AlloCiné
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Fêtons le cinéma
Reprise plagiaire du Se7en de David Fincher (1995), Resurrection atteste une fois de plus la dégringolade du réalisateur australien Russell Mulcahy depuis son intrigant Razorback (1984) et le culte Highlander (1986) : soit la traque par un duo de policiers d’un tueur en série soucieux de recomposer, par le prélèvement d’un membre à ses victimes, le corps du Christ en croix. Références à la Bible par indices cachés, fanatisme religieux sur fond d’apocalypse – End of Days (Peter Hyams) sort la même année –, jeu de pistes dans un Chicago qui rappelle d’ailleurs le troisième volet des aventures de John McClane (John McTiernan, 1995), tout cela ne brille ni par son originalité ni par le traitement qu’en fait un réalisateur tiraillé entre la mollesse de son récit et les élans clipesques de sa mise en scène, dépourvue de sens et de lisibilité. Seule la dernière partie, comprenant ladite course-poursuite dans la ville de Chicago, dispose d’une certaine efficacité : les mouvements intempestifs de la caméra, le travail sur le flou et les travellings circulaires créent une paranoïa mimétique de l’état d’esprit de notre héros, confronté encore et encore à l’échec de ses entreprises et à la fatalité d’arriver toujours trop tard. La séquence du métro, brève mais efficace, concentre ses frustrations et sa volonté farouche de conjurer un sort défavorable. Notons enfin que Christophe Lambert, desservi par des dialogues niais, s’avère néanmoins convaincant. Un mauvais film émaillé de réussites locales.
ConFucAmuS
Rendons à Christophe ce qui est à Lambert puisque le comédien est à l'origine du projet. Ne commencez pas à associer Resurrection au thriller culte Seven hein. Un serial-killer branché théologie, le duo d'inspecteurs, le générique, l'ambiance poisseuse, les meurtres barbares, la photographie, le temps dégueulasse, Leland Orser,...Arrêtez, on vous dit aucun rapport ! David Fincher n'y est pour rien, rien du tout ! C'est Christophe (ou Christopher, à l'américaine) qui a eu l'illumination comme ça, tel un messager du ciel venu répandre sa bonne parole aux creux de nos oreilles de simples terrestres. Et puis de toute façon, Fincher ne s'est jamais manifesté pour faire reconnaître sa paternité ! Donc le géniteur, c'est le CriCri, c'est le Totophe., c'est le Christophe. Et il peut être fier !
Le millénaire ne pouvait pas s'achever sans réunir la paire légendaire derrière Highlander et Highlander, le retour (yes !). Resurrection met les petits plats dans les grands avec un Russell Mulcahy chaud comme la braise, qui nous caresse la rétine à coups de ralentis/accélérés habiles et d'anamorphoses avant-gardistes. Ah bah il fallait se mettre au niveau avec un script de ce calibre. Pensez bien que le scénariste Brad "Highlander 3" Mirman aimait tellement l'idée de Totophe qu'il a buché pendant au moins une ou deux semaines afin de livrer ce trésor du film policier. Pas besoin de révision ou de réécriture, tout était pensé et calibré histoire de rejoindre les pointures du genre. Allez hop, il nous dépoussière en un rien de temps les concepts du superflic traumatisé (une séquence d'accident légendaire), du tueur en série impénétrable ou d'une police à l'intelligence surprenante. Vous n'êtes pas prêts pour l'évasion dans le dernier acte... On enchaine scènes de crimes inspirées, dialogues fins et profonds, traits d'humour imparables puis rebondissements en cascades. Et ce climax final ! Un délice.
C'est peu dire que Resurrection enchaine les surprises et séquences chocs parfois en même temps. Presque trop pour les yeux, oreilles et cerveaux ! Heureusement, on peut compter sur l'irremplaçable Christophe alias John Prudhomme, le crack des cracks qui découpe des coupons de promos entre deux déductions de haut vol ("1+1 égale 2"). Le comédien alterne avec génie le non-expressionnisme et le surréalisme. De surcroit, Lambert gratifie la production d'un nouvel éclat de rire à ranger parmi ses plus beaux moments. On ne révèlera pas l'identité du grand méchant illuminé, mais sachez qu'il est impossible de le confondre tant la direction d'acteurs relève du machiavélisme. Chez les seconds-rôles, Leland Orser est en retrait avec une prestation un peu trop sobre face à ses partenaires. Étonnamment, les autres acteurs trainent aussi un peu derrière Lambert, comme s'ils ne comprenaient pas tout, (en particulier David Cronenberg, dans un caméo lunaire). Bon, on ne peut pas complètement leur en vouloir, on ne sait pas toujours à quel moment on participe à un classique en devenir !
