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    Les Poings contre les murs
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    260 critiques spectateurs

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    defleppard
    defleppard

    322 abonnés 3 259 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 octobre 2014
    Un père et un fils, tous les 2 criminels, se retrouvent dans la même prison. Bonne réalisation, mais n'arrive pas au niveau de "Un prophète". 2 étoiles et demie.
    PLR
    PLR

    413 abonnés 1 492 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2014
    Une description minitieuse de l'univers carcéral ordinaire sans sensationnel : ici pas de quartier haute sécurité ni haute technologie, ni tentative rocambolesque d'évasion. Des murs, des condamnés entre les murs, des gardiens, une atmosphère glauque, l'ennui des journées, le psychologue de service (particulièrement crédible et ayant la foi en la réinsertion dans ce monde de brutes). Une sorte de documentaire, au-delà de l'alibi du scénario centré (à peine) sur une relation père / fils chahutée. Violent, remuant.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    230 abonnés 882 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juin 2014
    Réalisateur de deux histoires d'amour sur fond de rock ou de science fiction en 2011, David McKenzie change radicalement de style avec son nouveau film Les Poings Contre Les Murs. Une immersion dans une prison anglaise pleine de désespoir et de scènes chocs comme si il avait eu besoin d'exorciser un trop plein de romantisme.

    A 19 ans Eric se retrouve transféré dans un prison pour adultes pour homicide. Dur à cuire, le jeune homme va jouer des coudes pour se faire une place parmi les détenus. C'est surtout aussi l'occasion de retrouver son père emprisonné dans l'établissement depuis des années et qu'il n'avait pas revu depuis ses cinq ans.

    Le film carcéral n'a pas attendu la série Prison Break pour exister mais semble être à nouveau à la mode ces dernières années avec des films en provenance de différents pays comme Bronson, Dog Pound, Un Prophète ou R. Alors qu'avant on nous racontait plutôt des histoires d'évasion, ce sont maintenant plutôt des films quasi documentaires qui nous plongent dans l'enfer des prisons et nous montrent à quel point la loi du plus fort est la seule encore en cours dans l'univers carcéral.

    Difficile dans ces conditions de réussir à proposer un peu de sang neuf dans cette profusion de films. L'histoire du film de David Mackenzie commence comme toute les autres par l'habituelle fouille au corps et l'installation en cellule. Elle va se distinguer petit à petit par le parcours singulier du personnage principal qui va en retrouver en prison l'autorité d'un père qu'il n'a jamais connu. Déçu de retrouver son fils ici, celui ci aimerait le conseiller pour lui éviter le même parcours mais Eric a la tête dur et compte bien faire à sa manière pour s'imposer ici malgré son jeune age.

    A le voir comme ça, Eric ne semble pas être un mauvais garçon. Pourtant on ne tarde pas à voir qu'il a déjà l'habitude de l'incarcération et qu'il aussi toutes les techniques pour survivre dans ce monde impitoyable. Un garçon perdu qui inconsciemment a du souhaiter retrouver son père mais qui a aussi un passé très lourd qui lui a forgé une voie toute tracée sur les traces de son paternel. Comme Bronson, ni la prison ni personne ne semble lui faire peur et aggraver son cas ne semble pas être une crainte pour lui.

    Les Poings Contre Les Murs c'est aussi en parallèle l'histoire d'Oliver, un éducateur bénévole qui voudrait prendre Eric sous son aile pour l'aider à s'en sortir. Il est le dernier rempart d'humanité dans cet univers carcéral où lorsque les matons ne sont pas aussi voyous que les prisonniers, ils sont souvent des crapules encore pire près à se débarrasser des fortes têtes de manière expéditive. Un personnage qui est quelque part un peu autobiographique pour le scénariste Jonathan Asser qui s'est servi de son expérience de thérapeute dans les prisons de Londres pour écrire cette histoire.

    Déjà dur à cuire dans le film d'horreur Eden Lake, dans lequel il torturait un couple d'amoureux, Jack O'Connell tient le rôle du jeune Eric. Une prestation violente dans les paroles et les actes qui a permis au jeune comédien d'aller conquérir Hollywood avec des rôles dans la suite de 300 et dans la prochaine réalisation d'Angelina Jolie. Son père est joué par Ben Mendelsohn, acteur spécialisé dans les seconds rôles remarqués entre autre dans Animal Kingdom mais aussi à l'affiche de The Dark Knight Rises. Enfin c'est Rupert Friend qui incarne l'éducateur zélé, un personnage différent dans la filmographie de l'acteur jusque là célèbre pour ses rôles romantiques.

