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    A Most Violent Year
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    3,8
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    374 critiques spectateurs

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    titicaca120
    titicaca120

    384 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2015
    un thriller intéressant dans un New-York vu autrement au début des années 80.
    l'acharnement pour un émigré de réussir le développement de son entreprise.
    quelques scènes fortes mais l'ensemble reste quand même répétitif et un peu longuet.
    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    111 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 octobre 2015
    Une mise en scène patate, des acteurs au taquet (Isaac en tête avec ses faux airs de jeune Pacino) une ambiance générale début eighties impeccablement reconstituée et une Jessica Chastain toujours aussi sublime pour un film absolument anecdotique!

    Le genre de sujet sans plus d'envergure que ça qu'une mise en scène léchée parvient à faire passer sans difficulté mais sans laisser un grand souvenir non plus!
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2015
    L'histoire d'un type bien comme on dit, plongé dans un monde qui le pousse à sortir du droit chemin qu'il s'évertue à suivre. On passe tout le film suspendu à l'espoir qu'il va y arriver. Un film poignant, noir. Le duo Oscar Isaac, Jessica Chastain est splendide.
    Cpt Morgan
    Cpt Morgan

    61 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2015
    je conseil ce film a tous les scénaristes : c est le parfait exemple d'une bonne histoire mais d'un scénario raté. entre le background des personnages qui n apporte rien a l'histoire et l'enjeu révéler que dans le dernier quart du film les bourdes s enchaine... etrange pour un film qui se veux neo classique
    moket
    moket

    524 abonnés 4 329 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2016
    Un film de mafieux quasiment sans mafia puisque le personnage principal a la volonté de toujours rester clean. Ce postulat va être difficile à tenir étant donné le milieu dans lequel il évolue. Dès lors, la tension montera progressivement à mesure que l'étau se resserre autour de lui. Magistralement mis en scène et superbement interprété par Oscar Isaac et la sublime Jessica Chastain.
    bobmorane63
    bobmorane63

    188 abonnés 1 963 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2016
    J.C. Chandor a du talent qui se renouvelle de film en film, c'est son troisième long métrage et le cinéaste nous plonge dans les années 80 dans un milieu très mafieux !! Un Mexicain marié à une Américaine, deux enfants et chef d'entreprise qui rève de grandeurs voit ses ouvriers se faire menacés et les camions volés par un groupe d'intrus. Le personnage central est surveillé par la police et les dettes plombent l'entreprise et il faut trouver l'argent Par-ci par-là. "A most violent Year" est un mixage des films de gangsters qui me fait plus penser au cinéma de Francis Ford Coppola pour la mise en scène élégante avec de belles lumières ainsi que le personnage principal joué superbement par Oscar Isaac qui me fait penser un peu à Al Pacino dans "Le parrain" mais aussi le cinéma de James Gray dans sa globalité pour l'histoire plus particulièrement. Jessica Chastain est excellente dans la peau de l'épouse et on reconnait dans les seconds roles Albert Brooks. C'est le deuxième film que je vois de J.C. Chandor après le bluffant "All is lost" mais ce cinéaste est pétrie de talents et il est a suivre.
    Redzing
    Redzing

    1 112 abonnés 4 468 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2015
    Dans le New-York des 80's, en pleine vague de crimes, un immigré tente de vivre le rêve américain, en développant sa société de livraison de fioul. Il devra affronter des concurrents peu scrupuleux, des banques frigides, et une corruption profonde. Contrairement à ce que le sujet laisse penser, JC Chandor ne lorgne pas du côté des films de gangsters, ou de Martin Scorcese. "A Most Violent Year" fait parfois penser à du James Gray, mais a sa propre identité. On relèvera tout d'abord d'excellents acteurs, notamment Jessica Chastain en femme troublante, ou Oscar Isaac, en chef d'entreprise idéaliste déterminé à rencontrer le succès, en utilisant les moyens les plus droits malgré le contexte. La mise en scène hivernale est sobre mais très soignée, et livre quelques passages qui prennent aux tripes. Par ailleurs, le scénario se révèle bien construit, en proposant des personnages intéressants, et une intrigue réaliste plutôt prenante (n'importe quel personne montant sa boîte pourrait se retrouver au dos du mur comme le protagoniste). Ainsi, "A Most Violent Year" est un drame du qualité, qui tord le cou à l'idée du rêve américain.
    halou
    halou