Plus de vingt ans après les faits, Resurrection s'impose comme l'un des suiveurs les plus marquants de Seven (allez, reconnaissons qu'il s'en inspire un peu). Pur plaisir de spectateur et point culminant dans la carrière de Christophe Lambert, qui enchainait là un puissance 4 d'exception entre ce film-là, Beowulf, Fortress 2 et Vercingétorix. Un super-combo dont on peine encore à se relever aujourd'hui (et c'est pareil pour lui). Le long-métrage de Mulcahy n'aura malheureusement pas le succès escompté, cruelle injustice ! Une erreur petit à petit réparée avec les joies du streaming combiné à l'amour de spectateurs esthètes dans l'exercice du masochisme en groupe. Dans son genre, Resurrection fait particulièrement mal et c'est tellement bon comme ça !
Le millénaire ne pouvait pas s'achever sans réunir la paire légendaire derrière Highlander et Highlander, le retour (yes !). Resurrection met les petits plats dans les grands avec un Russell Mulcahy chaud comme la braise, qui nous caresse la rétine à coups de ralentis/accélérés habiles et d'anamorphoses avant-gardistes. Ah bah il fallait se mettre au niveau avec un script de ce calibre. Pensez bien que le scénariste Brad "Highlander 3" Mirman aimait tellement l'idée de Totophe qu'il a buché pendant au moins une ou deux semaines afin de livrer ce trésor du film policier. Pas besoin de révision ou de réécriture, tout était pensé et calibré histoire de rejoindre les pointures du genre. Allez hop, il nous dépoussière en un rien de temps les concepts du superflic traumatisé (une séquence d'accident légendaire), du tueur en série impénétrable ou d'une police à l'intelligence surprenante. Vous n'êtes pas prêts pour l'évasion dans le dernier acte... On enchaine scènes de crimes inspirées, dialogues fins et profonds, traits d'humour imparables puis rebondissements en cascades. Et ce climax final ! Un délice.
C'est peu dire que Resurrection enchaine les surprises et séquences chocs parfois en même temps. Presque trop pour les yeux, oreilles et cerveaux ! Heureusement, on peut compter sur l'irremplaçable Christophe alias John Prudhomme, le crack des cracks qui découpe des coupons de promos entre deux déductions de haut vol ("1+1 égale 2"). Le comédien alterne avec génie le non-expressionnisme et le surréalisme. De surcroit, Lambert gratifie la production d'un nouvel éclat de rire à ranger parmi ses plus beaux moments. On ne révèlera pas l'identité du grand méchant illuminé, mais sachez qu'il est impossible de le confondre tant la direction d'acteurs relève du machiavélisme. Chez les seconds-rôles, Leland Orser est en retrait avec une prestation un peu trop sobre face à ses partenaires. Étonnamment, les autres acteurs trainent aussi un peu derrière Lambert, comme s'ils ne comprenaient pas tout, (en particulier David Cronenberg, dans un caméo lunaire). Bon, on ne peut pas complètement leur en vouloir, on ne sait pas toujours à quel moment on participe à un classique en devenir !
Plus de vingt ans après les faits, Resurrection s'impose comme l'un des suiveurs les plus marquants de Seven (allez, reconnaissons qu'il s'en inspire un peu). Pur plaisir de spectateur et point culminant dans la carrière de Christophe Lambert, qui enchainait là un puissance 4 d'exception entre ce film-là, Beowulf, Fortress 2 et Vercingétorix. Un super-combo dont on peine encore à se relever aujourd'hui (et c'est pareil pour lui). Le long-métrage de Mulcahy n'aura malheureusement pas le succès escompté, cruelle injustice ! Une erreur petit à petit réparée avec les joies du streaming combiné à l'amour de spectateurs esthètes dans l'exercice du masochisme en groupe. Dans son genre, Resurrection fait particulièrement mal et c'est tellement bon comme ça !
