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    A Most Violent Year
    Note moyenne
    3,8
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    374 critiques spectateurs

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    Arsene31
    Arsene31

    2 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 juillet 2019
    film sur les années 80, tourné comme dans les années 70 avec des décors des années 70.
    se laisse voir, mais poussif quand même et scénario assez banal, peu d'originalité.
    petit pitch amusant juste à la fin.
    Uther Zendrest
    Uther Zendrest

    4 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 novembre 2017
    Un film au final très décevant, la fin étant très largement baclée, alors qu'il y avait tous les bon ingrédient pour faire un beau film de mafieux...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 janvier 2015
    Pour moi le meilleur film de l’année ( ) !
    De belles idées de mise en scène (la violence en dehors de l’image, héros à contre-jour dans les négociations). Mentions spéciales pour la lumière (jaune) et les décors (70/80) en skie bicolore.
    Ce film de genre nous offre une analyse sociale, politique et philosophique des limites du libéralisme à travers le prisme du chef d’entreprise idéal et idéaliste qui devra céder à la compromission.
    Si la femme est l’avenir de l’homme, elle est ici glaçante car l’amante y est une religieuse de la violence et de la malversation.
    La scène du suicide et du mouchoir devrait devenir culte (qui a dit cuculte ?).
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 janvier 2015
    L'année la plus lente et ennuyeuse. On n'est pas forcément touché par ce petit entrepreneur à la tête d'une entreprise de distribution de fuel et qui s'évertue à développer sa boîte en rachetant un terminal avec l'argent sale de sa femme. En plus le éclairage est médiocre et produit une image sombre.
    Diane T
    Diane T

    2 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 janvier 2015
    Alors là, je suis surprise ... j'y suis allée, un peu confiante au vue des différentes critiques ... grosse erreur ! J'ai trouvé ce film très bien joué, mais c'est à peu près le seul point positif. C'est très long, lent et au final ... creux ! 2h05 ? Clairement en 1h ça pouvait être bouclé. Je m'attendais à un minimum d'action ... déception, c'est très plat, aucun relief, et une intrigue plus que limitée ! On suit les mésaventures d'un homme gentil qui évolue dans un monde de brutes et qui s'évertue à rester droit ! Pas assez musclé et entrainant et un poil cliché !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 janvier 2015
    Les bonnes critiques sont proportionnelles à l'ennui subi pendant le film. C'est incompréhensible. Un film long, lent, ennuyeux, et sans intérêt. Je déconseille de payer une place de cinéma pour aller voir ce navet soporifique.
    waybee
    waybee

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2015
    Long et glauque. On s'ennuie ferme et le scénario n'a aucun intérêt. Le parti pris de tout filmer dans la pénombre et la grisaille de l'hiver new yorkais pour les extérieurs est déprimant.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    247 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2015
    Dans la course aux Oscars 2015, A Most Violent Year fait déjà figure de grand favori avant même d'avoir conquit le public. Dans la lignée d'American Bluff, le réalisateur J.C. Chandor replonge dans le monde des affaires pour nous raconter le quotidien d'un immigré qui cherche à réaliser son rêve américain.

    Pour son troisième long métrage, J.C. Chandor semble avoir sorti son manuel du parfait réalisateur. Doté d'un budget beaucoup plus confortable que celui de ses précédents films Margin Call et All Is Lost, A Most Violent Year est un flagrant hommage au grands réalisateurs de films de gangsters. Impossible de ne pas penser à Martin Scorsese ou James Gray devant le classicisme très académique de long métrage. Il n'y a jamais de mal à s'inspirer des plus grands surtout quand le résultat est franchement à la hauteur.

    Autre chance de gagner un Oscar, l'histoire de A Most Violent Year est un scénario original écrit par J.C. Chandor. Curieusement le personnage imaginé par le réalisateur rappelle en plusieurs points Nicolas Sarkozy aussi bien dans sa mentalité, dans ses expressions et dans sa carrière où la frontière entre criminalité et légalité est vraiment fine. Les deux hommes sont en effet entourés de gens ayant trempé dans des affaires plutôt louche. Le réalisateur souligne d'ailleurs que le monde des affaires et celui de la politique sont similaires.

