Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
43 critiques presse
Closer
par Justine Boivin
C'est fort, brutal, dansant. Passionnant.
Elle
par Nathalie Dupuis
Après Le Grand bain, Gilles Lellouche confirme qu'il est un immense directeur d'acteurs et un cinéaste de ouf.
Marie Claire
par Juliette Hochberg
Un cocktail qui étonne, tant il détonne des propositions du septième-art français.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Public
par Sarah Lévy-Laithier
A la fois coup de cœur et coup de poing.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le résultat, pharaonique, vibre de la passion de Gilles Lellouche pour le 7e art. C’est une œuvre riche, généreuse qui fait penser à une valise sur laquelle on doit s’asseoir pour la fermer après l’avoir trop remplie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
En résulte un long métrage de 2H40, qui entremêle avec succès romance puissante et film de gangster, porté par un montage efficace plein de surprises et une mise en scène léchée.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Ecran Large
par Geoffrey Crété
L’Amour ouf déborde d’un appétit de cinéma qui donne envie de l’aimer. Donc oui, ça déborde de tous les côtés, et jusqu’à l’excès. Mais il y a aussi et surtout des instants de grâce dans ce grand chaos romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Beaucoup de belles idées visuelles.
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Généreux, impulsif, dansant, l'Amour Ouf court dans tous les sens. Parfois trop mais il le fait avec une telle passion et une telle fougue que notre petit cœur se laisse emporter par cette histoire d'amour passionnel et électrique.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si l'on est pris par l'action et les sentiments, demeure cependant l'étrange impression, en raison de son casting prestigieux, de voir plus les acteurs et moins leurs personnages. Mais l'originalité, le talent et l'enthousiasme font que le courant passe.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Après « le Grand Bain », son feel good movie subaquatique, Gilles Lellouche a vu grand, dans une œuvre qui oscille entre du Scorsese, pour les gangsters et la galerie de personnages, et « Top Gun » pour les couchers de soleil un peu kitsch.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un spectacle généreux, si rare par chez nous, qui fait plaisir à voir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Six ans après Le Grand Bain, Gilles Lellouche revient avec un deuxième film en forme de romance épique d’une générosité inouïe, brassant tout à la fois le drame social, le film de braquage, le mélodrame, la comédie romantique et musicale. Incontournable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Entre coup de foudre et coups de poing, scènes de baston viriles et premier baiser dans un champ de colza, « l’Amour ouf » cogne fort et c’est un vrai plaisir de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Nice-Matin
par Mathieu Faure
La caméra de Gilles Lellouche surprend. Son film vit. Nous transporte. Bien aidé par une bande-son aussi éclectique que percutante. Il y a, au fond, une forme de parfaite imperfection dans ce film.
Ouest France
par Philippe Lemoine
Une déclaration d'amour à l'adolescence et au cinéma.
Première
par Thierry Chèze
Il y a dans ce geste un panache kamikaze qui emporte souvent tout sur son passage. Mais pour que ce voyage tonitruant fonctionne sans que les moments plus intimes ne paraissent hors sujet, il fallait des acteurs au diapason.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Corentin Marouby
Une fresque romantique ambitieuse, aussi tragique que sensible.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Coup de foudre imparable.
Télé Loisirs
par Corentin Marouby
Généreux dans sa mise en scène, Gilles Lellouche livre une fresque romantique ambitieuse, portée par une distribution de choix.
Télérama
par Frédéric Strauss
POUR : À travers ce duo d’entêtés, sortis d’un roman de l’Irlandais Neville Thompson, Gilles Lellouche célèbre ceux que la société considère comme des perdants, mais qui ont gagné le meilleur : la grandeur du cœur. Message éminemment sympathique d’un film qui donne envie d’aimer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Version Femina
par Hadrien Machart
Malgré la dureté de certaines scènes, l'Amour ouf a tout pour séduire un public jeune, avec une brillante réalisation « clipesque », de l'action, des sentiments et une affiche réunissant deux acteurs aussi branchés que talentueux.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
Konbini
par Manon Marcillat
Côté mise en scène, Gilles Lellouche explose tous les compteurs mais entre braquages et amour fou, son film ne trouve jamais vraiment sa voix.