Redzing
Si le "marché" des serial killers a été depuis bouffé par les séries TV, dans les années 90 il était très présent au cinéma. Grâce notamment à "Silence of the Lambs" et "Seven", qui ont marqué en leur temps, et généré nombre de succédanés. Ceux-ci allant du polar sympatoche... au plagiat éhonté.
"Resurrection" tombe clairement dans la deuxième extrémité du spectre. Russel Mulcahy s'en cache à peine, il repompe "Seven" à foison. Un tueur en série s'active dans une ville pluvieuse, la police est prise de cours, le tueur laisse des indices et des motifs religieux, et j'en passe. On nous ressort même le coup du méchant identifié tôt dans le dernier acte, et qui en a encore sous le capot.
Evidemment, la comparaison avec le classique de Fincher fait très mal. Non seulement Russel Mulcahy n'a pas le talent de Fincher, mais son film est grossier.
Je ne vais pas mentir : le film se donne une petite identité visuelle, avec une photographie ocre et des scènes sanglantes. Quelqu'un qui n'a jamais vu "Seven" peut tomber dans le panneau et le trouver relativement divertissant.
Néanmoins il faut quand même accepter une palette de défauts. Une réalisation balourde, qui tente des effets de styles vite ridicule. Des acteurs affreux. D'un côté, Christophe Lambert dans le rôle du flic, au mieux pas convaincant, au pire totalement risible. Pourtant l'acteur s'est impliqué à fond, présent au scénario et à la production ! De l'autre, un tueur que l'on crame dès sa première apparition.
Et surtout, un scénario d'une effroyable stupidité. Entre l'armada de la police, et le tueur soi-disant super intelligent, tous font preuve d'un niveau de bêtise qui laisse pantois.
David Fincher peut dormir tranquille.
"Resurrection" tombe clairement dans la deuxième extrémité du spectre. Russel Mulcahy s'en cache à peine, il repompe "Seven" à foison. Un tueur en série s'active dans une ville pluvieuse, la police est prise de cours, le tueur laisse des indices et des motifs religieux, et j'en passe. On nous ressort même le coup du méchant identifié tôt dans le dernier acte, et qui en a encore sous le capot.
Evidemment, la comparaison avec le classique de Fincher fait très mal. Non seulement Russel Mulcahy n'a pas le talent de Fincher, mais son film est grossier.
Je ne vais pas mentir : le film se donne une petite identité visuelle, avec une photographie ocre et des scènes sanglantes. Quelqu'un qui n'a jamais vu "Seven" peut tomber dans le panneau et le trouver relativement divertissant.
Néanmoins il faut quand même accepter une palette de défauts. Une réalisation balourde, qui tente des effets de styles vite ridicule. Des acteurs affreux. D'un côté, Christophe Lambert dans le rôle du flic, au mieux pas convaincant, au pire totalement risible. Pourtant l'acteur s'est impliqué à fond, présent au scénario et à la production ! De l'autre, un tueur que l'on crame dès sa première apparition.
Et surtout, un scénario d'une effroyable stupidité. Entre l'armada de la police, et le tueur soi-disant super intelligent, tous font preuve d'un niveau de bêtise qui laisse pantois.
David Fincher peut dormir tranquille.
Résurretion un très bon film B qui lorgne beaucoup du coté de Seven de David Fisher.
Le film dispose de grandes qualités tel la réalisation cru et nerveuse de Russell Mulcahy (Bobby, Highlander) qui y injecte plus de dynamisme et de violence gore que le film de David Ficher. Christophe Lambert y livre une très bonne interprétation solide accompagné par de très bon acteurs comme Leland Orser (Alien 4, Bone Collector), Robert Joy. Le scénario de Brad Mirman (Forsaken, Face A Face, Un Bon Pasteur) est plutôt bien fait et haletant avec de bon face à face psychologiques.
Le film dispose de grandes qualités tel la réalisation cru et nerveuse de Russell Mulcahy (Bobby, Highlander) qui y injecte plus de dynamisme et de violence gore que le film de David Ficher. Christophe Lambert y livre une très bonne interprétation solide accompagné par de très bon acteurs comme Leland Orser (Alien 4, Bone Collector), Robert Joy. Le scénario de Brad Mirman (Forsaken, Face A Face, Un Bon Pasteur) est plutôt bien fait et haletant avec de bon face à face psychologiques.