    Si une impression de déjà-vu domine tout le long du film de David Mackenzie, cela n'empêche pas de suivre avec intérêt l'histoire d'Eric. Jeune homme à la vie brisée par une éducation laxiste qui l'a poussé tout droit vers le même destin que son père. La preuve que l'histoire est un éternelle recommencement et qu'il n'est pas forcement possible de changer son destin lorsqu'on est parti avec les mauvaises cartes dès le départ.
    Hotinhere
    Hotinhere

    443 abonnés 4 780 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 octobre 2020
    Un récit de survie en milieu carcéral ultra-violent porté par une réal efficace, intense et réaliste, et par l'interprétation impressionnante de Jack O'Connel.
    Requiemovies
    Requiemovies

    188 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juin 2014
    (...)
    Tout d’abord, Jack O’Connell qui électrise, magnétise, chaque plan de sa présence. Une subtilité de jeu qu’on voit trop rarement chez les jeunes comédiens de sa génération (22 ans au cours du tournage). Il s’emploie à parcourir des montagnes russes de sentiments aussi divers que variés, et donne ainsi à son personnage l’ampleur nécessaire pour en faire la force majeure du film, toujours dans une subtilité de réalisme.
    Dans ce cadre, il ne faudrait pas oublier le trop rare et sous-estimé Ben Mendelsohn (Killing Them Softly, The Place Beyond The Pines) qui dans le rôle d’un paternel en pleine rédemption éducative livre une performance de haute tenue.
    Mais la magie réaliste et presque documentée qui ressort du film ne pourrait fonctionner sans l’alchimie équilibrée d’une mise en scène intelligente et le jeu de comédiens aussi élevés.
    David McKenzie réussit à tenir jusqu’au bout cet accord presque parfait, puisque certaines séquences, avec subtilités, se répondront tout au long du film, avec un épilogue plein de métaphore, qui fait écho, au prologue d’un film extrêmement viscéral.
    (...) David McKenzie apporte dans un même élan plusieurs enjeux dramatiques, filiation, critique du milieu carcéral et d’une réhabilitation possible, violence de ce milieu. Tout est balayé dans un équilibre judicieux et bien pensé. Bien sûr le scénario n’est pas en reste sur tous ces points, mais le metteur en scène et les comédiens ont su donner vie à cet ensemble aussi percutant, touchant et réflectif.
    (...)Dans une certaine mesure le film y arrive, puisque en terme de comparaison Dog Pound serait presque un conte pour enfant devant le radicalisme et la probable vérité qui défile devant nos yeux. Toujours intelligent, radical et presque Oedipien, «Les poings les murs» est le film de prison qu’on ne s’attendait plus à voir et laisse KO bien longtemps après la projection. Belle surprise, totalement efficace et touchante.
    dejihem
    dejihem

    121 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2014
    Une vraie réussite. La relation père-fils, thème nouveau dans les films de zonzon, est ici traitée avec néoréalisme, humour quand il le faut, distance avec les histoires avec les autres prisonniers. Un film étouffant comme il le faut. Le "mobile" de l'incarcération a par contre déjà été traité dans un film ricain. Le jeune acteur est absolument saisissant, comme tous les autres d'ailleurs. Vive le cinéma britannique !
    kibruk
    kibruk

    115 abonnés 2 407 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mars 2018
    Film carcéral très codifié et très cliché, l'accumulation de violence et la multiplicité des adversaires du personnage principal finissent par porter préjudice à la crédibilité de l'ensemble. Et finalement Mackenzie passe à côté de ce qui faisait la singularité de l'histoire : les retrouvailles d'un père et de son fils dans une prison.
    Charlotte28
    Charlotte28

    97 abonnés 1 772 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2020
    Sans révolutionner le genre du film carcéral, ce cru britannique marque tout de même par son portrait sans concession de la vie emprisonnée où se crée un nouveau mode de fonctionnement sociétal grâce aux choix du réalisateur (dont il faut découvrir son bouleversant Perfect Sense!) d'une absence de musique, de comédiens à la sincérité apparente et du portrait d'une relation père-fils intense. Mais quelle bande-son catastrophique!
    Starwealther
    Starwealther

