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Un visiteur
5,0
Publiée le 1 mai 2017
J'ai adoré ce film.(Comme tout les fast and furious ) je tiens à dire que celui-ci est un de mes préférés. En effet beaucoup de voitur , d'action et surtout une histoire.
Nan la c est trop le 7 était bien fait bcp d humour et d émotion et la fin sur la plage est tout simplement magnifique elle nous tire presque une ou deux larmes fallait pas y toucher fallait en rester là et la vigne diesel et son truc je veux être le gros méchant du film franchement moi j'ai une diesel aucun talent d'acteur puis la bande annonce c'est un petit peu du grand n'importe quoi quoi ce sera sans moi même sur fond ou trois quatre autres Fast and Furious ça sera sans moi aussi encore il aurait mis celui celui de Tokyo Drift ou quoi ça aurait été bien mais peut-être ou alors le frère le Paul Walker dans le film et dans la vie en réel il n'aurait pas dû toucher à la fin du 7 c est pas cool pour Paul Walker de faire une daube pareille appres un très bon 7ieme DU GÂCHIS PAR ego de vin diesel
« Fast & Furious » rien de bien nouveau, un casting « testéroné » et/ou « cagolisé » est toujours présent, vannes pourris, dialogues et histoire ridicules quand les cascades jouent avec l’apesanteur et les lois de la gravité. Sauf qu’étonnement cette fois, pris au dernier degré, vu que le ridicule ne tue plus, F. Gary Gray dynamise un peu l’ensemble, ne s’en sort pas trop mal sur quelques séquences et le duo Statham-Johnson cabotine avec soins et une efficacité presque avouable (scènes carcérale et du couffin…). En gros « The Fate and The Furious » est produit (non pas réalisé, petite différence) pour son public, conquis depuis le premier film, entre ceux qui savent pourquoi ils rentrent dans la salle et les autres aux plaisirs assumés. Finalement, même dans ce cas, le cinéma c’est aussi ça, du divertissement servi jusqu’à l’écœurement ou le porn action en plein essor devient de plus en plus la norme d’un cinéma bling bling mais qui remplit les salles (et les comptes bancaires surtout).
Nulle surprise dans cette saga, c'est l'avantage (ou l'inconvénient c'est selon). Ce 8ème opus ne déroge pas à la règle. Scénario minimaliste, explosion de bagnoles à gogo, une petite note d'humour et des gags un peu (très) lourds...et hop le cahier des charges est rempli... Par contre, ça ressemble de plus en plus à un croisement entre Mission Impossible et James Bond, moi je dis ça je dis rien...
Dans la catégorie "film complètement barré mais qui fais du bien", je vous présente Fast & Furious 8 !
On dira ce que l'on voudra des grosse productions décérébrées mais avouons le, ca fait parfois du bien de se faire plaisir, de se poser dans son fauteuil, de mettre son cerveau en mode off et de se laisser guider !
C'est clairement le cas ici.
Ne cherchez pas de la logique ou de la crédibilité, ca ne sert à rien... On en prend plein les yeux, on s'amuse, on se fait plaisir et c'est tout ce que l'on en demande.
Partant de là, le film est une grande réussite !
Foncez le voir dès sa sortie et surtout, amusez-vous bien.
Autant depuis les 2-3 derniers films je trouvais que la licence décollait dans le bon sens et nous offrait un spectacle incroyable, autant là, côté spectacle on ne peut rien dire mais la démesure est telle qu'on décroche et les voitures ne sont plus mises suffisamment en avant, c'est bien dommage. Un bon divertissement c'est certain, d'autant qu'on sait ce qu'on va voir donc, pas de déception véritable. Staham c'est le meilleur!!! Et de très loin!
Toujours plus couillon et portnawak, ce nouvel opus avait la lourde charge de faire sans P. Walker, décédé durant le tournage du 7ème opus. Il en résulte un film qui redistribue les cartes, fait se nouer de nouvelles alliances et propose un spectacle de tôles froissées que l'on pourrait qualifier de pornographique ! La scène de New York avec les voitures folles qui pleuvent littéralement du ciel est absolument dingo tout comme le final sur la glace (sans doute un peu trop long) avec ce fameux sous-marin. C'est complètement invraisemblable de bout en bout, de nombreuses scènes sont complètement ineptes voire risibles mais le tout étant fait avec un 2nd degré assumé, ça reste plaisant à voir. Par contre, il faudrait vraiment que V. Diesel prenne du recul, se dégonfle la tête et arrête d'être aussi omnipotent. Il se donne le beau rôle, s'accapare toute l'intrigue et ne se rend pas compte que son sérieux papal nuit grandement à l'affaire. Quant à F. Gary Gray, choisit grâce au succès récent de son "Straight outta Compton" pour Universal et le fait qu'il avait déjà collaboré avec bon nombre des acteurs du casting, il s'en sort pas trop mal, troussant quelques séquences spectaculaires avec des moyens démesurés (et avec quelques mannequins en mousse bien visibles aussi) mais il l'invente rien, reprenant beaucoup de plans de J. Wan et se révélant moins énergique que J. Lin. Divertissement fun et bourrin mais auquel il manque une âme. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
Le décès de Paul Walker a laissé des séquelles. Elle plane encore dans ce huitième épisode mais il faudra s'y faire. Blondinet n'est plus là. L'ajout de The Rock et Jason Statham a permis de dynamiter encore plus l'action. Si les fameuses courses sont encore là, Fast & Furious 8 propose énormément de bastons, de fusillades, de courses-poursuites toujours plus dingues où les véhicules voltigent comme des quilles. La séquence d'action la plus marquante étant sans conteste celle sur la glace voyant s'affronter la "Team Toretto" et des terroristes à grands coups de tanks, de motoneiges et de sous-marin. Un Toretto ayant changé de camp pour rejoindre celui de la blonde glaciale Charlize Theron. Une prodige de l'informatique parce qu'il faut vivre avec son temps. Comme elle veut récupérer des codes nucléaires à un moment auprès d'un russe, c'est aussi, à la fois, une méchante à l'ancienne. En dehors de l'épilogue, il faut savoir que l'action est quasiment en continue. Ce serait donc être de mauvaise foi que de gueuler, de dire que ce n'est que du pan-pan, vroum-vroum accompagnés de quelques bons mots et des fameuses valeurs sur la famille prônées par Dom. On en a pour son argent. C'est du grand spectacle. On est là pour voir de belles bagnoles, de jolies gonzesses et des cascades invraisemblables. J'ai eu mon compte. Deux heures d'une telle agitation, on peut trouver ça bourratif. Je le conçois. Ça reste un divertissement XXL bien bourrin que je prends un plaisir coupable à visionner.