Un thriller dans la lignée de "Seven". Moins stylisé et moins bien mis en scène ce film n'est pas déplaisant du tout. Il offre son lot de scènes impressionnantes, dans une ambiance sombre et pluvieuse. Christophe Lambert est bon dans son rôle de policier qui cherche à démasquer le tueur en série.
Un gros pastiche du célèbre film de fincher Seven.
Il a des qualités certes et notamment la mise en scène qui est intéressante avec des mouvements de caméra qui amène du rythme à un scénario assez pesant et trop répétitif c est la que le bat blesse.
On assiste à des meurtres de plus en plus gore à la limite de l écoeurement qui pour ma part ajoute une surenchère et une complaisance de la violence
De plus le jeu de lambert est d un risible qui frôle le ridicule je le préférais presque dans le film beowulf c est dire
Il a des qualités certes et notamment la mise en scène qui est intéressante avec des mouvements de caméra qui amène du rythme à un scénario assez pesant et trop répétitif c est la que le bat blesse.
On assiste à des meurtres de plus en plus gore à la limite de l écoeurement qui pour ma part ajoute une surenchère et une complaisance de la violence
De plus le jeu de lambert est d un risible qui frôle le ridicule je le préférais presque dans le film beowulf c est dire
L'ensemble du film est correct et l'interprétation de Christophe Lambert en policier tourmenté tient la route.
La réalisation est soigné mais dommage que le scénario soit une copie quasi conforme d'un autre célèbre film traitant d'un sujet similaire nommé "seven".
La réalisation est soigné mais dommage que le scénario soit une copie quasi conforme d'un autre célèbre film traitant d'un sujet similaire nommé "seven".
pierrre s.
En réalisant Seven, Fincher a donné des idées à beaucoup de monde. L'ennui c'est que son film est si réussi qu'il est impossible de faire mieux. Nouvel exemple ici avec ce thriller pas désagréable à regarder mais qui ne peut que souffrir de la comparaison avec son aîné.
Un très bon film de série B fortement influencé par Seven est scénarisé par le bon Brad Mirman (Face A Face, Forsaken, Wanted) qui bénéficie aussi comme grand atout de la réalisation nerveuse et appliqué (bon montage, bons plan et réal, chef op très bon) du très bon Russell Mulcahy (Highlander, Bobby, The Shadow, Swimming Upstream, Blue Ice)
Russell Mulcahy donne à son film beaucoup de rythme et de nervosité et de moments bien plus violents que Seven dont il s'inspire très fortement de part son scénario est son ambiance encore plus glauque est plus nerveuses (bonnes scènes d'actions) dans Résurrection
Au finale Résurrections dépasse Seven; Christophe Lambert: Le Complot, Nirvana, Jour De Colère, Highlander, L'Homme De Chevet, Les Associé, Gideon, Face A Face; y est excellent apportant son charisme singulier à son personnage (un rôle à sa mesure) qu'il joue avec brio!
Au passage Christophe Lambert est un bien meilleur acteur que Brad Pitt (assez fade est sans charisme ou singularité comme acteur)
Leland Orser (Alien Resurretion, Bone Collector) est le reste du casting sont bons est le scénario signé Brad Mirman pleins de bons rebondissements nous tenant en haleine du début à la fin.
Un film à voire et revoir, une série B de très bonne facture qui dépasse Seven de part sa réalisation et son jeu d'acteur et son rythme bien plus soutenu et oppressant, un très bon polar.