    50 abonnés 1 174 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2022
    David Mackenzie m'avait ravi avec l'excellent "Comancheria" mais il n'en est pas de même pour "Starred Up", film décrivant la violence omniprésente en prison. Le réalisateur se lance dans un film sur l'univers carcéral comme il en existe déjà beaucoup. L'intérêt est assez faiblard sachant à quel point le sujet a déjà été traité de très belle manière avec Jacques Audiard pour "Un Prophète", par Alan Parker pour "Midnight Express" ou encore "Bronson" de Nicolas Winding Refn. Le britannique Mackenzie n'aborde que la partie violence du monde pénitencier, il n'est pas question de drogue ou autres trafics comme dans beaucoup d'autres films. Le cinéaste essaye d'introduire une dimension sociale par la relation entre un père et son fils mais ça ne prend pas vraiment. Une déception mais pour les personnes qui aiment la violence et des bastons à n'en plus finir vous pouvez y aller les yeux fermés.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    29 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 août 2021
    Une histoire d'ado emprisonné qui a la rage, une de plus allez vous me dire et je suis bien d'accord. OK l'interpretation de Jack O'Connell est ultra convaincante et heureusement car c'est le principal point fort des "poings contre les murs". Ben Mendehlson (en taule également) dans le rôle du père m'a moins convaincu. La fin à la fois "happy" et sombre m'a parue un peu facile. 3 / 5 pour l'interprétation du heros
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 266 abonnés 12 179 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 novembre 2017
    Encore un film sur le milieu carcèral! Celui-ci est du genre honorable sans surpasser toutefois des oeuvres marquantes tels que "Midnight Express", "Un prophète" ou encore "R". David Mackenzie s'est - parait-il - inspirè de deux classiques radicalement diffèrents à son long-mètrage! il s'agit d'une part de "Un condamnè à mort s'est èchappè" dont Mackenzie admire Robert Bresson et l'attention portèe aux dètails et de "L'èvadè d'Alcatraz", rèalisè par Don Siegel, avec cette volontè d'èpure et le refus de tout sentimentalisme! Pour une fois, dans un film qui se passe en prison, la couleur de peau ou l'appartenance religieuse n'a strictement aucun intèrêt puisque le metteur en scène prèfère se concentrer sur la relation père / fils, mise quasiment au premier plan! Les deux points forts de "Starred Up", c'est avant tout le soin apportè à la reprèsentation de la violence et surtout son acteur principal, le saisissant Jack O'Connell! On a vraiment l'impression de voir un dèlinquant mineur et le comèdien britannique arrive bien à retranscrire ça à l'ècran, le genre qui prèfère attaquer d'entrèe de jeu que de perdre son honneur! Dommage que l'histoire peine à dècoller et que certains seconds rôles comme Peter Ferdinando (bonjour le boss) finissent par plomber le sujet...
    FaRem
    FaRem

    7 581 abonnés 8 918 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2014
    Le scénariste Jonathan Asser a écrit le scénario après avoir été thérapeute volontaire dans une prison il sait donc très bien ce qu'il fait et même si ce n'est pas une histoire vraie on peut croire en la véracité de certains détails. Dans ce film c'est l'histoire d'un jeune homme qui est mis en avant lorsqu'il passe de la maison de correction à la prison voilà pourquoi le film s'appelle "Starred up" c'est ce que veut dire ce passage au niveau "supérieur". L'acteur principal qui est d'ailleurs très bon comme le reste du casting incarne une nouvelle fois une tête brûlée qui n'a peur de rien comme c'était déjà le cas dans l'excellent "Eden Lake" avec le rôle de Brett. Le réalisateur a fait le choix astucieux de ne pas parler du passé, du moins au départ, ni de la cause de sa détention pour vraiment qu'on se focalise sur son parcours en prison et c'est un choix payant puisqu'on se prend de sympathie pour se personnage complètement dingue qui ne tarde pas à se faire remarquer dans la prison. Le film n'est peut être pas le film coup de poing comme annoncé il n'en demeure pas moins un film agréable et fort mais qui pèche au niveau de l'originalité et du traitement très classique de toute manière je pense que si on a vu la très bonne série "Oz" on a plus rien à apprendre sur la violence ou sur la rédemption possible dans un univers carcéral et rien ne pourra être aussi fort et intense que dans cette série
    selenie
    selenie

