Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Voici
par V.C.
Du grand cinéma.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Virtuose, harassant mais porté par le génie de Ben Whishaw.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une ballade cinématographique chaotique, d’une folle inventivité visuelle.
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
"Limonov, la ballade", un film éblouissant dans la mise en scène signée par un Kirill Serebrennikov inspiré, mais un peu frustrant sur la dernière partie du parcours d'un utopiste devenu fasciste.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ben Whishaw fou, sexy et monstrueux en personnage éminemment dostoïevskien.
Le Parisien
par Renaud Baronian
La matière est là, bouillonnante, le cinéaste la transforme en grand spectacle punk et marginal, grandiloquent comme le personnage de Limonov, et il faut s’accrocher à son fauteuil pour suivre le rythme à travers des audaces cinématographiques folles comme deux plans-séquence qui feront date.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Sur un tempo électrique, très musical, le réalisateur russe filme les frasques et les provocations de cet anti-héros, prend des raccourcis narratifs, joue la carte du réalisme cru, passe du noir et blanc à Moscou à la couleur à New York. Vertigineux !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film foisonnant et halluciné.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jérémie Oro
Dans un geste qui ne relève ni de l’autoportrait déformant ni de complètement autre chose, Serebrenikov moque tendrement le jeune poète de Kharkiv, envie la liberté du trentenaire fauché de New York – où se déroulent les séquences les plus virtuoses et romantiques du long métrage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film halluciné sur le sulfureux Édouard Limonov.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Comme il en a pris l’habitude, Kirill Serebrennikov épate et éclabousse de son talent ce vrai faux biopic où l’écrivain russe prend essentiellement les traits de son personnage fétiche, Eddie.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Paris Match
par Yannick Vely
"Limonov, la ballade" reste un sacré morceau de cinéma, plus retors politiquement qu’on ne le croit.
Sud Ouest
par La Rédaction
Un film complexe et formellement virtuose, où brille Ben Whishaw.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Sébastien Ors
Époustouflant.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Jubilatoire et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Abus de Ciné
par Amande Dionne
Suivant à la trace les différentes étapes de la vie de cet insaisissable punk à l’ego surdimensionné, le film semble célébrer ce personnage sans limites, opportuniste et violent. En enlevant le personnage du témoin admiratif mais inquiet qu'incarnait Emmanuel Carrère dans son livre, le cinéaste laisse du coup en suspend la question de ses intentions et de son propre point de vue sur cet homme trouble.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Ecran Large
par Antoine Desrues
S’il est piégé par son biopic pseudo-exhaustif, Kirill Serebrennikov tire du personnage de Limonov une mosaïque contradictoire et fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Konbini
par Arthur Cios
Serebrennikov n'a plus besoin de prouver à qui que ce soit qu'il est l'un des plus impressionnants plasticiens de son époque, comme le prouve ce film déséquilibré, mais intense et sublime de bout en bout.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Kirill Serebrennikov adapte le roman d’Emmanuel Carrère dans un film à la mise en scène flamboyante mais dont la violence interroge autant que le parcours de ce personnage sulfureux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Se dessine néanmoins le portrait d’un Zelig de la fin du XXe siècle, d’une âme russe monstrueuse, symptomatique de plusieurs décennies de fourvoiements idéologiques ayant mené à Poutine et incarnée avec une détermination trouble par le caméléonesque (et britannique !) Ben Whishaw.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Serebrennikov ne fait bien sûr pas un héros de ce misanthrope pseudo-dissident et surtout opportuniste (Ben Whishaw, étonnant dans ce personnage caméléon) qui ne pense qu’à laisser une trace. Ce faisant, il maltraite sévèrement la notion d’idéologie et c’est sans doute ce qui fait tout l’intérêt de ce portrait foisonnant, ambigu et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si elle peine à démarrer, [cette] ballade semée d'audaces visuelles et narratives, comme les transitions entre les époques et autres plans-séquences virtuoses, a parfois même des airs d'opéra punk.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
Comme Carrère, ce qui captive Kirill Serebrennikov est la « russitude », proprement dostoïevskienne, de Limonov, dont il livre un saisissant portrait diffracté, plastiquement ourlé, giflé en off par les anathèmes crachés à la face du monde par son héros.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
En dépit de quelques fulgurances, le film passe, sciemment semble-t-il, à côté de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pascale Vergereau
L'acteur Ben Whishaw et les images de New York des années 1980 bluffent mais le portrait manque de souffle.
