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L'homme sans nom
155 abonnés
968 critiques
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3,0
Publiée le 3 février 2024
Western italien dans la droite lignée des Leone et Corbucci, sorte de revisite de Pour une poignée de dollar, qui était déjà une adaptation. Du déjà vu donc mais une mise en scène qui suffit pour plaire à un amoureux des westerns italiens. Par contre, le personnage principal est plus lisse qu'un Eastwood, et l'ensemble apparaît comme moins immoral, moins risqué.
« Un dollar entre les dents » est un assez bon western « spaghetti » qui repose sur la qualité du casting et le soin apporté à la réalisation. Parlons du casting. En tête d’affiche Tony Anthony, le sosie blond officiel de Rowan Atkinson (pour la Grande-Bretagne) et de Serge Reggiani (pour la France), mais surtout Frank Wolff en chef de bande psychopathe affublé d’une veuve noire sado-maso. « Un dollar entre les dents », c’est également l’éloge d’une certaine et réelle lenteur. Effectivement Luigi Vanzi a été assistant réalisateur de Michelangelo Antonioni, réputé pour l’importance du silence… et de la lenteur. Peu de dialogues… Une autre originalité du film est cette chasse à l’homme inversée. C’est Tony Anthony, seul, qui poursuit et spoiler: élimine lentement, mais sûrement, la bande de Frank Wolff. Une jolie réussite.
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Le film commence plutôt puis très vite sa s'essoufle, le héros du film se met à pourchasser puis c'est l'inverse et la fin est lonnnnnnnnnnnnnnnguuuueeeeeeeee mais looonnnngggguuuuueeeee et pourtant le film dure moins d'une heure 30 mais que c'est long. La musique est sympa bien que répétitif, c'est vraiment dommage...