    118 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mai 2015
    Le troisième film d'un réalisateur à suivre. Son "Margin Call" était remarquable, celui-ci est une pure réussite. Le milieu original décrit avec tant de réalisme et sans fioriture, une musique discrète sur des images sombres collant parfaitement à l'ambiance de l'époque, des acteurs impeccables, une mise en scène et un rythme maîtrisés, le film plonge avec intelligence dans un monde où les décisions ne sont pas simplement binaires.
    matt240490
    matt240490

    83 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2015
    Mis en scène par J. C. Chandor, à qui l'on doit également All is Lost avec Robert Redford, A Most Violent Year fait parti de ces drames contemporains abordant le rêve américain, ballotté entre une justice sociale idéalement accessible et une conjoncture violente soumise aux lois politiques et morales de la société. Incarnant l'un de ses entrepreneurs, Oscar Isaac dépeint un personnage qui respecte l'éthique, travaille pour son pays et vante la réussite par l'effort, ode d'une méritocratie omniprésente. Relativement lent dans son ensemble, le métrage privilégie l'action par les mots, n'éjectant son élément perturbateur que tardivement, au prix d'une attitude jusque là prohibée. Menant à un questionnement interne, "jusqu'où doit-on aller pour réussir ?", le film gagne le respect par sa sobriété et son réalisme, tout en offrant à l'acteur l'un de ses meilleurs rôles.
    Videorama
    Videorama

    23 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2015
    A Most Violent Year est un film prenant, a l'atmosphère pesante. Rien vu de mieux dans le genre depuis The Yard. La b.o et les acteurs sont géniaux!
     Kurosawa
    Kurosawa

    582 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2017
    Avec "A most violent year", J.C Chandor réalise en quelque sorte un anti-polar dans le sens où, contrairement à ce qu'annonce son titre, il met en scène peu de violence. Rivé aux yeux de son personnage principal (Oscar Isaac impeccable), homme d'affaires intègre devant résister aux tentatives d'organisations criminelles qui tentent de briser son business, le film suit une descente aux enfers vertigineuse dans le sens où longtemps la menace est inidentifiable. Dans une froideur qui lui sied à merveille, "A most violent year" réussit quelques scènes magistrales, dont l'une est une improbable course-poursuite sur un pont où à la fois les braqueurs, le braqué et la police se suivent. L'enthousiasme s’estompe pourtant dans un dernier quart d'heure trop évident, qui dévoile les dernières cartes attendues (le rôle de la femme) d'un scénario d'abord mystérieux mais qui finit par boucler de manière classique ses différents axes. Un film à voir tout de même.
    Flaw 70
    Flaw 70