Résurrection une série B de luxe produite avec soin par Christophe Lambert producteur du Palma Show, etc
Résurrection marcha bien au cinéma est encore beaucoup plus en vidéoclub (vidéo),
Résurrection reste un des meilleurs voir le meilleurs ersatz de Seven est le dépasse même tout comme le très bon Bone Collector (très bon ersatz de Seven mais moin efficace que Résurrection comme tant d'autres: Le Collectionneur mou est sans intérêts ou le sympa et bon Péché Mortel (dtv) avec le bon Andrew Mac Carty et Michael Ironside
Résurrection reste le haut du panier niveau série B influencé par Seven qu'il dépasse même (rare)!On faisait encore de très bon film solide orienté cinéma Bis (série b), film sous influence ou au budget moyen ou bas mais de qualités
Russell Mulcahy donne à son film beaucoup de rythme et de nervosité et de moments bien plus violents que Seven dont il s'inspire très fortement de part son scénario est son ambiance encore plus glauque est plus nerveuses (bonnes scènes d'actions) dans Résurrection
Au finale Résurrections dépasse Seven; Christophe Lambert: Le Complot, Nirvana, Jour De Colère, Highlander, L'Homme De Chevet, Les Associé, Gideon, Face A Face; y est excellent apportant son charisme singulier à son personnage (un rôle à sa mesure) qu'il joue avec brio!
Au passage Christophe Lambert est un bien meilleur acteur que Brad Pitt (assez fade est sans charisme ou singularité comme acteur)
Leland Orser (Alien Resurretion, Bone Collector) est le reste du casting sont bons est le scénario signé Brad Mirman pleins de bons rebondissements nous tenant en haleine du début à la fin.
Un film à voire et revoir, une série B de très bonne facture qui dépasse Seven de part sa réalisation et son jeu d'acteur et son rythme bien plus soutenu et oppressant, un très bon polar.
Résurrection une série B de luxe produite avec soin par Christophe Lambert producteur du Palma Show, etc
Résurrection marcha bien au cinéma est encore beaucoup plus en vidéoclub (vidéo),
Résurrection reste un des meilleurs voir le meilleurs ersatz de Seven est le dépasse même tout comme le très bon Bone Collector (très bon ersatz de Seven mais moin efficace que Résurrection comme tant d'autres: Le Collectionneur mou est sans intérêts ou le sympa et bon Péché Mortel (dtv) avec le bon Andrew Mac Carty et Michael Ironside
Résurrection reste le haut du panier niveau série B influencé par Seven qu'il dépasse même (rare)!On faisait encore de très bon film solide orienté cinéma Bis (série b), film sous influence ou au budget moyen ou bas mais de qualités
La majeure partie du film ressemble à Seven de David Fincher à tel point qu'il frise le plagiat. Remplacez les
sept péchés par les sept parties du corps du Christ Morgan Freeman par Christopher Lambert et Brad Pitt par un acteur inconnu et vous obtenez Resurrection du moins sa copie extrêmement pauvre. Il y a même une scène presque identique à une scène de Seven où le partenaire de Lambert plaisante sur le fait que le tueur en série est un fou furieux et Lambert le corrige et admire personnellement l'intelligence du tueur. Christopher Lambert n'a jamais été mon acteur préféré mais c'est sans aucun doute sa pire performance à ce jour. L'intrigue est complètement recyclée sans suspense et elle ni effrayante ni même drôle à aucun moment...
sept péchés par les sept parties du corps du Christ Morgan Freeman par Christopher Lambert et Brad Pitt par un acteur inconnu et vous obtenez Resurrection du moins sa copie extrêmement pauvre. Il y a même une scène presque identique à une scène de Seven où le partenaire de Lambert plaisante sur le fait que le tueur en série est un fou furieux et Lambert le corrige et admire personnellement l'intelligence du tueur. Christopher Lambert n'a jamais été mon acteur préféré mais c'est sans aucun doute sa pire performance à ce jour. L'intrigue est complètement recyclée sans suspense et elle ni effrayante ni même drôle à aucun moment...
Un thriller avec tueur en série,des meurtres avec mutilations,cela ressemble à Seven,à la suite du succès de ce dernier,il y a eu une flopée de films du même type.Et bien résurrection est plutôt réussi,j’aime bien Lambert (généralement peu apprécié des critiques) et sa prestation de flic coriace est bonne.Le suspens ,l’action sont bien menées avec des scènes gores,il y a quelques points négatifs...abus de mouvements de caméra rapides,et quelques points restent non élucidés:comment le tueur fait-il pour ne jamais laisser de traces,comment a-t-il pu trouver des victimes potentielles si facilement?mais l’ensemble est prenant et bien mené
Un très bon film suspense avec un excellent Christophe Lambert !!
Suspense garanti !!
Certaines scènes GORES...!
