Avis : Fast & Furious 8 - Page 2

Du Grand Spectacle.Aprés un Cinquième,Sixième et Septième Opus démentiel,le réalisateur F Gary Gray passe la vitesse supérieure arrivant a livrer un huitième épisode de haute volée qui atteint des sommets inédits dans la saga Fast & Furious. Pour Commencer la mise en scéne est fluide tout en étant d'une parfaite maitrise en nous emmenant dans des endroits inexploré comme Cuba,New York ainsi que l'Islande et qui est servie par une BO trés efficace de Bryan Tyler qui renforcent l'aspect sombre et dramatique du long métrage avec néanmoins quelques bande son de rap qui viennent dynamiser le film. Ensuite le Scénario est rondement ficeler en parvenant a emmener la franchise dans des situations inattendus qui réserve son lot de surprises scénaristiques et qui est mener tambour battant pendant 2h16 sans laisser le moindre répit,Ajouter a cela des Séquences D'Actions encore plus démesurée et explosifs dont on en prend pleine la vue ainsi que des Scenes de Courses Poursuites toujours aussi Frénétique et Spectaculaire qui nous agrippe a notre fauteuil tout en n'oubliant pas d'y installer une certaine ambiance sombre avec quelques doses d'Humour et d'Emotion bien doser. Enfin on retrouve une quasi partie des Personnages emblématiques de la saga et dont le Casting est tout simplement Fabuleux avec en tète Vin Diessel qui livrer une prestation trés convaincante en emmenant son personnage phare de Dominic Toretto dans une situation inattendue et surprenante, a ses cotés le reste de l'équipe du charismatique Toreretto est présent en étant composer de Dwyane Johnson,Michelle Rodriguez,Nathalie Emmanuel,Tyresse Gibson et Ludacris se révèlent trés bons dans leurs interprétations avec en prime le retour des personnages phares de Deckard Shaw l'adversaire principal du précédant volet et l'élégant et intriguant mr Nobody camper par un Kurt Russell trés a l'aise dans le rôle et pour combler le tout l'apparition surprises de de quelques protagonistes connus de la saga qui sont dans l'ensemble appréciable tout en marquant l'arrivée de quelques nouveaux arrivants hauts en couleurs tels que la ravissante Charlize Théron qui fait une entrée fracassante dans la franchise Fast & Furious en prêtant ses traits a la glaciale et manipulatrice Cypher une brillante cyber-terroriste sans scrupules mais aussi les arriver remarqués de Scott Eastwood et Helen Mirren qui viennent compléter cette belle distribution haut de gamme.En Conclusion, Fast & Furious 8 parvient a confirmer que la saga entamé en 2001 parvient avec brio a se bonifier d'épisode en épisode pour notre plus grande joie, mais qui au passage a le mérite de faire passer la saga Fast & Furious au rang des meilleurs Sagas d'Actions du Septième Art aux cotés des franchises mythiques tels que Mission Impossible ou encore James Bond dont cette nouvelle aventure s'avere toujours aussi Réjouissant,Spectaculaire,Drôle,Fun et Touchant dont les inconditionnels de la saga dont ils nous tardent de retrouver toute l'équipe pour de nouvelles aventures démentiels.

Après un septième volet remarquable pour l'hommage à Paul Walker, il était difficile de faire quelque chose de plus époustouflant et pourtant, ils ont réussis.

Tout d'abord, le scénario est plutôt solide avec un Dom méchant. Si au début, on est totalement perdu vis à vis de son rôle, on comprendra très vite ce qui se trame derrière. Pour un huitième opus, c'est encore un autre film qui se démarque des autres (c'est assez étonnant de proposer dans une saga aussi longue des sujets différents et variés).
Ensuite, au niveau du précédent opus, on était bien servi au niveau humour, émotions et spectacle. Ici, c'est la même chose mais partout en mieux. Les scènes d'action sont époustouflantes, au point que la crédibilité en perd un petit coup. La scène finale est presque du Mad Max dans la glace. Quand on pense qu'à la base, cette saga c'était une course urbaine de voitures, quel chemin parcouru.
On aura de bons moments amusants, sympathiques (surtout avec Roman) et d'autres assez touchants (par rapport à Dom).
The Rock est encore vraiment remarquable ici : sa scène d'action en prison est excellente : hardcore et délirante (à fond les muscles !!).

