A Most Violent Year
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375 critiques spectateurs

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Gabith_Whyborn
Gabith_Whyborn

40 abonnés 842 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 15 avril 2015
Une réalisation somptueuse et un bon casting, mais c'est tout. Le scénario est vraiment linéaire et sans grand intérêt. Je me suis un peu ennuyé au final.
StiPaN
StiPaN

3 abonnés 92 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 8 mai 2015
Ce film est d'une platitude et d'un désintérêt des plus total. C'est une immense déception pour moi car je m'attendais à un film chargé d'action et d'intensité et c'est malheureusement tout l'inverse qui nous est montré. Soporifique!
Prad12
Prad12

98 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 8 mai 2015
Le réalisateur a-t-il voulu décroché l'oscar du meilleur décor des années 80 ? après visionnage, je comprends le four au cinéma de ce film qui a été vendu comme un chef d'oeuvre...... si au moins le scénario était tiré d'un fait réel, on aurait vu l'intérêt de filmer cet entrepreneur qui se bat contre la corruption alors que sa femme veut tout casser (jouée par Jessica Chastain, la star du moment qu'on a pas le droit de critiquer mais qui joue comme n'importe quelle autre actrice.......) dans le New York de la violence.... un banal film anti corruption qui aurait pu être tourné à notre époque....... c'est quoi ton concept, garçon ? il n'y a plus de corruption maintenant.................
DameYseut
DameYseut

5 abonnés 30 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 1 septembre 2019
Je ne mets pas 5 étoiles (TB) à cause d'Oscar Isaac qui, à mon avis, imite un peu trop Al Pacino/Mickael Corleone mais j'en mets bien 4,5 pour Jessica Chastain, excellente en fille de truand sans complexe ! ce mariage fonctionne grâce à elle (actrice comme personnage).
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 5 février 2015
La situation n'est pas simple quand on est le dernier film de l'année. Sortir le 31 décembre, c'est courir le risque de passer inaperçu, noyé entre le champagne et le foie gras. A most Violent Year est le troisième long métrage de JC Chandor, réalisateur salué dès son premier film, Margin Call et qui avait pris des risques avec le second , All is lost : un seul acteur (Robert Redford) et aucun dialogue.

Il signe là un film à l'ambiance vintage sur le monde cruel des affaires, l'injustice et la corruption. Le titre, finalement, ne renvoie qu'au contexte dans lequel se déroule l'histoire d'Abel Morales. La Musique d'Alex Ebert est sublime et les décors ultra soignés. La neige qui recouvre un New York industriel et inhospitalier est plutôt rare sur nos écrans. Le rêve américain en prend un sacré coup. Le glamour se résume au long trench blanc de Jessica Chastain - nommée d'ailleurs au Golden Globes pour sa performance - et à l'impeccable coiffure d'Oscar Isaac (que l'on verra beaucoup en 2015, notamment dans les prochains Star Wars et X-Men).

Le voir le jour même de sa sortie n'aurait pas fait changé mon top 10 d'un iota. Si le travail est soigné, le film est ennuyeux. Je ne trouve pas d'autre mot. Sur 1h50 que dure A Most Violent Year, mon intérêt n'a été capté qu'en de très rares occasions, notamment lors d'une course poursuite très réussie qui s'achève dans le métro de New York. Le reste n'était que lenteur et étirements inutiles.

En Bref : 9/20. Admirer le style 80' c'est bien 5 minutes. Si vous y allez, évitez la séance de 22h.
Anne M.
Anne M.

76 abonnés 647 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 27 janvier 2015
New York, hiver 1981. Un riche négociant en fuel domestique se bat pour rester intègre, tout en protégeant les siens, malgré une féroce concurrence et la police qui enquête sur ses comptes.

Jusqu’à la dernière demi-heure, on se demande qui cherche à l’éliminer de la course. Cette première partie m’a parue assez longue et monotone, malgré un scénario précis, des acteurs impeccables dans leurs beaux manteaux beige et crème et une ambiance hivernale bien créée par les images d’un New York industriel.

J’ai davantage apprécié la dernière demi-heure qui révèle les protagonistes sous un visage plus complexe, ainsi que tout le cynisme du business de haut vol, comme l’impossible honnêteté qui le caractérise.
coralie L.
coralie L.