La critique complète est disponible sur le site Konbini
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après Le Grand Bain, l’acteur et réalisateur Gilles Lellouche signe une comédie romantique mâtinée de polar, excessive en tout, énergie et générosité comprises.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On tique devant un récit long et foisonnant, dont le montage a pourtant été allégé d’une longue incursion dans la comédie musicale depuis le Festival de Cannes, où il était en compétition. Les registres se chevauchent, parfois se paralysent. Mais on peut être sensible à cette naïveté d’un autre temps, où les embrassades au soleil couchant se heurtent à des séquences d’une très grande brutalité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
Une envie de cinéma mal canalisée et peu digeste certes, mais ce sont ces mêmes défauts qui la rendent aussi touchante, comme si le film était conçu par un ado follement amoureux et maladroit cherchant à exprimer ses sentiments par tous les moyens.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Du.
Il est difficile de ne pas fondre devant cette profusion sensible qui semble émaner d’une masculinité à l’ancienne, bagarreuse et désordonnée, en cours de déconstruction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Il y a beaucoup de violence, de sentiments exacerbés dans cet Amour ouf porté avec justesse par le couple Adèle Exarchopoulos-François Civil. Mais Gilles Lellouche a beau jouer sur les effets de caméra, des images très arty, un montage nerveux et une bande-son seventies/eighties, son film s'enlise et tombe dans la périphrase. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Benjamin Locoge
Mais leur histoire se tisse sous nos yeux émus, premiers échanges, premiers baisers. Gilles Lellouche les filme avec une infinie tendresse, guidant le spectateur vers un drame que l’on sent venir.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Cédric Coppola
La bande originale pop des années 1980 et une réalisation calquée sur celle de Danny Boyle période « Trainspotting » donnent, pour leur part, un certain cachet à cette romance qui, à défaut d’être mémorable, s’impose désormais comme un honnête divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Clément Colliaux
Malgré une sincérité presque déconcertante, le film pèche par gourmandise, basculant souvent dans l’hyperbole stérile.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Pierig Leray
Dans ce film qui nous rabâche l’amour sans jamais réussir à le filmer, Lellouche se fracasse à ses propres limites, celles d’un cinéaste moyen qui se fantasmait en grand metteur en scène, laissant filer son « amour ouf » dans le glacial vent de l’indifférence.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Gilles Lellouche s’égare dans son méli-mélo qui se la joue à l’épate, démesuré, trop plein de tout, de trop de genres, d’un tumulte sans fin. La caméra tourne, furieuse, en transe, en vain : ce chaos d’images sans repos annihile l’émotion et aplatit les héros.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La première partie est réussie : Gilles Lellouche s’inscrit dans la cour des grands récits classiques des amours juvéniles, à la fois naïfs et absolus. Mallory Wanecque et Malik Frikah sont merveilleux de fougue et d’entièreté.
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Après le succès du Grand bain en 2018, l’ambitieux L’Amour ouf est un pari bien risqué pour Gilles Lellouche, qui, en cherchant à prouver qu’il maîtrise la caméra, bascule dans un excès stylistique et semble parfois oublier de toucher les cœurs.
Libération
par Jérémy Piette
On imagine sincèrement Lellouche vouloir dénoncer la part de haine de ce monde injuste où tout ce qui a des burnes s’écharpe, batte en main, mais pris dans le même élan de sa mise en scène volontariste tout en surenchère, il se retrouve à l’exaucer en spectacle nauséeux, d’une importance d’autant plus poisseuse et lénifiante qu’elle fait de ce monde de brutes une version clip qu’on est censé admirer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Samuel Douhaire
CONTRE : Un mélange des genres épuisant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par V.C.
L'Amour ouf ne manque ni d'ambition ni de bonnes idées, mais finit par se cannibaliser.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Cette démonstrativité généralisée relève d’une idée du cinéma proche du principe de La Belle Époque de Nicolas Bedos, dans lequel les quidams nostalgiques pouvaient se payer des tranches de vie rejouées à l’époque de leur choix.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Saga amoureuse sur fond de guerre des gangs dans le nord de la France, le nouveau film de Gilles Lellouche étouffe sous le poids de ses ambitions.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Jusque dans sa forme, L’Amour ouf bande les muscles, performe la moindre scène dans une surenchère spectaculaire et surfilme tout ce qu’il regarde comme si chaque plan était un soulevé de poids.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
L’acteur et réalisateur a pris son temps pour repasser derrière la caméra et donner un successeur au « Grand Bain », triomphe au box-office de l’année 2018 (4,2 millions de spectateurs). Hélas, son nouveau film interminable et surproduit (2 h 46) n’arrive pas à la cheville de son hilarant coup d’essai.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un ratage de première pour cette œuvrette oscillant entre polar grotesque et romance à bon marché. On est gêné pour les acteurs peu aidés par des dialogues accumulant tous les poncifs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Closer
C'est fort, brutal, dansant. Passionnant.
