous attendez à une succession de règlements de comptes, vous faites fausse route car ici on privilégie la psychologie à l’action.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 février 2015
    Encore une fois, un film très bien écrit de la part de J.C. Chandor, auteur de Margin Call. La force du film réside dans son personnage principal, relativement atypique dans le cinéma de genre. La thématique du rêve américain est elle souvent traitée au cinéma, mais ici l'histoire et le jeu des acteurs donnent une couleur unique à ce film.
    Concernant la réalisation, le bilan est plus mitigé selon moi. La photo du film n'est pas toujours adaptée, avec des plans clairement sous exposés. Dommage car cela dessert une production artistique de haute volée (des décors et des costumes très réussis qui ancrent parfaitement le film dans son époque).
    Pour autant, c'est un film puissant qui met en place une tension permanente. Les rebondissements y sont nombreux mais ne vous attendez pas à y voir des fusillades toutes les 5 minutes. La violence est à trouver ailleurs.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 février 2015
    La situation n'est pas simple quand on est le dernier film de l'année. Sortir le 31 décembre, c'est courir le risque de passer inaperçu, noyé entre le champagne et le foie gras. A most Violent Year est le troisième long métrage de JC Chandor, réalisateur salué dès son premier film, Margin Call et qui avait pris des risques avec le second , All is lost : un seul acteur (Robert Redford) et aucun dialogue.

    Il signe là un film à l'ambiance vintage sur le monde cruel des affaires, l'injustice et la corruption. Le titre, finalement, ne renvoie qu'au contexte dans lequel se déroule l'histoire d'Abel Morales. La Musique d'Alex Ebert est sublime et les décors ultra soignés. La neige qui recouvre un New York industriel et inhospitalier est plutôt rare sur nos écrans. Le rêve américain en prend un sacré coup. Le glamour se résume au long trench blanc de Jessica Chastain - nommée d'ailleurs au Golden Globes pour sa performance - et à l'impeccable coiffure d'Oscar Isaac (que l'on verra beaucoup en 2015, notamment dans les prochains Star Wars et X-Men).

    Le voir le jour même de sa sortie n'aurait pas fait changé mon top 10 d'un iota. Si le travail est soigné, le film est ennuyeux. Je ne trouve pas d'autre mot. Sur 1h50 que dure A Most Violent Year, mon intérêt n'a été capté qu'en de très rares occasions, notamment lors d'une course poursuite très réussie qui s'achève dans le métro de New York. Le reste n'était que lenteur et étirements inutiles.

    En Bref : 9/20. Admirer le style 80' c'est bien 5 minutes. Si vous y allez, évitez la séance de 22h.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 février 2015
    Le film est assez déroutant car il n'est pas celui auquel on s'attend. N'allez pas y voir un film de maffieux au suspens haletant et vous attendre à croiser Al Pacino au coin d'une rue, le film est centré sur la personnalité du héros qu'on a du mal cerné jusqu'à la fin grâce à la formidable interprétation d'Oscar Isaac accompagné de l'excellente Jessica Chastain. Un film étonnant au titre trompeur, très beau.
    benzinemag.net
    benzinemag.net

    31 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2015
    Dans la ligné des films de James Gray, le réalisateur de Margin Call et de All Is Lost signe un film au classicisme élégant qui évoque certains de fameux polars américains des années 70/80 signées Sydney Lumet et autre Scorsese.
    En s’éloignant des grandes artères new-yorkaises pour aller poser sa caméra dans les no-mans lands, les friches industrielles, J. C. Chandor signe une très belle reconstitution du New York de l’époque avec des teintes sombres et une lumière hivernale tout à fait
    Un film honnête, sans esbroufe, qui ne cherche jamais à vous en mettre plein à la vue à l’image de son personnage principal incarné de manière simple mais très convaincante par un Oscar Isaac en version actuelle d’Al Pacino.
    S’il manque peut être au film une ou deux scènes clés, A Most Violent Year reste néanmoins une réalisation de très belle facture, intelligente, captivante, sans manichéisme et qui n’en dit jamais trop, laissant au spectateur le soin se faire sa propre opinion sur la personnalité profonde de son personnage principal.
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    150 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2015
    Un excellent thriller avec du bon suspens. Oscar Isaac et Jessica Chastian sont en train de devenir de grands acteurs. Un très bon film prenant avec de bon rebondissements. Du grand cinéma, un bon moment à passer .
    Quentin D
    Quentin D

    11 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2015
    Avec A Most Violent Year, on assiste à ce que j'appelle un classicisme prometteur mais finalement décevant.
    Je m'explique : Réalisation impeccable, acteurs convaincants, écriture et thèmes profond et exploités mais classique. La faute à un scénario assez menteur, surtout le titre on va dire. On a affaire un homme dans un milieu de gangster qui essaye de garder son intégrité devant la criminalité et la corruption. Le film, avec le contexte de l'année 1981, aurait pu avoir sa dose d'originalité cependant rien n'est exploité de ce côté ! En gros, la violence n'est exprimé que par la radio ou est raconté par les personnages, c'est assez ingénieux mais cause un problème au niveau de l'immersion. Et les rares scènes de violences ou plus intenses sont courtes ou mal exploité. C'est dommage car le film a un putain de potentiel surtout avec ce couple si complexe.
    Un film d'auteur honnête et agréable mais qui montre ses défauts très vite entre son rythme très lent, son manque d'impact sur le spectateur et son titre assez mensonger. Bref, déçu par le film....
    Biloba63
    Biloba63