À chaque fois on se dit que la série Fast and Furious touche à sa fin et qu'elle a fait le tour mais à chaque fois on est bluffé. Jusqu'où va-t-on aller ? Même si le ratio spectaculaire/crédibilité commence petit à petit à se déséquilibrer, si on se prête au jeu, ça se prend complètement. Encore plus fun et encore plus impressionnant, cette saga monte en puissance de volet en volet. Tant que ça dure... En attendant ce Fast and Furious sera sans doute pour moi le film le plus jouissif de cette année 2017.

J'ai adoré ! Un cran au dessus au du 7ème ! Spectaculaire à souhait, sans temps mort (action non stop), une bonne dose d'humour avec des punchlines qui cognent dur & Jason Statham plus présent à l'écran ça fait vraiment plaisir !

La famille s'agrandit pour notre plus grand plaisir. Il n'y a plus rien à raconter dans Fast and Furious (si on suppose qu'il y a déjà eu quelque chose à raconter), on en est déjà à la huitième itération du bousin et franchement ça maintient le gain de qualité obtenu avec la venue de Justin Lin à la réalisation lors du troisième film (et plus globalement à partir du cinquième film). En effet à partir du cinquième on est dans du film d'action débile mais qui ose toutes les conneries possibles et pour ça, ça rend le visionnage non seulement agréable, mais bel et bien recommandable.

Alors non ce n'est pas un grand film, mais pour voir un truc totalement débile, qui est aussi prévisible qu'il est abrutissant, mais il fait ça bien. Ce n'est pas non plus de la grande mise en scène, mais c'est lisible, bien rythmé, avec quelques répliques qui font bien... et ça fait le travail, tout simplement.

Si on avait voulu faire un grand film on aurait pu travailler le côté techno-thriller pour avoir un véritable propos autre que le monde est un jouet et on va partout, on intervient partout et on s'en fout de la géopolitique mondiale... On aurait pu travailler les motivations de la méchante qui sont assez banales, voire incompréhensibles tant elles n'ont aucun sens pour faire en sorte que ça soit un réel dilemme de travailler pour elle, car finalement elle semble pas si mal intentionnée... On aurait pu travailler le dilemme de Dom pour créer un peu de drame humain au lieu de nous balancer des conneries sur "la famille"

Mais voilà, la franchise qui n'a plus rien à dire a du mal à se renouveler autrement qu'en ajoutant de nouvelles têtes à son casting et surtout a du mal à proposer quelque chose de plus impressionnant que le précédent... Mais du certaine manière ils y arrivent encore et mine de rien, j'attends celui qui aura lieu dans l'espace, parce que forcément on va y venir...

Nul nul nul nul et re nul de plus en plus nul les F&F depuis le 5 qui était un chef-d'œuvre. Dans se film le même scénario que les 3 précédent ils vont quelques part fonts tout pété et vont autre part. De l'image de synthèse à gogo ... enfin bref. Un film pour Paul ??? Le pauvre serais dégoûté de voir ce que devient F&F !

Plus que jamais orienté vers l'humour ce Fast 8 offre le spectacle attendu avec des acteurs qui s'en donnent à coeur joie (The rock et Statham en tête). Malheureusement quelques raccourcis scénaristiques vont faire grincer les dents des plus anciens fans. C'est drôle, ça marche mais l'esprit Fast semble peu à peu s'effriter....

Je rajoute une étoile pour Charlize Theron, mon actrice préférée, toujours aussi charismatique et crédible dans son jeu, malgré un personnage pas du tout développé. C'est un peu le problème principal du film, on survole tous les personnages, l'intrigue tient sur une carte postale, les motivations du personnage de Charlize Theron sont abordés en une phrase... Le scénario manque clairement d'épaisseur. Mais on va pas se mentir, on regarde pas cette saga pour ça (même si un scénario mieux élaboré n'est jamais de refus), mais ses scènes d'actions ; Et de ce côté là, on en prend pleins les yeux. J'ai apprécié ce côté explosif et too-much du film, comme des montagnes russes un peu. Ça ne se prend pas au sérieux, l'humour est omniprésent... on sait qu'on regarde un divertissement, et si on se prête au jeu il y a de quoi passer un bon moment, surtout quand on peut admirer Charlize Theron dans le rôle d'une méchante. Un plaisir coupable...

