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Un visiteur
4,0
Publiée le 5 août 2014
(...) Ce premier film agit comme une véritable révélation, que ce soit pour les auteurs comme pour les acteurs. La mise en scène est d’une grande maturité et permet une immersion totale dans ce groupe d’adolescents aussi fragiles que courageux. Même si cette réalisation souffre de certains aspects répétitifs avec un style caméra à l’épaule mal exploité, on ne boudera pas notre plaisir. Ainsi, nous ne pouvons que féliciter ces jeunes réalisateurs talentueux, qui vont évidemment émerger et à qui nous souhaitons le meilleur (...) Tout ce talent est mis à disposition pour un film sincère et touchant, au thème intelligent et à la réalisation certes parfois bancale, mais largement perfectible. Bravo à ce beau travail pour leur tout premier film, que nous vous recommandons vivement.
(...) Ce premier film agit comme une véritable révélation, que ce soit pour les auteurs comme pour les acteurs. La mise en scène est d’une grande maturité et permet une immersion totale dans ce groupe d’adolescents aussi fragiles que courageux. Même si cette réalisation souffre de certains aspects répétitifs avec un style caméra à l’épaule mal exploité, on ne boudera pas notre plaisir. Ainsi, nous ne pouvons que féliciter ces jeunes réalisateurs talentueux, qui vont évidemment émerger et à qui nous souhaitons le meilleur (...) Tout ce talent est mis à disposition pour un film sincère et touchant, au thème intelligent et à la réalisation certes parfois bancale, mais largement perfectible. Bravo à ce beau travail pour leur tout premier film, que nous vous recommandons vivement.
On dirait un film de fin de cursus d'une école de cinéma. Dialogues et mise en scène baclés, scénario assez réduit où les personnages n'évoluent pas, tel Léo. Toutes les images semblent n'être le résultat que d'une seule prise, tant certaines scènes sont approximatives. Le tout frise l'indigence. Il n'y a rien à sauver dans ce film. Aucun personnage n'est attachant, de plus on est souvent dans la caricature.
Olivier Vidal et Sebastien Maggiani sont deux réalisateurs résidant à Montpellier, le dernier venant tout juste d’obtenir son bac. Cependant, il débute le cinéma à 13 ans pour son premier court métrage sur la maladie de Cutis laxa, une maladie de vieillissement de la peau précoce. Faisant déjà preuve d’une maturité incroyable, il continue sur sa lancée et commence à coréaliser des films avec Olivier Vidal, un réalisateur tout aussi talentueux qui a commencé en 2002 avec Au loin…l’horizon, avec le regretté Mouss Diouf. En 2012, commence le projet Hasta Manana, produit par SoFilms Indépendants, en partie sous forme de kickstarting (financement libre), et s’offrant de surprenants guests.
Un film frôlant la niaiserie qui, de plus, est si mal filmé. La mise en scène est foutraque, l'utilisation de la caméra épaule pour camoufler une maladresse évidente et faire croire ainsi à une maîtrise de la mise en scène.
Franchement je ne suis pas fan de films d'auteurs mais là j'y suis allé par curiosité et franchement je n'ai pas été déçu. Le dénouement du film vaut le détour! Une agréable surprise
Vu le film à Pornic avec beaucoup de plaisir et d'intérêt. Histoire intéressante et qui permet de découvrir ces petits lieux de vie pour des enfants abimés par la vie. Le récit est bien mené, les acteurs sont prometteurs et bien sélectionnés pour les rôles qui leur ont été attribués. U, grand travail de photographie avec des cadrages superbes portés par un travail de post production de qualité. Du plaisir, de la réflexion, ne pas hésiter, mérite d'être vu.
Je ne suivrai pas la critique considérant cette œuvre comme fraiche et révélatrice des talents tant du réalisateur que des acteurs. En fait, j’ai eu l’impression d’un film frôlant la niaiserie dans son scénario mollasson, avec des acteurs pas toujours à la hauteur de leurs rôles respectifs. Le film se regarde néanmoins sans déplaisir mais sans passion non plus, ni envie particulière : on souhaite juste savoir comment l’histoire se terminera. Quelques beaux cadrages de la caméra qui fixent des paysages magnifiques, quelques moments touchants, une histoire d’amitié sincère mais des longueurs, des dialogues pauvres et des postures caricaturales qui ne permettent pas de tirer ce film vers le haut.
Dans la mouvance d’un "Je vais bien, ne t’en fais pas", "Hasta Mañana" est, malgré ses défauts de jeunesse, une belle découverte de jeunes talents qui ne méritent que l’éclosion. Un des co-réalisateurs, Sébastien Maggiani, du haut de ses 18 ans, est d'ailleurs l’un des plus jeunes réalisateurs de France.
Suite de la critique et interview des deux réalisateurs sur Bulles de Culture..
Co-réalisé par le plus jeune réalisateur de France (Sébastien, 17 ans) et par Olivier Vidal, ce long-métrage au très joli casting mérite d'être soutenu car il s'inscrit dans la catégorie des films d'auteur indépendants français honnêtes et sincères ! L'histoire touchante de deux adolescents dans un contexte particulier et pourtant à l'amitié très forte ! Quand l'un part pour aider l'autre, l'autre devient malade de ne plus pouvoir être avec son semblable. Une belle réalisation, une superbe bande originale, de beaux seconds rôles. A soutenir !!!
Ces jeunes cinéastes méritent des encouragements pour ce premier long métrage. Le jeu des acteurs et le thème sont intéressants. Le démarrage un peu lent, est vite oublié, et la chute ....Le contexte de ce film n'est pas simple et pourtant il laisse une impression de fraîcheur, qui persiste. Bravo !
Très frais et positif sur un sujet complexe : les maisons d'accueil pour enfants.Très belle réussite pour ce petit budget qui mérite d'être pardonné pour ses imperfections de jeunesse.