Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Une chronique mélancolique de l’adolescence enfiévrée, qui a autant de pêche que la gamine qu’il met en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Bande à part
par Eve Lefrançois
La métaphore est belle, elle transcende le réel pour fabriquer un peu d’espoir, mais l’insistance à souligner la façon dont les symboles opèrent finit par accentuer la faiblesse du propos et l’intensité qui manque à ces personnages pourtant pleins de charme.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Antoine Le Fur
Mais quel dommage que la réalisatrice saupoudre son long-métrage d'un certain nombre de futilités. [...] Reste un film au charme atypique, révélant au passage la jeune Joy Rieger, sorte d'héritière israélienne d'Asia Argento.
L'Obs
par François Forestier
Petit film qui s'ouvre comme une délicate fleur de papier dans un verre d'eau et a un goût de bonheur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Combinant avec audace un réalisme débonnaire et un imaginaire aux confins du fantastique, ce premier film convoque de vieux pêcheurs russes, une gamine perdue, des ados roublards, une maire cynique... et la mère douce-amère, jouée par la grande tragédienne Evgenia Dodina [...].
Le Monde
par Véronique Cauhapé
En apportant sa sirène dans la vie des habitants de Kiryat-Yam, Vierges réconcilie un temps ses deux aspirations contraires, parvient à faire passer la lumière à travers la tristesse du quotidien.
Le Parisien
par La Rédaction
Porté par un personnage principal rebelle et très attachant, « Vierges » est un film tout simple, mais très joli, entre réalisme et poésie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Si le canevas du récit initiatique semble déjà avoir été vu ailleurs mille fois, l’ensemble dégage un puissant charme mélancolique et une croyance absolue en la fiction comme lieu de tous les renouveaux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Entre réalisme trivial et fantastique fantasmé, la cinéaste a choisi ici… de ne pas choisir. Ce qui permet à ce portrait d’ado rebelle de transcender le cahier des charges de ce genre de films (relation conflictuelle avec sa mère, désir de perdre sa virginité au plus vite…) jusqu’à une conclusion très subtile. Le tout porté par l’énergie de son interprète principale, Joy Rieger.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Si le scénario de ce premier film bringuebale, Keren Ben Rafael sait filmer les rêves féminins. La virginité ? Une étape initiatique à passer avec un bel homme sorti de l’onde. Un charme opère, par vagues.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un récit estival solaire, autour du mythe de la sirène. Candide, mais rafraîchissant
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par La rédaction
À défaut de réelle mise en scène, "Vierges" semble se contenter d’une imagerie jolie, mais factice et plate.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Fabien Baumann
À mille lieues de Breillat, aucune chair réelle, in bourgeonnante ni flétrissante.
Les Fiches du Cinéma
Une chronique mélancolique de l’adolescence enfiévrée, qui a autant de pêche que la gamine qu’il met en scène.
Bande à part
La métaphore est belle, elle transcende le réel pour fabriquer un peu d’espoir, mais l’insistance à souligner la façon dont les symboles opèrent finit par accentuer la faiblesse du propos et l’intensité qui manque à ces personnages pourtant pleins de charme.
L'Express
Mais quel dommage que la réalisatrice saupoudre son long-métrage d'un certain nombre de futilités. [...] Reste un film au charme atypique, révélant au passage la jeune Joy Rieger, sorte d'héritière israélienne d'Asia Argento.
L'Obs
Petit film qui s'ouvre comme une délicate fleur de papier dans un verre d'eau et a un goût de bonheur.
Le Journal du Dimanche
Combinant avec audace un réalisme débonnaire et un imaginaire aux confins du fantastique, ce premier film convoque de vieux pêcheurs russes, une gamine perdue, des ados roublards, une maire cynique... et la mère douce-amère, jouée par la grande tragédienne Evgenia Dodina [...].
Le Monde
En apportant sa sirène dans la vie des habitants de Kiryat-Yam, Vierges réconcilie un temps ses deux aspirations contraires, parvient à faire passer la lumière à travers la tristesse du quotidien.
Le Parisien
Porté par un personnage principal rebelle et très attachant, « Vierges » est un film tout simple, mais très joli, entre réalisme et poésie.
Paris Match
Si le canevas du récit initiatique semble déjà avoir été vu ailleurs mille fois, l’ensemble dégage un puissant charme mélancolique et une croyance absolue en la fiction comme lieu de tous les renouveaux.
Première
Entre réalisme trivial et fantastique fantasmé, la cinéaste a choisi ici… de ne pas choisir. Ce qui permet à ce portrait d’ado rebelle de transcender le cahier des charges de ce genre de films (relation conflictuelle avec sa mère, désir de perdre sa virginité au plus vite…) jusqu’à une conclusion très subtile. Le tout porté par l’énergie de son interprète principale, Joy Rieger.
Télérama
Si le scénario de ce premier film bringuebale, Keren Ben Rafael sait filmer les rêves féminins. La virginité ? Une étape initiatique à passer avec un bel homme sorti de l’onde. Un charme opère, par vagues.
aVoir-aLire.com
Un récit estival solaire, autour du mythe de la sirène. Candide, mais rafraîchissant
Critikat.com
À défaut de réelle mise en scène, "Vierges" semble se contenter d’une imagerie jolie, mais factice et plate.
Positif
À mille lieues de Breillat, aucune chair réelle, in bourgeonnante ni flétrissante.