Nouvel opus du mastodonte de l'actionner, FF8 repousse une nouvelle fois les limites de l'improbable avec toujours plus de cascades, de punchlines et de fights ! Ce savant et explosif cocktail d'humour et d'action non stop ne cesse de ravir les fans années après années avec quasi à chaque fois un nouveau réalisateur aux commandes. Après Justin Lin et James Wan, c'est Gary Gray qui s'y colle avec tout autant de réussite que ses prédécesseurs. C'est deux heures de courses poursuites endiablées entre lesquelles on n'a à peine le temps de respirer avant une bonne vanne ou un grand coup de latte, c'est simplement jubilatoire tout comme les deux ou trois épisodes précédents. La tambouille est toujours la même mais c'est d'une efficacité redoutable et le casting n'y est pas pour rien. On retrouve en effet avec énormément de plaisir la "famille" Toretto avec en cadeau des anciens qui viennent s'ajouter aux personnages récurrents dans un amalgame qui prend immédiatement. Rien que la scène d'intro avec d'autres acteurs que Vin Diesel et Michelle Rodriguez paraitrait sans aucun doute totalement has-been mais voilà, ici la mayonnaise prend à chaque fois et chacun donne de sa personne pour un plaisir coupable démultiplié. N'oublions pas que dans le trio de tête les Diesel, Statham et johnson s'approchent tous de la cinquantaine ! Chapeau bas car à aucun moment ça ne se ressent. La saga FF et surtout depuis l'épisode 4, c'est un concentré d'action à 100 à l'heure, fun et hyper divertissant, auquel s'ajoute une espèce de sympathie sans borne pour l'équipe de runners qui, entre drames et bonnes surprises, participent à tous les coups à ce qu'il se fait de mieux à l'heure actuelle dans le domaine de l'actionner pur et dur. Un vrai régal une nouvelle fois.

C'est à chaque fois la même chose. Lorsqu'un opus « Fast & Furious » sort au cinéma, il y ceux qui disent que ces films s'enfoncent toujours plus dans le ridicule et le grotesque et qu'ils sont une honte pour le cinéma de divertissement. D'un autre côté, il y a ceux qui aiment cette saga pour ce qu'elle a à offrir et qui ne cherchent pas à y voir des films intelligents ou subtils mais plutôt des divertissements exagérés et assumés. Depuis « Fast and Furious 4 » sorti en 2009, la saga a pris un tournant, chaque opus essayant d'aller toujours plus loin et de faire toujours plus gros dans les scènes d'action, quitte à perdre toute notion de réalisme. Soit on accroche et on passe du bon temps devant ces films d'action volontairement bourrins, soit on passe de longues heures d'ennui. Évidemment, « Fast and Furious 8 » est dans la pure lignée de ces prédécesseurs, le spectacle est assuré du début à la fin. On retiendra surtout trois scènes fortes. Une première dans une prison, une autre avec des voitures qui tombent du ciel, et une dernière avec un sous-marin nucléaire. F. Gary Gray est le nouveau venu dans la famille F&F, prenant le poste de réalisateur laissé vacant par James Wan après le précédent opus. Il s'en sort très bien pour faire ressortir tout le côté énorme et incroyable de chacune des scènes d'action. Particulièrement lors des scènes de combat au corps à corps où chaque coup donné résonne et fait mal. Dwayne Johnson et Jason Statham sont les mieux servis de ce côté, ils se font plaisir en enchaînant les adversaires avec une facilité déconcertante, assurant le show presque à eux seuls. Même si son travail est remarquable et que ce F&F8 est tout à fait impressionnant, F. Gary Gray commet une légère faute de goût en ajoutant un peu trop de ralentis lors des scènes mouvementés. Parfois, ça passe et on assiste à de beaux plans, d'autres fois c'est clairement dispensable. Cependant, à part ce détail, le cinéaste américain ne déçoit pas et maîtrise complètement son sujet. Mises à part les scènes d'action qui représentent certes l'intérêt principal, ce huitième opus surprend un peu tout de même par son récit qui a un côté un peu plus sombre que les autres. Notamment lors des scènes avec Vin Diesel et Charlize Theron. Le premier fait preuve d'une sensibilité étonnante et inédite chez son personnage. La seconde semble bien s'amuser dans ce blockbuster et ne prend pas son rôle à la légère. Néanmoins, ces touches un peu plus sérieuses ne dénotent pas avec le reste, il y a toujours une grande place laissée à l'humour et à la dérision. Cela se voit que le film a bien conscience de l'aspect complètement invraisemblable du spectacle qu'il propose, c'est même l'une des sources de plaisanterie du long-métrage. Ils en rigolent et certaines séquences sont clairement tournées vers la comédie, à l'image de celle avec le berceau. Quand on prend le film à la légère, au second degré, les scènes d'action ne sont alors plus seulement sensationnelles, elles en deviennent comiques. Mais c'est un comique complètement assumé et recherché. Suffit de voir toutes les punchlines qui fusent et les répliques de certains personnages comme celui de Tyrese Gibson. Si le film est drôle, ce n'est pas parce qu'on se moque de lui mais parce qu'on rit avec lui. C'est ce qui différencie la saga « Fast and Furious » des nanars, et c'est ce qui fait son succès. « The Fate of the Furious », titre originale de ce nouveau volet, ne convaincra probablement pas ceux qui n'aimaient pas la saga de base. En revanche, ceux qui adhèrent au délire proposé dans ces films vont sûrement prendre leur pied devant ce très bon divertissement. Il n'y a pas grand chose de nouveaux, il y a même des éléments des précédents opus qui réapparaissent, pour le plaisir parfois des fans. La franchise finira très certainement par s'essouffler à force de constamment essayer de faire toujours plus gros, plus impressionnant et d'exagérer au maximum. Mais jusque là, ils assurent et assument complètement le spectacle, et on en redemande.