3 abonnés 23 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 4 janvier 2015
Film passionnant du début à la fin, les acteurs sont excellents, l'atmosphère des films des années 80 est parfaitement recréée, l'ambiance est pesante et froide. A voir
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 5 janvier 2015
A Most Violent Year est un sommet de manichéisme (l’entrepreneur intègre contre ses concurrents dénués de scrupules) et de paranoïa (tout le monde autour de lui se révélant corrompu). In extremis, le héros accepte d’employer l’argent détourné par sa femme pour sauver sa grosse entreprise. La fin justifiant les moyens, on peut donc escroquer l’Etat si c’est pour gagner des parts de marché… Vous appelez ça une « critique du capitalisme » ? Ajoutez à ce propos cynique des acteurs figés, des personnages sans épaisseur, une mise en scène sans invention : vous avez là le film le plus surestimé du moment.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 28 octobre 2015
Sympathique mais sans plus
Rythme assez lent, atmosphère terne et froid, acteurs convaincants mais pas performants et scénario simpliste mais réussi
Monique V
Monique V

1 abonné 4 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 1 janvier 2015
quelle déception, j'avais choisi ce film pour les "bonnes critiques" j'aurai mieux fait de m'attacher aux mauvaises ,
on ne vibre en rien , on ne croit à rien , on n'est pas ému , on n'a même pas peur , terriblement décevant
Desman
Desman

8 abonnés 306 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 17 janvier 2015
Après deux très bons films qui ont créé la suprise, JC Chandor continue de nous régaler. Sa façon de filmer transcende ici l'histoire, l'action et la violence soudaines rentrant très naturellement dans le quotidien des héros. A most violent year nous propose un scénario en béton allié à une mise en scène magistrale. La photographie est superbe également. Enfin citons les acteurs qui sont au top, des têtes d'affiche jusqu'au second rôle.
O Isaac incarne formidablement un homme droit dans ses bottes contre vents et marées. Mais son côté jusqu'au boutiste et son inaltérable force intérieure peuvent lui amener un manque d'empathie et une trop grande exigence vis à vis des gens qu'il côtoie. Bref, le personnage n'est pas parfaitement lisse et c'est tant mieux !
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 21 janvier 2015
Magistral! Comme le dit l'affiche. Un gros kiff! Une tension agréable du début à la fin du film; des acteurs en état de grâce! Jessica oh Jessica, toujours la plus belle femme de la planète, littéralement jouissive en femme tiraillée (pas tant que ça) entre sa condition de fille de mafieux et de femme d'homme intègre; Oscar Isaac fidèle à lui-même, excellent dans son manteau en cachemire beige; des second rôle géniaux, l'avocat déjà vu dans Drive mais méconnaissable. New York filmé comme on ne l'avait pas vu depuis les bons vieux Scorcese ou l'impasse de De Palma; on s'y croirait. Une intrigue et un suspens prenant! En résumé un pur bonheur!
soniadidierkmurgia
soniadidierkmurgia