    5 559 abonnés 6 040 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juin 2014
    David MacKenzie est un réalisateur prometteur, remarqué pour "My name is Hallam Foe" (2007), il avait trébuché avec "Toy Boy" (2009) avant de re-confirmé avec "Perfect Sense" (2011) et "Rock'n Love" (2011)... Cette fois il signe un film dans le genre coup de poing (sans jeu de mot) sur l'univers carcéral. Un sous-genre en soi qui a déjà offert de grands films et donc, par définition pas aussi facile. MacKenzie s'est dit inspiré par "Un condamné à mort s'est échappé" (1956) de Robert Bresson et "L'Evadé d'Alactraz" (1979) de Don Siegel... Mouais... On pense surtout à l'excellent "Dog Pound" (2010) de Kim Chapiron... A la différence près que le mineur est ici surclassé chez les majeurs. Les films de prisons ont leur mode, il y a eu par exemple la lutte du prisonnier contre les matons ou l'univers carcéral ("Luke la main froide" à "Haute sécurité"), l'évasion ("Le Trou" ou "Les Evadés") et depuis quelques années c'est plutôt les luttes intestines entre prisonniers ("Le Prophète" ou "Midnight Express")... Ici tout repose sur le lien père-fils, le jeunen arrivant dans la prison où est détenu son père depuis des années. Le jeune est devenu un chien enragé, parfaite image à la face de son paternel absent depuis toujours. MacKenzie offre un cahier des charges du genre parfait mais en ne tombant pas systématqiuement dans le cliché. Les matons ne sont pas tous des anges mais ne sont pas pour autant des sadiques, tous les prisonniers ne sont pas des fous furieux et le marché noir n'est pas omniprésent dans l'intrigue... Tourné dans une ancienne vraie prison à Belfast (Ulster) on est impressionné par la performance de Jack O'Connell remarqué dans la série "Skins" et dernièrement dans "300 - naissance d'un empire" (2014) de Noam Murro, face à un excellent, éclectique et trop méconnu Ben Mendelsohn ("Animal Kingdom" (2010) de David Michôd à "Perfect Mothers" (2013) de Anne Fontaine). L'univers montré n'est pas hyper stricte, une scène est clairement inspiré du "Bronson" (2009) de Nicolas Winding Refn... Un très bon film mais qui souffre de trop de référence pour se placer au-dessus de la mêlée. Au centre du récit notons que le personnage du thérapeute n'est autre que l'alter-ego du scénariste Jonathan Asser, poète qui s'est reconverti auprès d'un maison d'arrêt de Londres. Poète, dommage que le film n'en a cure, le film aurait sans doute eut une originalité plus marquée. Néanmoins ce film est à conseiller, moins sombre que "Dog Pound", moins démonstratif que "Bronson" mais très efficace et un rage omniprésente.
    ffred
    ffred

    1 531 abonnés 3 972 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juin 2014
    Nouveau film de David Mackenzie après le très beau Perfect Sense (2012). Le genre est différent mais le style est toujours là. Peut être moins âpre et moins noir que le danois R sorti plus tôt cette année, Les poings sur les murs ne bénéficie pas moins d'une mise en scène solide et d'un scénario réaliste bien écrit (le premier de Jonathan Asser tiré de sa propre expérience dans les prisons). Tous les codes du film carcéral sont...
    Jorik V
    Jorik V

    1 212 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 juin 2014
    Un bel uppercut que ce film anglais du touche-à-tout David McKenzie ! Investissant le terrain archi-balisé du film de prison (un sous-genre cinématographique à lui seul), il filme à au plus près ce microcosme si particulier qui fonctionne et s’organise comme une société à part entière où chacun joue un rôle bien défini. Cela avait rarement été montré sur grand écran avec autan d’acuité. On sent que le metteur en scène s’est fortement documenté avant de se lancer dans ce projet. Frontières sexuelles abolies, rapports de force et de domination, économie souterraine, trafic en tous genres, lois parallèles, tous ces faits sont auscultés sans que l’on ait l’impression d’être devant un documentaire et que cela nuise à l’aspect fictionnel. Et quel aspect ! Sous couvert de l’arrivée d’un mineur transféré de son centre de détention à une prison pour adultes où se trouve son père, c’est une histoire d’amour et de haine déchirante entre un fils et son père qu’il nous est donné de voir. Deux hommes qui n’ont pas eu l’occasion de se dire qu’ils s’aiment et dont les insultes, la violence et la vulgarité sont leur seule façon de se le prouver. Tout le sel du film vient de cette relation et permet de le sortir des sentiers battus du film carcéral. Cela n’empêche que tout le reste est diablement réussi : constamment sous tension dans les scènes de cellules, plus apaisé et réflexif lorsqu’on on se trouve dans la salle de cours, le film gagne à tous les coups et évite tout manichéisme. Et l’interprétation des deux acteurs principaux jour également à la pleine réussite de ce film choc : Jack O’Connell est impressionnant de violence et d’impulsivité sous ces airs d’ange tandis que Ben Mendelshon confirme que sa tête n’a pas fini de hanter les personnages de truands. Une éclatante réussite qui vous met K.O.
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