Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Benjamin Guedj, dont c'est le premier film, dresse le portrait d'un personnage atypique, mélange d'Alexandre le bienheureux et de Bartleby. Un anti-héros qui, en compagnie de ses deux acolytes, nous fait beaucoup rire. Et cette comédie sociale et romantique distille aussi de temps à autre quelques moments de poésie.
Le Monde
par Noémie Luciani
Sympathique et sans brio "Libre et assoupi" est de fait un produit honorable, construit le plus simplement du monde autour d'un trio de jeunes comédiens bien assortis. Un peu trop de discussions entre colocataires, quelques séquences farfelues plutôt réjouissantes (...), tout cela n'est pas inattendu mais propre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Benjamin Guedj offre un rôle en or à Baptiste Lecaplain, idéalement épaulé, dans cette comédie mélancolique sur l'entrée dans l'âge adulte, par Charlotte Le Bon et Félix Moati.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
S’il a au moins le mérite d’échapper aux pires conventions de la comédie populaire française, notamment à l’emprise du scénario, cet étrange objet bordélique souffre de son manque de direction autant que d’un cruel déficit de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Daniel De Almeida
(...) malgré quelques scènes savoureuses (...) le film de Benjamin Guedj succombe rapidement à une mollesse narrative que son casting ne sublime que rarement (...) son éloge fainéant de la paresse nous laisse finalement moins libre qu'assoupi.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Ouest France
par La Rédaction
Le plaidoyer bavard en faveur du farniente dans une société speedée avait quelque chose de subversif qui n'est pas exploité.
Télé 7 Jours
par Urielle Ceillier
(...) cette fable générationnelle comporte de jolis moments mais, hélas, a bien du mal à démarrer.
Télérama
par Nicolas Didier
Une réflexion existentielle paresseuse, ponctuée de petits sketches médiocres et platement filmés par Benjamin Guedj.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
Benjamin Guedj, dont c'est le premier film, dresse le portrait d'un personnage atypique, mélange d'Alexandre le bienheureux et de Bartleby. Un anti-héros qui, en compagnie de ses deux acolytes, nous fait beaucoup rire. Et cette comédie sociale et romantique distille aussi de temps à autre quelques moments de poésie.
Le Monde
Sympathique et sans brio "Libre et assoupi" est de fait un produit honorable, construit le plus simplement du monde autour d'un trio de jeunes comédiens bien assortis. Un peu trop de discussions entre colocataires, quelques séquences farfelues plutôt réjouissantes (...), tout cela n'est pas inattendu mais propre.
Les Fiches du Cinéma
Benjamin Guedj offre un rôle en or à Baptiste Lecaplain, idéalement épaulé, dans cette comédie mélancolique sur l'entrée dans l'âge adulte, par Charlotte Le Bon et Félix Moati.
Les Inrockuptibles
S’il a au moins le mérite d’échapper aux pires conventions de la comédie populaire française, notamment à l’emprise du scénario, cet étrange objet bordélique souffre de son manque de direction autant que d’un cruel déficit de mise en scène.
Première
(...) malgré quelques scènes savoureuses (...) le film de Benjamin Guedj succombe rapidement à une mollesse narrative que son casting ne sublime que rarement (...) son éloge fainéant de la paresse nous laisse finalement moins libre qu'assoupi.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Ouest France
Le plaidoyer bavard en faveur du farniente dans une société speedée avait quelque chose de subversif qui n'est pas exploité.
Télé 7 Jours
(...) cette fable générationnelle comporte de jolis moments mais, hélas, a bien du mal à démarrer.
Télérama
Une réflexion existentielle paresseuse, ponctuée de petits sketches médiocres et platement filmés par Benjamin Guedj.