Elle
Après Le Grand bain, Gilles Lellouche confirme qu'il est un immense directeur d'acteurs et un cinéaste de ouf.
Marie Claire
Un cocktail qui étonne, tant il détonne des propositions du septième-art français.
Public
A la fois coup de cœur et coup de poing.
20 Minutes
Le résultat, pharaonique, vibre de la passion de Gilles Lellouche pour le 7e art. C’est une œuvre riche, généreuse qui fait penser à une valise sur laquelle on doit s’asseoir pour la fermer après l’avoir trop remplie.
CNews
En résulte un long métrage de 2H40, qui entremêle avec succès romance puissante et film de gangster, porté par un montage efficace plein de surprises et une mise en scène léchée.
Ecran Large
L’Amour ouf déborde d’un appétit de cinéma qui donne envie de l’aimer. Donc oui, ça déborde de tous les côtés, et jusqu’à l’excès. Mais il y a aussi et surtout des instants de grâce dans ce grand chaos romanesque.
Femme Actuelle
Beaucoup de belles idées visuelles.
Filmsactu
Généreux, impulsif, dansant, l'Amour Ouf court dans tous les sens. Parfois trop mais il le fait avec une telle passion et une telle fougue que notre petit cœur se laisse emporter par cette histoire d'amour passionnel et électrique.
Franceinfo Culture
Si l'on est pris par l'action et les sentiments, demeure cependant l'étrange impression, en raison de son casting prestigieux, de voir plus les acteurs et moins leurs personnages. Mais l'originalité, le talent et l'enthousiasme font que le courant passe.
L'Humanité
Après « le Grand Bain », son feel good movie subaquatique, Gilles Lellouche a vu grand, dans une œuvre qui oscille entre du Scorsese, pour les gangsters et la galerie de personnages, et « Top Gun » pour les couchers de soleil un peu kitsch.
L'Obs
Un spectacle généreux, si rare par chez nous, qui fait plaisir à voir.
Le Figaro
Six ans après Le Grand Bain, Gilles Lellouche revient avec un deuxième film en forme de romance épique d’une générosité inouïe, brassant tout à la fois le drame social, le film de braquage, le mélodrame, la comédie romantique et musicale. Incontournable.
Le Parisien
Entre coup de foudre et coups de poing, scènes de baston viriles et premier baiser dans un champ de colza, « l’Amour ouf » cogne fort et c’est un vrai plaisir de cinéma.
Nice-Matin
La caméra de Gilles Lellouche surprend. Son film vit. Nous transporte. Bien aidé par une bande-son aussi éclectique que percutante. Il y a, au fond, une forme de parfaite imperfection dans ce film.
Ouest France
Une déclaration d'amour à l'adolescence et au cinéma.
Première
Il y a dans ce geste un panache kamikaze qui emporte souvent tout sur son passage. Mais pour que ce voyage tonitruant fonctionne sans que les moments plus intimes ne paraissent hors sujet, il fallait des acteurs au diapason.
Télé 2 semaines
Une fresque romantique ambitieuse, aussi tragique que sensible.
Télé 7 Jours
Coup de foudre imparable.
Télé Loisirs
Généreux dans sa mise en scène, Gilles Lellouche livre une fresque romantique ambitieuse, portée par une distribution de choix.
Télérama
POUR : À travers ce duo d’entêtés, sortis d’un roman de l’Irlandais Neville Thompson, Gilles Lellouche célèbre ceux que la société considère comme des perdants, mais qui ont gagné le meilleur : la grandeur du cœur. Message éminemment sympathique d’un film qui donne envie d’aimer.
Version Femina
Malgré la dureté de certaines scènes, l'Amour ouf a tout pour séduire un public jeune, avec une brillante réalisation « clipesque », de l'action, des sentiments et une affiche réunissant deux acteurs aussi branchés que talentueux.
Konbini
Côté mise en scène, Gilles Lellouche explose tous les compteurs mais entre braquages et amour fou, son film ne trouve jamais vraiment sa voix.
La Croix
Après Le Grand Bain, l’acteur et réalisateur Gilles Lellouche signe une comédie romantique mâtinée de polar, excessive en tout, énergie et générosité comprises.
La Voix du Nord
On tique devant un récit long et foisonnant, dont le montage a pourtant été allégé d’une longue incursion dans la comédie musicale depuis le Festival de Cannes, où il était en compétition. Les registres se chevauchent, parfois se paralysent. Mais on peut être sensible à cette naïveté d’un autre temps, où les embrassades au soleil couchant se heurtent à des séquences d’une très grande brutalité.
