Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le rappeur Abd Al Malik passe à la réalisation (...) et signe l'un des meilleurs films sur la banlieue depuis "La Haine" dont il revendique l'influence.
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) il [Abd Al Malik] offre une œuvre gorgée d’espoir et de valeurs morales.
Elle
par Khadija Moussou
"Qu'Allah bénisse la France" (...) : ses dialogues sont soignés, les personnages qui évoluent autour de son héros, vrais et touchants.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Abd Al Malik a plus d’une corde à son arc. A la vision de "Qu’Allah bénisse la France", son enthousiasme à faire partager son expérience dans une optique morale, s’impose.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Jean-Yves Dana
Derrière la naïveté de façade, [le film] véhicule une leçon, qu’une professeur de philosophie prodigue à son ancien élève sous la forme d’un précieux conseil : il faut chercher sa vie, la choisir.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
"Qu’Allah bénisse la France" brise les clichés, balaye les amalgames, vise à réduire la fracture culturelle et religieuse : « Le problème, mon frère, c’est pas la religion, c’est les gens ! »
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Abd Al Malik raconte sa propre histoire, et son film a la force et la poésie de ses textes.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Pour la première fois, donc, derrière une caméra, la "racaille" de talent passe son exam haut la main, avec un sens gourmand de la mise en scène.
Le Point
par Olivier Pérou
Le rappeur maîtrise son sujet sans tomber dans les clichés et avec un soin du détail dans la forme qui rappelle Gus Van Sant ou Visconti (...) Une première réalisation qui augure un bel avenir de réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Alain Spira
Tourné avec l'énergie d'un clip et le réalisme brutal d'un noir et blanc coléreux, cet hymne hip-hop, brillamment orchestré, ajoute à la partition entamée avec "La Haine" de Kassovitz des notes d'espoir.
Première
par Christophe Narbonne
Tout n’est pas parfait dans cette œuvre autobiographique où la sincérité confine parfois à la démonstration. Quelques maladresses n’effacent cependant pas l’impression d’apaisement transmise par le désormais cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau noir et blanc qui a de la gueule. Littéraire en diable. Pétri d'une culture du mélange salutaire qui donne un air singulier à ses plans hérités d'un cinéma classique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Carole Milleliri
Avec un regard sans concession mais un discours gorgé d’espoir et d’optimisme, Abd Al Malik livre un essai vivifiant, mais un tantinet moralisateur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Eric Mandel
On pourra souligner de petites maladresses, mais la sincérité est là. Abd Al Malik livre une oeuvre singulière, à son image.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Certes, la démarche est parfois raide (...). Elle est aussi décidée et entraînante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Adaptant son livre autobiographique, Abd Al Malik raconte son parcours. Un film touchant, qui se démarque en apportant un regard humain sur la vie interne à la cité et en laissant délibérément la violence hors-champ.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une entreprise parfois inaboutie, mais il y a du cinéma dans cette production.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jacques Morice
Le film se distingue, surtout, grâce à sa dimension humaniste, en décrivant un cheminement personnel qui s'ouvre sur le monde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La rédaction
(...) l’écrivain-rappeur se perd dans des choix de mise en scène trop appuyés. Ce qui lui fait parfois perdre de vue son intention : donner à voir les multiples facettes d’un parcours hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
L’ensemble reste lisse, très programmatique, et ne déjoue pas toujours les écueils. Mais la dimension autobiographique joue son rôle, évitant que le film se perde en trop de généralisations
Libération
par Quentin Descamps
De temps en temps, quand le rappeur s’échappe du côté du poétique - notamment via la bande-son -, une étincelle surgit, rapidement étouffée par la quête d’une réalité qui sonne faux tant Abd Al-Malik s’y place continuellement en héros.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Il y a même quelque chose d’assez gênant dans la manière dont le film exalte l’intégration à tout prix et multiplie les appels au calme, presque une forme de contrition qui semble adressée à tous les névrosés du suicide français.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
Le rappeur Abd Al Malik passe à la réalisation (...) et signe l'un des meilleurs films sur la banlieue depuis "La Haine" dont il revendique l'influence.