Télérama
par Jacques Morice
Autre défaut : le recours à la seule langue anglaise, gênant pour cette histoire si foncièrement russe où, à travers le destin de Limonov se lit aussi une partie du destin national. Malgré tout, Ben Whishaw excelle en tête brûlée, équivoque à souhait, trash et narcissique, ouvert à tous les écarts.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
L’approche kaléidoscopique du personnage reste artificielle, tant Serebrennikov s’accroche à un unique fil directeur, qui minore l’importance de la politique : l’art.
La Croix
par Céline Rouden
Adapté du livre d’Emmanuel Carrère, le cinéaste russe en exil Kirill Serebrennikov dresse, malgré quelques fulgurances de mise en scène, le portrait ambigu de ce personnage sulfureux, ouvrier et écrivain devenu militant ultranationaliste, qui a contribué à écrire sa propre légende.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Tiré du livre d’Emmanuel Carrère, le film de Kirill Serebrennikov peine à restituer la vie sulfureuse de l’écrivain russe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Laura Tuillier
[...] le film ne trouve pas le point de vue qui l’éloignerait du tout-venant des biopics, habilement mais un peu superficiellement troussé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Josué Morel
Pas de distance critique chez le cinéaste ; on sent au contraire chez lui une forme d’empathie doublée d’une volonté de rendre l’auteur cool, jusque dans son virage crypto-fasciste des années 2000.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Pierre Lunn
Résultat : un film en anglais (une hérésie) qui prétendait sonder l'âme russe et passe à côté de son fascinant protagoniste, héros et salaud contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
Du grand cinéma.
CinemaTeaser
Virtuose, harassant mais porté par le génie de Ben Whishaw.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une ballade cinématographique chaotique, d’une folle inventivité visuelle.
Franceinfo Culture
"Limonov, la ballade", un film éblouissant dans la mise en scène signée par un Kirill Serebrennikov inspiré, mais un peu frustrant sur la dernière partie du parcours d'un utopiste devenu fasciste.
Le Dauphiné Libéré
Ben Whishaw fou, sexy et monstrueux en personnage éminemment dostoïevskien.
Le Parisien
La matière est là, bouillonnante, le cinéaste la transforme en grand spectacle punk et marginal, grandiloquent comme le personnage de Limonov, et il faut s’accrocher à son fauteuil pour suivre le rythme à travers des audaces cinématographiques folles comme deux plans-séquence qui feront date.
Le Point
Sur un tempo électrique, très musical, le réalisateur russe filme les frasques et les provocations de cet anti-héros, prend des raccourcis narratifs, joue la carte du réalisme cru, passe du noir et blanc à Moscou à la couleur à New York. Vertigineux !
Les Echos
Un film foisonnant et halluciné.
Les Inrockuptibles
Dans un geste qui ne relève ni de l’autoportrait déformant ni de complètement autre chose, Serebrenikov moque tendrement le jeune poète de Kharkiv, envie la liberté du trentenaire fauché de New York – où se déroulent les séquences les plus virtuoses et romantiques du long métrage.
Marianne
Un film halluciné sur le sulfureux Édouard Limonov.
Nice-Matin
Comme il en a pris l’habitude, Kirill Serebrennikov épate et éclabousse de son talent ce vrai faux biopic où l’écrivain russe prend essentiellement les traits de son personnage fétiche, Eddie.
Paris Match
"Limonov, la ballade" reste un sacré morceau de cinéma, plus retors politiquement qu’on ne le croit.
Sud Ouest
Un film complexe et formellement virtuose, où brille Ben Whishaw.
Télé 2 semaines
Époustouflant.
aVoir-aLire.com
Jubilatoire et passionnant.