Le Journal du Dimanche
Une envie de cinéma mal canalisée et peu digeste certes, mais ce sont ces mêmes défauts qui la rendent aussi touchante, comme si le film était conçu par un ado follement amoureux et maladroit cherchant à exprimer ses sentiments par tous les moyens.
Le Monde
Il est difficile de ne pas fondre devant cette profusion sensible qui semble émaner d’une masculinité à l’ancienne, bagarreuse et désordonnée, en cours de déconstruction.
Le Point
Il y a beaucoup de violence, de sentiments exacerbés dans cet Amour ouf porté avec justesse par le couple Adèle Exarchopoulos-François Civil. Mais Gilles Lellouche a beau jouer sur les effets de caméra, des images très arty, un montage nerveux et une bande-son seventies/eighties, son film s'enlise et tombe dans la périphrase. Dommage.
Paris Match
Mais leur histoire se tisse sous nos yeux émus, premiers échanges, premiers baisers. Gilles Lellouche les filme avec une infinie tendresse, guidant le spectateur vers un drame que l’on sent venir.
Sud Ouest
La bande originale pop des années 1980 et une réalisation calquée sur celle de Danny Boyle période « Trainspotting » donnent, pour leur part, un certain cachet à cette romance qui, à défaut d’être mémorable, s’impose désormais comme un honnête divertissement.
Critikat.com
Malgré une sincérité presque déconcertante, le film pèche par gourmandise, basculant souvent dans l’hyperbole stérile.
Culturopoing.com
Dans ce film qui nous rabâche l’amour sans jamais réussir à le filmer, Lellouche se fracasse à ses propres limites, celles d’un cinéaste moyen qui se fantasmait en grand metteur en scène, laissant filer son « amour ouf » dans le glacial vent de l’indifférence.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Gilles Lellouche s’égare dans son méli-mélo qui se la joue à l’épate, démesuré, trop plein de tout, de trop de genres, d’un tumulte sans fin. La caméra tourne, furieuse, en transe, en vain : ce chaos d’images sans repos annihile l’émotion et aplatit les héros.
Le Dauphiné Libéré
La première partie est réussie : Gilles Lellouche s’inscrit dans la cour des grands récits classiques des amours juvéniles, à la fois naïfs et absolus. Mallory Wanecque et Malik Frikah sont merveilleux de fougue et d’entièreté.
Les Fiches du Cinéma
Après le succès du Grand bain en 2018, l’ambitieux L’Amour ouf est un pari bien risqué pour Gilles Lellouche, qui, en cherchant à prouver qu’il maîtrise la caméra, bascule dans un excès stylistique et semble parfois oublier de toucher les cœurs.
Libération
On imagine sincèrement Lellouche vouloir dénoncer la part de haine de ce monde injuste où tout ce qui a des burnes s’écharpe, batte en main, mais pris dans le même élan de sa mise en scène volontariste tout en surenchère, il se retrouve à l’exaucer en spectacle nauséeux, d’une importance d’autant plus poisseuse et lénifiante qu’elle fait de ce monde de brutes une version clip qu’on est censé admirer.
Télérama
CONTRE : Un mélange des genres épuisant.
Voici
L'Amour ouf ne manque ni d'ambition ni de bonnes idées, mais finit par se cannibaliser.
Cahiers du Cinéma
Cette démonstrativité généralisée relève d’une idée du cinéma proche du principe de La Belle Époque de Nicolas Bedos, dans lequel les quidams nostalgiques pouvaient se payer des tranches de vie rejouées à l’époque de leur choix.
Les Echos
Saga amoureuse sur fond de guerre des gangs dans le nord de la France, le nouveau film de Gilles Lellouche étouffe sous le poids de ses ambitions.
Les Inrockuptibles
Jusque dans sa forme, L’Amour ouf bande les muscles, performe la moindre scène dans une surenchère spectaculaire et surfilme tout ce qu’il regarde comme si chaque plan était un soulevé de poids.
Marianne
L’acteur et réalisateur a pris son temps pour repasser derrière la caméra et donner un successeur au « Grand Bain », triomphe au box-office de l’année 2018 (4,2 millions de spectateurs). Hélas, son nouveau film interminable et surproduit (2 h 46) n’arrive pas à la cheville de son hilarant coup d’essai.
aVoir-aLire.com
Un ratage de première pour cette œuvrette oscillant entre polar grotesque et romance à bon marché. On est gêné pour les acteurs peu aidés par des dialogues accumulant tous les poncifs.