Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Guide de Survie du Cinéphile Amateur
18 abonnés
484 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 15 septembre 2018
L'espagne est le pays des tapas mais également des films d'angoisse novateurs comme ont pu l'etre Rec, l'Orphelinat, les Autres ou bien encore l'excellent Tesis du maitre Alejandro Amenabar ! Sweet Home n'échappe pas à la règle en nous offrant un synopsis intelligent, cynique et pourtant tellement d'actualité. Meme si le film reste ensuite assez classique dans sa construction façon slasher (courses poursuite, victimes qui oublient des trucs et reviennent en arrière, qui trébuchent, qui n'arrivent pas à trouver la bonne clé...), le tout est bien ficelé et offre de belles scènes de tension et un final malin ! Une belle réussite donc, dans son idée de base politique et sociale et dans sa réalisation, à voir, comme tous films espagnols actuels ! Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Une série vraiment géniale. Je découvre la filmographie coréenne depuis peu mais je les trouve au top de la création et de l originalité. Perso c est la 2 ème fois que je regarde cette série et c est un régal. Quelle créativité... Frisson garantie, J adore. Vraiment entre squid game, my name et sweat home... Tu comprends que les coréens sont clairement dans le game. Pour ma part ça devient même un critère de recherche.
Ça commence comme une romance en huis-clos, ça prend des allures de home invasion, puis de giallo, puis carrément de slasher avec un méchant qui a tous les attraits d'un boogeyman (masque, arme blanche, ubiquité). Le meilleur slasher vu de puis longtemps.
Inattendu et plein de rebondissements. Le concept est bon. Quelques images vraiment frappantes visuellement
Mais ça a manqué de quelque chose pour me séduire et m'accrocher. Peut-être une bande-son efficace ? Peut-être une bande son tout court d'ailleurs... Quand on entend la musique de fin on réalise qu'en fait y a eu que des dialogues, des cris et des bruitages, mais très peu de son au fond. l'ambiance en souffre peut être. La réalisation pèche quelque part. La tonalité des images à dominante de jaune et noir est un peu répétitive comme tous les huis clos. Ca manque de lumière même si, vu le scénario, c'est assez logique.
Y a des moments milieu-fin, disons vers le milieu du dernier tiers, où j'ai un peu décroché. C'est très sombre on comprend pas trop ce qui se passe, où ca se passe. Mais la fin est bien. C'est pas un mauvais film. Ca peut plaire. Mais j'en suis pas dingue.
Je ne vois pas l'horreur pour ce qui du genre catalogué pour ce film. Un peu gore dans le style mais pas horreur ni épouvante. Un bon thriller espagnol. Petites scène un peu trash mais sans plus.
On dirait un film d'étudiants en cinéma. Les incohérences du scénario gâchent le film. On se dit que pour pallier aux problèmes qui rendent la trame du film impossible, le réalisateur et scénariste du film, Rafa Martinez, passe outre, mais on est en pleine absurdité. Tout cela pour amener les scènes violentes. Un immense travail scénaristique aurait été nécessaire pour rendre le film crédible. Tout sonne faux. Déjà l'histoire du colin-maillard ne tient pas la route une seule seconde. Puis comment résoudre le problème des téléphones mobiles ? Quel serait le réflexe légitime d'une personne en détresse ? Qui appellerait-on en premier si on était face à un très grave danger ? L'héroïne du film ne le fait pas. Le compagnon de l'héroïne le fait bien sûr, mais à cause du colin-maillard, il ne sait pas où il est. Tout ça pour que le film puisse continuer ! Les scénaristes aurait dû se creuser davantage la tête. Ce qui est drôle est que les 3 méchants du film sont tués assez rapidement. Pour d'effrayants malfaiteurs on repassera ! C'est comme dans les mauvaises séries b ou certaines séries télé où les héros ne meurent jamais alors qu'ils auraient pu être tués rapidement. Par contre les méchants tombent par dizaine. On est dans le même principe ridicule dans ce film. A la fin de Sweet home, l'héroïne se transforme en catcheuse intrépide face à un dangereux criminel au physique de sumo. Ce qui fait bien rire ! On ne comprend pourquoi elle n'a pas été éliminée depuis longtemps ? Qui plus est, elle a une force digne de Wonder Woman.