    L'histoire de A Most Violent Year n'a rien d'extraordinaire en elle même mais se suit pour autant avec intérêt. On est à 100% derrière cet homme ambitieux à frémir pour lui à chaque galère et à se demander ce que lui réserve le réalisateur et scénariste. Pas le temps de s'ennuyer dans le film qui est ponctué par moments de scènes d'actions augmentant le suspense.

    Progressivement Oscar Isaac a fait son chemin à Hollywood et atteint les sommets depuis environ cinq ans où ils commence à tenir la tête d'affiche. On découvre un nouvel acteur véritablement capable de se métamorphoser de films en films. Musicien Folk sans le sous dans Inside Llewyn Davis de Frères Cohen ou arnaqueur de touristes dans The Two Faces Of January et aujourd'hui homme d'affaire immigré qui tente de réussir à New York. L'acteur est exceptionnel dans le rôle d'Abel Morales, un homme droit et juste qui refuse la facilité de tomber à son tour dans le banditisme ambiant pour réussir.

    Jessica Chastain frappe encore fort dans le rôle de la femme de cet homme d'affaire. Fille de gangster, on a souvent l'impression que c'est elle qui mène réellement les affaires. Albert Brooks qui avait joué avec Oscar Isaac dans Drive incarne leur avocat. Un rôle sérieux pour cet acteur plus connu pour avoir doublé le héros du Monde de Nemo et prêté sa voix à plusieurs personnages des Simpsons. Dernier rôle notable de ce long métrage David Oyelowo joue un procureur sur les basques d'Abel Morales.

    Dire qu'aucun des acteurs à l'affiche de A Most Violent Year n'étaient le premier choix du réalisateur, on serait vraiment passer à coté d'un grand film. Toute cette histoire fonctionne beaucoup sur le travail exceptionnel du caméléon Oscar Isaac et de Jessica Chastain impeccable dans ce couple de nouveaux riches qui ne veulent rien lâcher. Nul doute que grâce à eux, le long métrage de J.C. Chandor deviendra vraiment le classique qu'il cherche à devenir et devrait sans peine faire parler de lui aux Oscars.
    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2021
    Un polar noir intense et prenant porté par une mise en scène élégante au service d’un scénario complexe où manipulations riment avec trahisons, soutenu par les interprétations remarquables d’Oscar Isaac et Jessica Chastain.
    defleppard
    defleppard

    378 abonnés 3 371 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 avril 2015
    Quelque peu ovni ce film. Une intrigue de fond pas très intéressante, rattrapée par une réalisation de qualité, nous emportant sans difficulté jusqu'à la fin de cet opus. 2 étoiles et demie.
    Requiemovies
    Requiemovies

