La Légende du pianiste sur l'océan : Critique presse
La Légende du pianiste sur l'océan
Note moyenne
3,2
10 titres de presse
Le Figaro
Cinopsis.com
Le Figaroscope
L'Express
Le Point
Lenouveaucinema.com
Première
Télérama
Fluctuat.net
L'Obs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
The Legend of 1900 possède sans conteste ce caractère magique superbement servi par un Tim Roth remarquable dans le rôle de Nineteen Hundred…
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Guiseppe Tornatore offre ici un film étrange et poétique. Tim Roth ne joue pas. Il est éblouissant, comme possédé par son rôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Lenouveaucinema.com
par E.B.
La dernière fresque romantique de Guiseppe Tornatore devrait séduire les nostalgiques du siècle qui appréhendent d'aborder les rivages du troisième millénaire.
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Première
par Virginie Apiou
Ici, tout respire et étouffe le bon vieux temps, décor, musique (...), et même les figurants. (...) Face à ce débordement de sentiments, seul Tim Roth oppose un regard naïf qui colle très bien avec son personnage de génial pianiste inadapté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Lorsque Tornatore consent à calmer ses ardeurs techniques, la sensibilité de Cinema Paradiso n'est pas loin. Le scénario est si romanesque, si original que le charme agit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Fluctuat.net
par Stéphane Lepreux
Le manipulateur Tornatore cherche évidemment l'empathie du public pour son héros. Après avoir été méprisé et pris pour un imbécile, le spectateur, agacé par tant de vacuité, n'a plus qu'à pleurer, non pas sur le sort du musicien, mais sur le sien.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) le scénario peine à la développer, et Tornatore ne se libère pas d'un décor écrasant qui devient vite la raison d'être du film. Tim Roth fait ce qu'il peut, souvent très bien, ça ne suffit pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Cinopsis.com
The Legend of 1900 possède sans conteste ce caractère magique superbement servi par un Tim Roth remarquable dans le rôle de Nineteen Hundred…
Le Figaroscope
Guiseppe Tornatore offre ici un film étrange et poétique. Tim Roth ne joue pas. Il est éblouissant, comme possédé par son rôle.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Lenouveaucinema.com
La dernière fresque romantique de Guiseppe Tornatore devrait séduire les nostalgiques du siècle qui appréhendent d'aborder les rivages du troisième millénaire.
Première
Ici, tout respire et étouffe le bon vieux temps, décor, musique (...), et même les figurants. (...) Face à ce débordement de sentiments, seul Tim Roth oppose un regard naïf qui colle très bien avec son personnage de génial pianiste inadapté.
Télérama
Lorsque Tornatore consent à calmer ses ardeurs techniques, la sensibilité de Cinema Paradiso n'est pas loin. Le scénario est si romanesque, si original que le charme agit.
Fluctuat.net
Le manipulateur Tornatore cherche évidemment l'empathie du public pour son héros. Après avoir été méprisé et pris pour un imbécile, le spectateur, agacé par tant de vacuité, n'a plus qu'à pleurer, non pas sur le sort du musicien, mais sur le sien.
L'Obs
(...) le scénario peine à la développer, et Tornatore ne se libère pas d'un décor écrasant qui devient vite la raison d'être du film. Tim Roth fait ce qu'il peut, souvent très bien, ça ne suffit pas.