1 230 abonnés 4 211 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 27 août 2018
En 1981, la ville de New York n'est pas encore passée par l'opération "mains propres" que mènera Rudolph W. Giuliani de 1994 à 2001, pendant son mandat de maire. La corruption, le banditisme, les tensions communautaires et le chômage minent alors les quartiers populaires de la ville. Difficile dans un tel contexte pour un émigré hispanique de tenter de faire prospérer son entreprise de livraison de fuel sans se salir les mains. Si en plus, le dit émigré réussit quelque peu et ambitionne d'accroître son business, les intimidations ne tardent pas à s'intensifier. C'est exactement le thème qu'a choisi J.C Chandor pour son troisième film qui vient après les très remarqués "Margin Call" (2011) qui traitait de la crise financière de 2008 et "All is Lost" (2013) qui sondait les capacités de résistance d'un marin expérimenté et âgé (Robert Redford) perdu en plein océan sur son voilier de plaisance. Ici c'est le fameux rêve américain qui dans un contexte assez chaotique ne semble plus pouvoir être porté que par un de ceux qui ont franchi la frontière pour cette seule promesse. Ce patron pris dans la tourmente c'est Abel Morales, magnifiquement interprété par un Oscar Isaac très convaincant qui a sans doute beaucoup regardé les mimiques et la gestuelle d'Al Pacino pour les plaquer à son jeu plus en retenue. J.C Chandor un peu idéaliste dresse le portrait d'un homme qui démontre que des principes de vie solidement ancrés peuvent permettre de ne jamais trop dévier du droit chemin qui au fond reste la meilleure boussole qui mène au miroir où l'on peut se regarder sans jamais détourner le regard. Attitude d'autant plus difficile à tenir que l'entourage proche de Moralès dont sa femme (Jessica Chastain) comptable de la société mais aussi fille d'un ancien parrain du milieu l'enjoint à riposter en utilisant les mêmes méthodes expéditives que ses concurrents. Alors que depuis plusieurs mois ses livreurs sont attaqués et leur fuel subtilisé et qu'une enquête fiscale le rattrape, les banques sont en train de le lâcher pour le financement du rachat d'entrepôts destinés à l'expansion de sa société. La caméra de Chandor ne quitte pratiquement jamais un Moralès avançant le plus souvent en aveugle face au précipice qui menace de s'ouvrir sous ses pieds chaque jour un peu plus. Il était facile pour le jeune réalisateur de suivre la piste du thriller classique en amenant progressivement son héros à une riposte vengeresse, tous les ingrédients utiles ayant été posés par ses soins dès le départ. Il a préféré observer Moralès marcher sur le mince fil tendu entre la voie de la légalité et celle plus expéditive dictée par les instincts carnassiers qui sommeillent en chacun de nous. Oscar Isaac qui a été proposé à Chandor par Jessica Chastain après la défection de Javier Bardem initialement prévu pour le rôle, offre à son réalisateur la prestation la plus juste qui soit, mélange complexe entre sang froid inébranlable, violence contenue, doute permanent, empathie, humilité et détermination sans faille. C'est en effet bien le même homme qui réconforte son livreur braqué à l'hôpital puis lui refuse peu de temps après une reconversion, le renvoyant sur la route transi de peur. L'homme est fait de contradictions nées le plus souvent de sentiments opposés qui s'affrontent. Maintenir un cap n'est certes jamais facile mais cela reste la meilleure façon de ne pas se perdre. C'est ce à quoi nous invite à réfléchir J.C Chandor. La trajectoire du migrant voulant rester accroché à son rêve s'inscrit dans un New York dont il a fallu reconstituer l'aspect apocalyptique de l'époque et que Bradford Young (le chef opérateur) filme dans des teintes laiteuses certes dénuées de réalisme (certains critiques l'ont reproché à Chandor) mais tout à fait représentatives de la tonalité de l'intrigue et du brouillard dans lequel avance Moralès. A ses côtés Jessica Chastain dans un rôle discret offre un contre-point tout à fait intéressant. Le pas de côté de J.C Chandor a quelquefois été incompris et mal interprété même si la critique a été globalement assez unanime à saluer le talent d'un réalisateur qui tente de retenir les leçons de ses aînés pour y puiser les moyens de son originalité.
Acidus
Acidus

754 abonnés 3 748 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 2 janvier 2020
Voilà un long métrage que n'aurait pas renié un James Gray. Le cinéma de J. C. Chandor ressemble beaucoup à celui de son aîné. L'histoire d' "A most violent year" est centré sur le personnage d'Abel, un industriel qui tente tant bien que mal de marcher droit dans un milieu et une société violents et corrompus. Mais la frontière entre le Bien et le Mal n'est pas toujours bien définie et reste subjective. C'est là le propos principal du film qui sait nous tenir en haleine du début à la fin grâce à de nombreux rebondissements et des moments de tensions et de suspens réussis. Mention spéciale à Oscar Isaac qui nous livre (encore une fois) une prestation incroyable. Une très bonne surprise.
ned123
ned123

165 abonnés 1 714 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 2 novembre 2015
J'ai vu un film... vraiment très intéressant, dans sa réalisation, dans le message porté et dans le jeu subtil des comédiens... Tout est là, sous les yeux, et pourtant la mise en scène semble aller au-delà des images qui se déroulent sous nos yeux... C'est un formidable thriller, haletant, qui prend son temps et qui déroule sa langueur nécessaire pour poser les bases de l'histoire. Le ton des images est également une plongée dans les années 80, restituées avec rigueur et minutie. C'est un film qui lorsqu'il accélère brûle comme l'acier en fusion, et laisse pantois. C'est un film audacieux et réussi, à voir absolument. Et Oscar Isaac porte son personnage avec un grand talent... Ce film est à voir absolument.
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