    206 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2015
    «Margin Call» avait démontré le talent de J.C. Chandor, confirmé deux ans plus tard avec «All is lost», conjugué à la participation de Robert Redford, encore en très grande forme.
    Le metteur en scène est de retour, avec un budget plus conséquent et de grandes ambitions. La distribution, elle, brille une fois de plus, puisque Oscar Isaac et Jessica Chastain sont de l’aventure.
    Au départ, un récit simple mais toujours en lien avec une crise, ici la violence, après celle de la finance de «Margin Call» et métaphorique du capitalisme grandissant dans «All is lost». Le scénario donc, centré sur le début des années 80 à New York, années de violence marquées, s’ingénue à dépeindre les contours de la réussite et du rêve américain. Si sur le sujet beaucoup de longs métrages ont déjà vu le jour, dans son traitement et dans le discours, J.C. Chandor fait peau neuve, avec talent. On sent bien évidemment, dans la continuité de sa filmographie, cette envie d’aller vers un classicisme cinématographique, proche d’un Sydney Lumet, ici du moins, ou plus récemment, celui de James Gray, qui bien qu’ayant sa propre grammaire, s’en rapproche par instants (façon de filmer New York, mise en relief importante du caractère prononcé de ses personnages, et de leurs interactions…).
    Nous sommes proches des accents shakespeariens, sans jamais vraiment y perdre pieds, fautes d’enjeux majeurs dans l’évolution du couple interprétés par Jessica Chastain et Oscar Isaac. Le récit et la mise en scène du film se recentrent plus sur les chemins possibles, bons ou mauvais, pour accéder à la réussite. A ce titre, l’ambivalence et les multiplicités des choix qui s’offrent aux personnages principaux réveil l’enjeu de «A most violent year». Comment naviguer entre moralité et accessibilité à ses plus grands rêves. C’est sur ce point, en prenant son temps, que le réalisateur apporte une conclusion intéressante, sans pour autant en avoir mis de côté les risques encourus.
    Scénario efficace, mise en scène encore une fois raffinée, voire théâtrale, dans sa structure. Ajoutons à cela une photo laiteuse de Bradford Young et le tout est réellement captivant.
    En parlant dans un même élan des dilemmes moraux et de la vie d’un couple au cœur des années 80, et en conjuguant l’ensemble avec un regard informé et critique de la naissance du capitalisme, J.C. Chandor livre un film très honnête dont le néoclassicisme rappelle les meilleurs films de certains réalisateurs (Lumet, Pollack…) auxquels il semble rendre hommage. On peut également évoquer une interprétation brillante qui ne dénote pas, bien au contraire, dans l’ensemble picturale et de fond que tente humblement de filmer J.C. Chandor. Une belle note de «vrai» cinéma, presque à l’ancienne.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 février 2019
    Un film très classique dans sa mise en scène mais surtout dans son propos qui se laisse néanmoins regarder grâce à la prestation convaincue des acteurs.
    Starwealther
    Starwealther

    75 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2022
    Un très bon film mafieux avec un réalisateur et des acteurs inconnus au bataillon. Bien que classique, ce film de pègre est très réussi et l'ambiance froide New Yorkaise très bien rendue. J.C Chandor flirte avec le génie de Scorsese (Mean Streets) mais aussi de la noirceur de James Gray (The Yards) ou encore des manigances en tout genre de la série "Les Sopranos". Le réalisateur dresse un portrait assez sombre du New York des années 80 avec son lot de trafic, de coups bas et d'une volonté très marquée de s'enrichir coûte que coûte. Un très bon film à l'atmosphère sombre et glaciale.
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    42 abonnés 1 212 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2023
    Un bon polar porté par d'excellents acteurs. J'ai trouvé que les personnages étaient assez froids et j'ai eu du mal à m'attacher à eux. Le film est sans doute un peu trop formaté et il manque de rebondissements malgré des qualités évidentes. A voir mais on est très loin du chef d'œuvre claironné un peu partout par la presse.
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juillet 2019
    Le moins que l'on puisse dire, c'est que la façon dont le réalisateur a voulu faire passer son message n'est pas très fine. Tout est bon pour prouver que la non-violence est la réponse à tout, y compris et même surtout face à la menace. Après que son employé se soit fait rosser, Abel Morales refuse toute idée de défense et renvoie l'employé dans la gueule du loup. Nouvelle attaque évidemment, mais cette fois l'agent était armé et ne s'est pas pris des coups de crosse dans la figure. Cela donne l'occasion à Morales de traiter son ex-employé de personne stupide et lâche... Mais l'entrepreneur lui se sort de toutes les situations les mains dans les poches ou presque. C'est manichéen et quelque peu grossier... Le film aurait très facilement pu être raccourci d'une bonne demi-heure, ce qui lui aurait donné plus de rythme. La seule scène d'action efficace est la poursuite remarquablement mise en scène d'un camion par la voiture de Morales dans des tunnels étroits et poussiéreux. Parmi les autres points positifs, le film montre adroitement la justice américaine inefficace, avec des magistrats élus qui se préoccupent plus de plaire à l'opinion publique et à ceux qui la font qu'à faire appliquer le droit. Film Intéressant donc, mais un peu poussif.
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