Abus de Ciné
Suivant à la trace les différentes étapes de la vie de cet insaisissable punk à l’ego surdimensionné, le film semble célébrer ce personnage sans limites, opportuniste et violent. En enlevant le personnage du témoin admiratif mais inquiet qu'incarnait Emmanuel Carrère dans son livre, le cinéaste laisse du coup en suspend la question de ses intentions et de son propre point de vue sur cet homme trouble.
Ecran Large
S’il est piégé par son biopic pseudo-exhaustif, Kirill Serebrennikov tire du personnage de Limonov une mosaïque contradictoire et fascinante.
Konbini
Serebrennikov n'a plus besoin de prouver à qui que ce soit qu'il est l'un des plus impressionnants plasticiens de son époque, comme le prouve ce film déséquilibré, mais intense et sublime de bout en bout.
L'Humanité
Kirill Serebrennikov adapte le roman d’Emmanuel Carrère dans un film à la mise en scène flamboyante mais dont la violence interroge autant que le parcours de ce personnage sulfureux.
L'Obs
Se dessine néanmoins le portrait d’un Zelig de la fin du XXe siècle, d’une âme russe monstrueuse, symptomatique de plusieurs décennies de fourvoiements idéologiques ayant mené à Poutine et incarnée avec une détermination trouble par le caméléonesque (et britannique !) Ben Whishaw.
La Voix du Nord
Serebrennikov ne fait bien sûr pas un héros de ce misanthrope pseudo-dissident et surtout opportuniste (Ben Whishaw, étonnant dans ce personnage caméléon) qui ne pense qu’à laisser une trace. Ce faisant, il maltraite sévèrement la notion d’idéologie et c’est sans doute ce qui fait tout l’intérêt de ce portrait foisonnant, ambigu et dérangeant.
Le Journal du Dimanche
Si elle peine à démarrer, [cette] ballade semée d'audaces visuelles et narratives, comme les transitions entre les époques et autres plans-séquences virtuoses, a parfois même des airs d'opéra punk.
Le Monde
Comme Carrère, ce qui captive Kirill Serebrennikov est la « russitude », proprement dostoïevskienne, de Limonov, dont il livre un saisissant portrait diffracté, plastiquement ourlé, giflé en off par les anathèmes crachés à la face du monde par son héros.
Les Fiches du Cinéma
En dépit de quelques fulgurances, le film passe, sciemment semble-t-il, à côté de son sujet.
Ouest France
L'acteur Ben Whishaw et les images de New York des années 1980 bluffent mais le portrait manque de souffle.
Télérama
Autre défaut : le recours à la seule langue anglaise, gênant pour cette histoire si foncièrement russe où, à travers le destin de Limonov se lit aussi une partie du destin national. Malgré tout, Ben Whishaw excelle en tête brûlée, équivoque à souhait, trash et narcissique, ouvert à tous les écarts.
Cahiers du Cinéma
L’approche kaléidoscopique du personnage reste artificielle, tant Serebrennikov s’accroche à un unique fil directeur, qui minore l’importance de la politique : l’art.
La Croix
Adapté du livre d’Emmanuel Carrère, le cinéaste russe en exil Kirill Serebrennikov dresse, malgré quelques fulgurances de mise en scène, le portrait ambigu de ce personnage sulfureux, ouvrier et écrivain devenu militant ultranationaliste, qui a contribué à écrire sa propre légende.
Le Figaro
Tiré du livre d’Emmanuel Carrère, le film de Kirill Serebrennikov peine à restituer la vie sulfureuse de l’écrivain russe.
Libération
[...] le film ne trouve pas le point de vue qui l’éloignerait du tout-venant des biopics, habilement mais un peu superficiellement troussé.
Critikat.com
Pas de distance critique chez le cinéaste ; on sent au contraire chez lui une forme d’empathie doublée d’une volonté de rendre l’auteur cool, jusque dans son virage crypto-fasciste des années 2000.
Première
Résultat : un film en anglais (une hérésie) qui prétendait sonder l'âme russe et passe à côté de son fascinant protagoniste, héros et salaud contemporain.