20 Minutes
(...) il [Abd Al Malik] offre une œuvre gorgée d’espoir et de valeurs morales.
Elle
"Qu'Allah bénisse la France" (...) : ses dialogues sont soignés, les personnages qui évoluent autour de son héros, vrais et touchants.
Franceinfo Culture
Abd Al Malik a plus d’une corde à son arc. A la vision de "Qu’Allah bénisse la France", son enthousiasme à faire partager son expérience dans une optique morale, s’impose.
La Croix
Derrière la naïveté de façade, [le film] véhicule une leçon, qu’une professeur de philosophie prodigue à son ancien élève sous la forme d’un précieux conseil : il faut chercher sa vie, la choisir.
La Voix du Nord
"Qu’Allah bénisse la France" brise les clichés, balaye les amalgames, vise à réduire la fracture culturelle et religieuse : « Le problème, mon frère, c’est pas la religion, c’est les gens ! »
Le Dauphiné Libéré
Abd Al Malik raconte sa propre histoire, et son film a la force et la poésie de ses textes.
Le Parisien
Pour la première fois, donc, derrière une caméra, la "racaille" de talent passe son exam haut la main, avec un sens gourmand de la mise en scène.
Le Point
Le rappeur maîtrise son sujet sans tomber dans les clichés et avec un soin du détail dans la forme qui rappelle Gus Van Sant ou Visconti (...) Une première réalisation qui augure un bel avenir de réalisateur.
Paris Match
Tourné avec l'énergie d'un clip et le réalisme brutal d'un noir et blanc coléreux, cet hymne hip-hop, brillamment orchestré, ajoute à la partition entamée avec "La Haine" de Kassovitz des notes d'espoir.
Première
Tout n’est pas parfait dans cette œuvre autobiographique où la sincérité confine parfois à la démonstration. Quelques maladresses n’effacent cependant pas l’impression d’apaisement transmise par le désormais cinéaste.
Sud Ouest
Un beau noir et blanc qui a de la gueule. Littéraire en diable. Pétri d'une culture du mélange salutaire qui donne un air singulier à ses plans hérités d'un cinéma classique.
Critikat.com
Avec un regard sans concession mais un discours gorgé d’espoir et d’optimisme, Abd Al Malik livre un essai vivifiant, mais un tantinet moralisateur.
Le Journal du Dimanche
On pourra souligner de petites maladresses, mais la sincérité est là. Abd Al Malik livre une oeuvre singulière, à son image.
Le Monde
Certes, la démarche est parfois raide (...). Elle est aussi décidée et entraînante.
Les Fiches du Cinéma
Adaptant son livre autobiographique, Abd Al Malik raconte son parcours. Un film touchant, qui se démarque en apportant un regard humain sur la vie interne à la cité et en laissant délibérément la violence hors-champ.
Ouest France
Une entreprise parfois inaboutie, mais il y a du cinéma dans cette production.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Le film se distingue, surtout, grâce à sa dimension humaniste, en décrivant un cheminement personnel qui s'ouvre sur le monde.
CNews
(...) l’écrivain-rappeur se perd dans des choix de mise en scène trop appuyés. Ce qui lui fait parfois perdre de vue son intention : donner à voir les multiples facettes d’un parcours hors du commun.
Cahiers du Cinéma
L’ensemble reste lisse, très programmatique, et ne déjoue pas toujours les écueils. Mais la dimension autobiographique joue son rôle, évitant que le film se perde en trop de généralisations
Libération
De temps en temps, quand le rappeur s’échappe du côté du poétique - notamment via la bande-son -, une étincelle surgit, rapidement étouffée par la quête d’une réalité qui sonne faux tant Abd Al-Malik s’y place continuellement en héros.
Les Inrockuptibles
Il y a même quelque chose d’assez gênant dans la manière dont le film exalte l’intégration à tout prix et multiplie les appels au calme, presque une forme de contrition qui semble adressée à tous les névrosés du suicide français.