Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Paris Match
par Alain Spira
Ce drame humanitaire et intimiste de nantis anéantis s’appuie sur le charisme volcanique d’un Niels Arestrup monumental dans sa déchéance. Formant un touchant oxymore avec ce sacré monstre, la jeune Julia Coma apporte toute la force vive de sa fragilité à son personnage de jeune fille en pleine mutation.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Parisien
par Hubert Lizé
Un formidable tandem Arestrup-Julia Coma qui donne toute sa saveur à l'intrigue.
Télérama
par Guillemette Odicino
Nice, ville d'accueil des rapatriés, est filmée, pour une fois, dans son authenticité. En père privé de repères, Niels Arestrup est un monstre de subtilité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce premier film maladroit d'Ada Loueilh, jeune diplômée de la Femis, est d'inspiration semi-autobiographique. On l'imagine motivée par quelque chose de fort, un besoin d'en découdre avec cette histoire qui ne transparaît jamais à l'écran.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Pour son premier film, la réalisatrice et scénariste s’empare du type même de sujet que le cinéma français néglige. Mais son originalité est entravée par une direction d’acteurs incertaine (…) et un scénario qui s’égare vite du côté des conventions familiales.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Un film sans grande inspiration ni relief, que son duo d'interprètes principaux ne parvient pas à sauver.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Bernard Achour
(...) Malgré les bonnes intentions et l’humanité blessée de Niels Arestrup, ça ne passe pas. La faute à une surabondance de pathos, de clichés et de personnages secondaires parfois ratés jusqu’à l’embarras.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Ce premier long raconte le rapatriement d'Abidjan vers Nice d'une ado métisse et de son père. Un duo devant apprendre à se connaître et prendre ses marques en France qu'Ada Loueilh film sans sentimentalisme, mais trop scolairement pour lui donner de l'ampleur.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Pathos et clichés : les bons sentiments ne font pas forcément du bon cinéma.
Paris Match
Ce drame humanitaire et intimiste de nantis anéantis s’appuie sur le charisme volcanique d’un Niels Arestrup monumental dans sa déchéance. Formant un touchant oxymore avec ce sacré monstre, la jeune Julia Coma apporte toute la force vive de sa fragilité à son personnage de jeune fille en pleine mutation.
Le Parisien
Un formidable tandem Arestrup-Julia Coma qui donne toute sa saveur à l'intrigue.
Télérama
Nice, ville d'accueil des rapatriés, est filmée, pour une fois, dans son authenticité. En père privé de repères, Niels Arestrup est un monstre de subtilité.
L'Obs
Ce premier film maladroit d'Ada Loueilh, jeune diplômée de la Femis, est d'inspiration semi-autobiographique. On l'imagine motivée par quelque chose de fort, un besoin d'en découdre avec cette histoire qui ne transparaît jamais à l'écran.
Le Monde
Pour son premier film, la réalisatrice et scénariste s’empare du type même de sujet que le cinéma français néglige. Mais son originalité est entravée par une direction d’acteurs incertaine (…) et un scénario qui s’égare vite du côté des conventions familiales.
Les Fiches du Cinéma
Un film sans grande inspiration ni relief, que son duo d'interprètes principaux ne parvient pas à sauver.
Première
(...) Malgré les bonnes intentions et l’humanité blessée de Niels Arestrup, ça ne passe pas. La faute à une surabondance de pathos, de clichés et de personnages secondaires parfois ratés jusqu’à l’embarras.
Studio Ciné Live
Ce premier long raconte le rapatriement d'Abidjan vers Nice d'une ado métisse et de son père. Un duo devant apprendre à se connaître et prendre ses marques en France qu'Ada Loueilh film sans sentimentalisme, mais trop scolairement pour lui donner de l'ampleur.
Le Dauphiné Libéré
Pathos et clichés : les bons sentiments ne font pas forcément du bon cinéma.