Qu'ajouter de plus qu'on a pas déjà dit auparavant sur la saga Fast and Furious quand on en est au huitième opus !? Alors si la première scène à Cuba ramène aux origines de la saga et de la bande de quartier, le reste prend place dans la surenchère commencée au quatrième épisode. Cette fois on fait la course sur la glace, on affronte l'armée allemande et russe et on se confronte à un sous marin, quoi de plus normal. Il n'y a plus aucune logique à cette saga si ce n'est un plaisir coupable qui nous fait quand même regarder. Paul Walker manque à l'appel et c'est bien dommage, sa disparition aurait du également être celle de la saga mais les billets verts en ont décidés autrement. A noter quand même une scène hors norme et plus qu'originale, le croisement improbable entre voiture et zombies pour une scène spectaculaire.
Cette série faisant la part belle aux beaux cylindrés et au cascade improbable ne perd pas de sa classe ni de sa justesse dans sa catégorie de films pour les gros bras.
En ajoutant une femme fatale aux commandes d'une équipe de super méchant pour une fois super douée, le récit prend une autre dimension et se révèle meilleur que les autres opus.
Dans la ligné des derniers opus, on continue le délire. Cette saga est l'une des rares qui, étant tellement dans son délire qui est assumer a fond, ne dérange pas pour son irréalisme et sa simplicité scénaristique. D’ailleurs je trouve cet opus légèrement moins délirant que le précédent ( toute proportion gardé bien sur, on reste dans un Fast and Furious qui est par définition du WTF depuis 4 opus, mais je trouve spoiler: une course poursuite avec un sous marin moins irréaliste que un drone exploser par ambulance volante ou qu'un homme qui survit a un écrasement de millier de tonnes de béton sans aucun dommage dans le 7 ). J'ai été assez étonné du traitement de certains personnages qui deviennent presque des comicrelief alors qu'ils étaient plutôt sérieux les opus d'avant ( Statham et Russel en particulier) et concernant le personnage de Statham je trouve quespoiler: Dom lui pardonne bien vite le fait qu'il ai tuer un de ses potes quelques films plus tôt . Bref bien fun et drôle avec quelques passages assez tristes ( spoiler: cf Elsa Pataky ) et surtout pas mal de WTF bien venu, parce que c'est pour ces moments qu'on va voir le film.
Je ne pensais pas que cela arriverait et pourtant, c'est le cas. Ce huitième volet de la saga Fast and Furious est clairement le plus mauvais de la saga. On se retrouve devant un film qui a atteint la zone du nanar et qui est une vraie déception. Le scénario est bâclé de bout en bout. Les scènes d'action présentes sont parfois efficaces et parfois totalement à l'ouest, et les rajouts numériques grossiers n'aident pas vraiment. Pour remplir les vides, on a ajouté de l'humour un peu partout, qui reste parfois efficace, et qui permet de dire que ce volet est le plus drôle de la saga. Le réalisateur ne se contente que de remplir le cahier des charges et offre une réalisation au minimum syndicale. Ce n'est clairement pas à la hauteur de Justin Lin, qui offrait de l'action qui décoiffait ou de James Wan et son perfectionnisme pour l'image. Charlize Theron est superbe dans le rôle de la méchante, Dwayne Johnson et Jason Statham se partagent l'écran. Mais ce que l'on ressent, c'est que Vin Diesel n'est pas réellement présent dans ce film. On sent que l'acteur est lassé de ce personnage ou que tout simplement, cette saga n'est plus aussi amusante pour l'acteur sans Paul Walker. Ce volet de Fast And Furious se classe dans la catégorie du film "vu et vite oublié en sortant de la salle".
Contrat tout à fait rempli question divertissement bourré de testostérone. Évidemment si une émission "faux raccord" s'attardant sur tout aspect invraisemblable existait, cela constituerait un autre long métrage. Je préfère quand même le 6 dans son côté excessif mais on a de grosses destructions, et 2 scènes de combat (avec Statham) bien foutues.