La sauce qui fonctionne continue de s'écouler encore et toujours (mais quand va-t-elle s'arrêter ?). Les codes sont bien fidèles au poste, et ce dès l'introduction : musique de merde, grosses bagnoles, petits culs, personnages clichés et accent à la con. Oui, les cinq premières minutes relèvent déjà de l’auto-caricature !
La franchise qui s'est fixée pour but d'aller toujours plus loin d'épisode en épisode sans avoir peur du ridicule, continuera effectivement de repousser les limites, en proposant des cascades et des explosions toujours plus spectaculaires (quitte à faire la course avec un sous-marin), et en recrutant de nouveaux membres dans son casting (on pensait pourtant que Charlize Theron était plus exigeante dans ses choix...sûrement une histoire de cachet). "Fast & Furious 8" n'envisage donc pas de décevoir ses fans et envoie de l'action à tour de bras (et Dieu sait que le tour de bras de The Rock n'est pas commun). On ne parlera en revanche plus des scenarii à la mords-moi-le-nœud de cette franchise, ingrédient mort et enterré depuis de nombreux épisodes maintenant, répétant sans cesse le même schéma de guéguerres et autres trahisons à deux balles sans réel suspense (pas la peine de masquer la photographie sur le téléphone au début du film, on devine instantanément de qui il s'agit). L'époque de l'infiltration dans le milieu des courses clandestines est bien loin... Un aspect ringard commence à se faire ressentir depuis le temps, que ce soit dans les énormes facilités ou encore le personnage de Vin Diesel devenant toujours un peu plus ridicule, s'approchant au plus près de sa caricature façon "Les Kassos" (pour les amateurs de programmes YouTube). Michelle Rodriguez, elle aussi, énorme tête-à-claques de collection, deviendra un véritable calvaire à l'écran.
Le cinéma de divertissement est utile et parfaitement honorable, un genre comme un autre, mais le mettre en scène avec talent en suscitant l'intérêt et en proposant un minimum de surprises et de nouveautés est une toute autre histoire, et ce n'est pas ce tour du monde tuné et bodybuildé sous un semblant d'amitié fraternelle qui va nous faire rêver. Cette mécanique grand-guignolesque, et bien que toujours plus explosive, devient de plus en plus difficile à visionner. Au bout de huit épisodes, il serait tout de même grand temps de mettre un terme à cette franchise, même si monstrueusement bankable (phénomène frustrant témoignant d'une intention principale navrante de la part du grand public). On a été indulgent sur les précédents épisodes, mais aujourd'hui, il est vraiment temps que la saga "Fast & Furious" rentre au garage, mais quelque chose nous dit que le portail va rapidement ré-ouvrir, c'est pourquoi on optera pour la casse comme destination.