J'ai eu un réel plaisir à voir ce film .
Suspense garanti !!
Certaines scènes GORES...!
J'ai eu un réel plaisir à voir ce film .
J’ai vu hier ”Resurrection”. Je ne l’avais jamais vu jusqu’à présent.
C’est vrai qu’il fait penser inévitablement au film ”Seven” mais ça reste une réalisation qui se laisse suivre sans déplaisir quand même.
Je précise aussi qu’à mon goût, ”Seven” n’est pas un somptueux navet , bien entendu, mais je le trouve cependant très surestimé. C'est peut être pour cette raison aussi que je n'ai pas trouvé "Résurrection" aussi pitoyable que ça.
Il s'agit d'un polar poisseux par temps pluvieux, comme ”Seven”.
Autre similitude , le tueur est un cinglé mystique (éternel mariage du psychopathe et du mystique au cinéma).
Il n’est pas question, cette fois-ci, des pêchés capitaux.
Le psychopathe de ”Résurrection” veut reconstituer le corps du Christ pour Pâques (et le voir ressuscité).
Il va essayer de le reconstituer si j'ose dire façon puzzle...
Enfin, pas avec 1000 pièces différentes quand même... ni même 50....
Ses victimes sont ainsi "tranchées" chacune pour avoir, au total, deux bras, deux jambes, une tête et un torse.
A la fin, il veut avoir un coeur (pour ressusciter le Christ).
C’est Christophe Lambert qui a le rôle principal (policier) avec son collègue joué par Leland Orser (qui jouait déjà dans ”Seven” à savoir la victime indirecte de la ”luxure”)
J’ai trouvé le scénario tout de même assez bien ficelé dans l’ensemble. Le rythme est maintenu. On ne s'ennuie pas.
La mise en scène hélas est inégale dans la mesure où certains plans sont visuellement, à mon goût, plutôt loupés mais, heureusement, ils ne représentent pas les 3/4 de la mise en scène non plus.
L’interprétation de Christophe Lambert n’est pas terrible (euphémisme) mais ce comédien est monté trop haut peut être trop vite (Greystoke, Subway, Highlander) et depuis, il n’a fait qu’enchainer des rôles dans des productions de seconde zone.
Bref, je ne vais pas rédiger une critique de 3 pages non plus sur ce film mais je ne me suis pas endormie et si ce n’est pas ”bon” thriller, ce n’est pas un policier calamiteux non plus.
C’est vrai qu’il fait penser inévitablement au film ”Seven” mais ça reste une réalisation qui se laisse suivre sans déplaisir quand même.
Je précise aussi qu’à mon goût, ”Seven” n’est pas un somptueux navet , bien entendu, mais je le trouve cependant très surestimé. C'est peut être pour cette raison aussi que je n'ai pas trouvé "Résurrection" aussi pitoyable que ça.
Il s'agit d'un polar poisseux par temps pluvieux, comme ”Seven”.
Autre similitude , le tueur est un cinglé mystique (éternel mariage du psychopathe et du mystique au cinéma).
Il n’est pas question, cette fois-ci, des pêchés capitaux.
Le psychopathe de ”Résurrection” veut reconstituer le corps du Christ pour Pâques (et le voir ressuscité).
Il va essayer de le reconstituer si j'ose dire façon puzzle...
Enfin, pas avec 1000 pièces différentes quand même... ni même 50....
Ses victimes sont ainsi "tranchées" chacune pour avoir, au total, deux bras, deux jambes, une tête et un torse.
A la fin, il veut avoir un coeur (pour ressusciter le Christ).
C’est Christophe Lambert qui a le rôle principal (policier) avec son collègue joué par Leland Orser (qui jouait déjà dans ”Seven” à savoir la victime indirecte de la ”luxure”)
J’ai trouvé le scénario tout de même assez bien ficelé dans l’ensemble. Le rythme est maintenu. On ne s'ennuie pas.
La mise en scène hélas est inégale dans la mesure où certains plans sont visuellement, à mon goût, plutôt loupés mais, heureusement, ils ne représentent pas les 3/4 de la mise en scène non plus.
L’interprétation de Christophe Lambert n’est pas terrible (euphémisme) mais ce comédien est monté trop haut peut être trop vite (Greystoke, Subway, Highlander) et depuis, il n’a fait qu’enchainer des rôles dans des productions de seconde zone.