    259 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2015
    Ça y est il est temps de clôturer l'année cinématographique de 2014, car oui même si à l'heure ou j'écris ma critique on est en 2015, le film est techniquement sortie en 2014 donc il fait pour moi partie de cette cuvée et je me devais de voir le nouveau J.C. Chandor avant d'entamer la nouvelle année. Surtout qu'il m'avait déjà fait forte impression avec ses deux premiers films, le réussi mais académique Margin Call et le sympathique mais un peu long All is Lost. Deux films qui avait fait sensation car ils étaient formellement intéressant, surtout le deuxième mais surtout qui se montrait assez habile dans leur écritures, surtout le premier, le deuxième étant plus restreint de ce coté ce qui en fait selon moi son défaut. Car Chandor à des thématiques qu'il souhaite explorer et il s'impose déjà comme un auteur accompli et passionnant, car même si ses thèmes sont classiques comme l’intégrité, la poursuite d'un rêve et les questionnements moraux sur les moyens pour y parvenir, il arrive globalement à détourner les poncifs et clichés de ce genre de thème pour proposer une relecture bien pensé d'histoire en apparence connu de tous. Chose qu'avait réussi à faire Margin Call même si il croulait sous un académisme qui rendait l'ensemble difficilement passionnant mais qu'avait du mal à faire All is Lost, aux thématiques plus étouffés et au scénario assez épuré. Ici on retrouve toute les thématiques propre à Chandor, qui ici s'attaque au rêve américain et à sa supercherie en employant les codes du film de gangsters. D'ailleurs il ne faut pas ce fier au titre du film qui peut induire en erreur car ici il ne sera pas vraiment question de violence, la violence étant plutôt un contexte d'arrière plan qui permet de faire planer un sentiment d'insécurité sur le film. Car ici le thème de la sécurité sera assez important permettant à Chandor d'explorer la paranoïa de ses personnages mais aussi celle d'un pays qui vicier par la violence va si plonger encore plus avec le développement massif des armes à feu, qui ici atterriront même dans les banlieues aisées. Globalement la trame principal ce fera assez classique dans son approche et son déroulé, le film ne m'ayant pas pris par surprise je savais ou il allait m'emmener et ce même pour le final qui je dois dire ce trouve être un poil convenu, je m'attendais à au moins être surpris sur la fin mais ce ne fut pas le cas. Mais au final le but n'est pas là, chez Chandor ce qui l'intéresse avant les ramifications de l'histoire, c'est l'étude de caractères, de personnalités et ce grâce à des personnages solides et très bien écrits. Ici on suit un couple, lui Abel est un immigrant intègre qui rêve de faire fortune mais en restant dans la légalité tandis qu'elle l'aidant dans ses affaires à une psychologie plus trouble et plus enclin aux irrégularités. Ils s'imposent très vite de part leur différences comme antagoniste, tout en étant un couple plausible et solide, d'ailleurs il y a beaucoup de scènes en huit clos ou ils se disputent pour bien souligner leur aspects contradictoires, et ces scènes souligne aussi la finesse des dialogues qui même si parfois ils paraissent anodins, ils ne le sont pas et trouvent un impact plus tard, ils sont très bien pensé et travaillé pour donner à l'ensemble une cohésion parfaite. De plus ils donnent sens à l'évolution psychologique d'Adam qui se fait très subtilement et très intelligemment en évitant tous les stéréotypes possibles et imaginable, arrivant avec habilité à créer un héros de cinéma assez unique en son genre. Le casting lui se trouve être parfait que ce soit dans les seconds rôles ou l'on retiendra un excellent Albert Brooks ou dans les principaux illuminés par le charismatique Oscar Isaac et la ravissante Jessica Chastain. Elle se montre parfaite dans ce rôle de femme forte à la psychologie trouble tandis que lui crève l'écran par sa prestance et la justesse de son jeu, il nous offre une interprétation suave et habité qui me rappelle le Al Pacino des années 70. Il n'est pas la star montante pour rien, il à beaucoup de talent et tien probablement ici son meilleur rôle. Sinon pour la réalisation on à le droit à une photographie jaunâtre très stylisé nous rappelant les derniers Fincher, un montage linéaire et efficace qui offre au film un rythme lent mais pas ennuyant tandis que la sélection musicale est excellente. Pour ce qui est de la mise en scène de J.C. Chandor, il fait dans le classique mais il ne tombe pas ici dans l'académisme. C'est un classique maîtrisé et efficace qui fait admirablement bien le travail notamment dans cette ambiance oppressante et lunatique parfois proche du métaphysique qui m'a rappelé le cinéma de Sidney Lumet des années 70-80. D'ailleurs avec ce choix de mise en scène et un Oscar Isaac proche d'un Pacino des années 70, l'hommage aux films de Lumet est visible et très appréciable. En conclusion A Most Violent Year est un très bon film qui s'impose grâce à une écriture brillante et habile qui modernise et déjoue les codes du genre même si il est parfois attendu. De plus son casting irréprochable et sa mise en scène classique renvoie à l'efficacité et la grâce des vieux films noires des années 70 qui ont vu l’émergence de grand films comme Taxi Driver ou Serpico. Après seul le temps nous dira si A Most Violent Year atteindra le statut culte de tels films mais néanmoins ses qualités sont indéniables et retrouve ce savoir faire de cinéma classique tout en apportant sa touche de modernité et il est sûr que Chandor lui à sa place parmi les grands tel que Scorsese et Lumet. Une très belle façon de conclure 2014 !
    Shephard69
    Shephard69