Minable !!! Quand on pense à la mort de Paul Walker, la scène de la voiture en flammes est tout simplement nauséabonde !
Le reste du Film ne tient pas la route ! Ennui total, de plus en plus lourdingue !! Dialogue à deux balles...
Il est grand temps que la saga se termine !!

Après le succès titanesque et surprenant du septième opus il y a deux ans, « Fast & Furious 8 » signe une suite logique, qualitatif et sûrement l’un des meilleurs de la saga !
Grande force en trompe de ce nouveau numéro qu’est le casting. C’est tout naturellement que nous retrouvons les figures emblématiques de la série avec entre autre Vin Diesel, Dwayne Johnson et Jason Statham mais aussi et surtout, Charlize Theron ! Tête d’affiche conséquente de ce nouvel opus, elle incarne Cipher, aussi savoureuse que détestable dans le rôle d’une méchante glamour dont son degré d’immoralité s’accentue au fil de péripéties.
Point essentiel dans la forme du métrage, en plus d’une bande-son commerciale soigneusement choisit, les paysages extrêmement hétéroclites passent de la Havane par les rues de New York jusqu’à la mer arctique de Barrents.
Rapide, furieux, spectaculaire, « Fast & Furious 8 » parvient une énième fois à surprendre malgré la présence des nombreux clichés auquels peut répondre un blockbuster. L’action demeure sans temps mort, les cascades sont impressionnantes, il y a une dose d’humour savamment étudiée et l’ensemble et saupoudré par un aspect thriller conséquent nécessaire à l’intérêt du film. Un mélange des genres résultant sur un cocktail visuel et cinématographique explosif.
Revenir en force après autant de numéros en parvenant à se renouveler dans une progression qualitative fulgurante fait véritablement de « Fast & Furious » non plus une série mais une marque de fabrique générationnelle.
Bilan : Ingénieux et surtout, increvable !

La critique complète et bien plus encore : Cinephilion.com

Ce 8ème volet rempli parfaitement son cahier des charges en terme de pur divertissement !! Actions, humour, combats et cascades !! Les ingrédients qui vont font la réussite de cette saga de plus en plus tourné vers l'action !! Niveau actions, ça envoie du lourd , avec des courses poursuites et des cascades improbables de plus en plus spectaculaires et excitantes avec une bonne touche d'humour !! Niveau combats, ça tabasse pas mal grâce à Dwayne Johnson et Jason Statham qui réalisent des combats spectaculaires !! D'ailleurs, je trouve que ces 2 acteurs prennent une place importante dans cette saga et dans les futures épisodes à venir ... Bref, du pur divertissement, sans prise de tête ........

le plus mauvais de la serie . sans ame ... l opus de trop a des fins commerciales. a vraiment besoin de se renouveler. Scenario des plus simplistes ... a voir pour continuer la serie mais ca ne vaut a peine le detour :(

La dégringolade d'une saga. Normal c'est le 8 quand même . Et puis Fast and furious sans Paul Walker c'est comme un été sans soleil. Alors la production cherche l'action et surtout les tunes .
Mais il est grand temps d'arrêter tout sa. De plus on est Bien loin de l'esprit des premiers épisodes . Ou il y avait cette ambiance de Rue voiture course poursuite. La on est dans un film d'action insipide . Oui les scènes sont bien faites (pas crédible De 1%) mais bon c'est le point fort de cette saga. Mais l'action ne fait pas tout. Les acteurs continu mais on sait pourquoi (finance) mais Perso je pense pas que ce soit par pur plaisir au vue d'un scénario vue et revue et revue .
Fallait arrêter au 5 c'était déjà beaucoup .