Bref, je ne vais pas rédiger une critique de 3 pages non plus sur ce film mais je ne me suis pas endormie et si ce n’est pas ”bon” thriller, ce n’est pas un policier calamiteux non plus.
Alexarod
Alors là je pense surprendre mais le film lui-même m'a étonné. Je suis certain que les mauvaises notes le sont avant tout parce que c'est Lambert, parce que c’est une production peu connue et qu'on le compare à Seven (que je trouve moins bon).
Pourquoi le max d'étoiles ? Le scénario, il est génial. Dans Seven on ne voit pas trop les crimes, on ne voit pas le tueur en action, quelques scènes chocs mais c'est tout, et puis le twist final, pas de poursuites puisqu'il se rend. Là on a tout, film complet et histoire de grande qualité.
Le jeu de Lambert on accroche ou pas, moi ça va, un inspecteur qui poursuit un mec refaisant le corps du Christ avec des mecs de 33 ans, fallait le trouver (et ça va plus loin que des tortures sur fond de péchés capitaux). En parlant de trouver, on voit un boulot d'enquête au moins, dans Seven à part Freeman qui a recours à des procédés alambiqués (le FBI saurait ce qui se loue dans toutes les bibliothèques ?) ia rien. Perso c'est ce que j'attends d'un thriller : de l'action, des poursuites, du travail d'investigation, de l'émotion, une musique qui contribue à créer l'ambiance, des décors soignés, des FX qui passent, un rythme qui tient bien, un criminel intelligent dont le projet se comprend, bref parfait en gros.
Vous comprendrez que malgré ce que certains en disent je vous conseille vivement de le voir. C’est simple : pour moi il a droit de cité auprès de la saga Lecter et avec un meilleur traitement il dépasserait allègrement et indéniablement Seven.
Pourquoi le max d'étoiles ? Le scénario, il est génial. Dans Seven on ne voit pas trop les crimes, on ne voit pas le tueur en action, quelques scènes chocs mais c'est tout, et puis le twist final, pas de poursuites puisqu'il se rend. Là on a tout, film complet et histoire de grande qualité.
Le jeu de Lambert on accroche ou pas, moi ça va, un inspecteur qui poursuit un mec refaisant le corps du Christ avec des mecs de 33 ans, fallait le trouver (et ça va plus loin que des tortures sur fond de péchés capitaux). En parlant de trouver, on voit un boulot d'enquête au moins, dans Seven à part Freeman qui a recours à des procédés alambiqués (le FBI saurait ce qui se loue dans toutes les bibliothèques ?) ia rien. Perso c'est ce que j'attends d'un thriller : de l'action, des poursuites, du travail d'investigation, de l'émotion, une musique qui contribue à créer l'ambiance, des décors soignés, des FX qui passent, un rythme qui tient bien, un criminel intelligent dont le projet se comprend, bref parfait en gros.
Vous comprendrez que malgré ce que certains en disent je vous conseille vivement de le voir. C’est simple : pour moi il a droit de cité auprès de la saga Lecter et avec un meilleur traitement il dépasserait allègrement et indéniablement Seven.
Christophe Lambert retrouve son réalisateur fétiche. Celui de Highlander pour une copie de Seven qu'il a lui-même écrite. J'aime bien Russell Mulcahy en plus. Je l'ai toujours trouvé sous-estimé. Et Resurrection est justement un bon clone de Seven. Parfois, le jeu de Christophe Lambert m'a fait rire. Bon, c'est comme ça. Ça vient du personnage. De sa carrière depuis le milieu des années 90. Ça n'empêche pas Resurrection d'être prenant de bout en bout avec ses meurtres bien glauques inspirés de la bible et son tueur mystérieux et insaisissable. Ce n'est pas grave si Fincher avait déjà tout dit quatre ans plus tôt. On sait tous que Resurrection ne lui arrivera pas à la cheville. Seven est un classique. Ce que j'attendais, c'est un polar distrayant, avec du rythme, du suspens et une atmosphère morbide. C'est ce que j'ai eu et c'est plutôt bien fait donc c'est une bonne surprise tant cette décennie-là aura vu le pauvre Lambert enquiller les navets.
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