    332 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 février 2018
    Un excellent thriller à situer au carrefour entre les films de Martin Scorsese et ceux de James Gray comme "Little Odessa" et "The yards" notamment pour sa peinture d'une New-York trouble, corrompue. Sur le thème déjà maintes fois débattu du rêve américain et de l'ascension d'un jeune couple ambitieux, bien loin du faste luxueux de "Scarface", le réalisateur J.C. Chandor en livre là une variation subtile, sublime axée essentiellement sur la vulnérabilité de ses personnages, sur leur dilemme entre droiture morale et malversations financières. Egalement une franche réussite que cette mise en scène basée sur la couleur à l'instar de l'ensemble de la filmographie de Michael Mann ou comme a pu le faire plus récemment Damien Chazelle avec "La la land", une photographie magnifique. Sans oublier les prestations impeccables d'Oscar Isaac et Jessica Chastain. Une grosse sensation que ce polar noir.
    Nyns
    Nyns

    214 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Beaucoup de mal à rentrer correctement dans ce film pour un premier visionnage pas en forme, l'ensemble est assez froid et didactique. Ce qui rend la première approche spectateur en retrait, même si au final l'intérêt finit par se manifester pour cette histoire originale sous forme d'une trame très classique. Le scénario est intelligent et bien ciselé, on reconnait un peu l’envergure qu'avait eu quelques années auparavant l’excellent Margin Call du même auteur. Ce qui a de notable ici, c'est le portrait présenté, sous ce qui semble être un énième film sur le monde de la corruption, nous avons le jeune patron le plus droit possible, qui essaye de faire croître son entreprise en faisant tout son possible pour garder les mains propres, le gars honnête. Qui bien sûr se retrouve malgré lui impliqué dans une histoire pas honnête du tout. Il est sympa ce petit Oscar Isaac, le couple qu'il forme avec Jessica Chastain se complète joliment à l'écran. Même si son interprétation à elle fait plus grincer des dents. N'a pas pour autant l'étoffe d'un chef-d'œuvre tellement il fait “film propre”. Mais la scène de course poursuite m'a bluffé, pas ou presque pas de bande son, on a cette impression d'être sur un nuage, c'est pour des scènes comme celles-ci comme aime le cinéma.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    187 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mars 2015
    Pour son troisième film, le réalisateur de l'excellent Margin Call décide de nous plonger dans le New York de 1981, apparemment l'année la plus meurtrière de la célèbre big apple, avec un personnage principal qui souhaite, coute que coute, réaliser son rêve américain. Et bien on ne regrette absolument pas. Du début à la fin, on est pris par ce personnage qui évite à chaque fois de tomber dans la facilité que lui offrent les gangsters et la mafia lui tournant autour et à toujours se relever dès qu'un coup bas lui ait affligé. Le rythme est parfait, le scénario est original et haletant, la réalisation est époustouflante et les acteurs sont tellement bons qu'on en reste bouche b. De film en film, Oscar Isaac marque des points prouvant qu'il peut tout jouer. Jessica Chastain est encore une fois merveilleuse, cette fois-ci en femme fatale aimante. Il est étonnant que le film n'est pas été nominé une seule fois aux oscars vu les qualités indéniables qu'il accumule.
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