    57 abonnés 847 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2015
    Un bon petit thriller qui revêt son costume de western moderne pour nous plonger dans ce dangereux New-York des affaires, violent et corrompu. On y suit le destin d'un homme, qui croit en son rêve américain et qui veut se faire sa place dans ce monde de requin sans foi ni loi.
    Ce qui est beau dans ce film, c'est que tout est aussi précis qu'une horloge suisse. Ici, pas de risques, pas de superflu, pas de démesure. Le réalisateur connait ses codes et les principes du genre, et les applique avec énormément de professionnalisme pour faire une oeuvre qui arrive, en plus, à porter sa signature. C'est du bon travail, l'univers créé, noir,rugueux, jonché parfois de quelques paillettes,est à la hauteur des espérances et aspire son spectateur. La sobriété a parfois du bon quand elle ne sombre pas dans le formatage, et justement ici, on est dans le schéma inverse, et c'est ce qui rend parfois les films très intéressants.
    Oscar Isaac et Jessica Chastain sont, en plus de cela, purement excellents !
    Juan L.
    Juan L.

    12 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 janvier 2015
    Commençons par l'affiche qui est parlant, un peu vintage, Oscar Isaac incarne un certain avatar d'Al Pacino, Jessica Chastain derrière, est aussi indémodable que le bon goût (possiblement oscarisée pour ce film, je le lui souhaite en tout cas). La typographie et le hors cadre de la photo choisie met en avant ce couple qui s’apprête à resquiller tous les obstacles que l'on leur jettera à la gueule et ceux qu'ils devront esquiver entre eux, un bon combat dans l’arène la plus adepte pour ce type de lutte qui n'est autre que la ville de New York, celle des années 80. La photographie du film est impeccable, la scène d'ouverture aussi jouissive que la première bouchée d'un délicieux mets.
    Tout laisse présager un excellent moment au cinéma qui dure 2h05 exactement. C'est un film qui se prête à plusieurs interprétations et qui démontre que l'on a beau a prendre le droit chemin, à tout moment il y a des virages incontournables et éthiquement brumeux. Le merveilleux Isaac le résume encore mieux à la fin du film en disant " I chose the most right path", MOST étant le mot qui définit le film.
    Ce combat ou se mêle le sang et le pétrole n'a jamais été aussi bien portraituré, comme un tableau d'art contemporain qui définit entièrement la société étasunienne: un "dripping" de sang à la Pollock, un "spilling" de pétrole. L’américain dream qui n'est jamais trop loin, repose donc sur un socle bourbeux qui fuite et qui a toujours fait loi. Ce pourquoi les voitures que l'on voit dans l'affiche ne sont pas anodines, elles témoignent de ces histories de réussite et de violence.
    Requiemovies
    Requiemovies

    210 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2015
    «Margin Call» avait démontré le talent de J.C. Chandor, confirmé deux ans plus tard avec «All is lost», conjugué à la participation de Robert Redford, encore en très grande forme.
    Le metteur en scène est de retour, avec un budget plus conséquent et de grandes ambitions. La distribution, elle, brille une fois de plus, puisque Oscar Isaac et Jessica Chastain sont de l’aventure.
    Au départ, un récit simple mais toujours en lien avec une crise, ici la violence, après celle de la finance de «Margin Call» et métaphorique du capitalisme grandissant dans «All is lost». Le scénario donc, centré sur le début des années 80 à New York, années de violence marquées, s’ingénue à dépeindre les contours de la réussite et du rêve américain. Si sur le sujet beaucoup de longs métrages ont déjà vu le jour, dans son traitement et dans le discours, J.C. Chandor fait peau neuve, avec talent. On sent bien évidemment, dans la continuité de sa filmographie, cette envie d’aller vers un classicisme cinématographique, proche d’un Sydney Lumet, ici du moins, ou plus récemment, celui de James Gray, qui bien qu’ayant sa propre grammaire, s’en rapproche par instants (façon de filmer New York, mise en relief importante du caractère prononcé de ses personnages, et de leurs interactions…).
    Nous sommes proches des accents shakespeariens, sans jamais vraiment y perdre pieds, fautes d’enjeux majeurs dans l’évolution du couple interprétés par Jessica Chastain et Oscar Isaac. Le récit et la mise en scène du film se recentrent plus sur les chemins possibles, bons ou mauvais, pour accéder à la réussite. A ce titre, l’ambivalence et les multiplicités des choix qui s’offrent aux personnages principaux réveil l’enjeu de «A most violent year». Comment naviguer entre moralité et accessibilité à ses plus grands rêves. C’est sur ce point, en prenant son temps, que le réalisateur apporte une conclusion intéressante, sans pour autant en avoir mis de côté les risques encourus.
    Scénario efficace, mise en scène encore une fois raffinée, voire théâtrale, dans sa structure. Ajoutons à cela une photo laiteuse de Bradford Young et le tout est réellement captivant.
    En parlant dans un même élan des dilemmes moraux et de la vie d’un couple au cœur des années 80, et en conjuguant l’ensemble avec un regard informé et critique de la naissance du capitalisme, J.C. Chandor livre un film très honnête dont le néoclassicisme rappelle les meilleurs films de certains réalisateurs (Lumet, Pollack…) auxquels il semble rendre hommage. On peut également évoquer une interprétation brillante qui ne dénote pas, bien au contraire, dans l’ensemble picturale et de fond que tente humblement de filmer J.C. Chandor. Une belle note de «vrai» cinéma, presque à l’ancienne.
    nicolas t.
    nicolas t.

    59 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 janvier 2015
    Très belle mise en scène et magnifique reconstitution.
    Jessica Chastain étonne encore, elle est magnifique
    d'ambiguité.
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