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Nicothrash
365 abonnés
3 025 critiques
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3,5
Publiée le 30 septembre 2020
Très bon souvenir que ce Peur Bleue de Renny Harlin, peut être même le film de requins qui s'approche le plus de la référence Jaws en terme de qualité. L'axe est foncièrement différent puisque très porté sur la science mais les scènes d'action et les vilaines bestioles, boostées aux hormones sont particulièrement efficaces. Le casting est assez surprenant également avec des grands noms notamment et un Thomas Jane qui tire largement son épingle du jeu. On regrettera des images de synthèse atroces même si elles ne sont pas légion mais dans l'ensemble, c'est spectaculaire et les morceaux de bravoures s'enchaînent parfaitement dans cet univers particulier et angoissant. Un bon moment, même 20 ans plus tard.
Un nanar façon Jurassic Park avec des requins génétiquement modifiés. Les réactions et les personnages sont si crétins qu'on a envie qu'ils se fassent bouffer. Les effets spéciaux donnent l'impression que Les Dents de la Mer ont été tournées après. À regarder pour se marrer entre amis avec un grand seau de popcorn.
Harlin n'est pas encore le clone d' uwe boll ou d'ed wood mais cela ne vas pas tarder s'il continue à accumuler les conneries avec une telle régularité. Entre l'île au pirate , l'exorciste ou encore cliffhanger et donc cette "petite merveille", on ne sait que choisir ! Plus sérieusement, il s'agit d'un odieux long métrage ou la médiocrité fait la loi : acteurs d'une nullitée inouie, effets spéciaux minablissimes, et , cerise sur le gâteau , scénario et dialogue à se tirer une balle dans la tête. Bref , à éviter à n'importe quel prix !
Aucune comparaison n'est possible avec Les Dents de la Mer de Spielberg. Ici, les requins sont utilisés pour effectuer des recherches afin de soigner la maladie d'Alzheimer. Le sujet est ainsi différent. Par contre, en termes d'effets spéciaux, Peur bleue se débrouille mais est en deçà visuellement parlant. Pourtant, le film est sorti plus tard. Les acteurs font leur job, l'action est au rendez-vous. Le divertissement est par conséquent convenable.
Une certaine réactualisation des dents de la mer sur un tempo beaucoup plus rapide mais avec des acetrus et surtotu des dialogues ridicules. Le rythme et le réalisme des requins permettent au moins de se créer quelques frauyeurs devant un bon film sans autres prétention que de divertir.
Bon petit film de requin qui se diffère des "Dents de la Mer". L'idée de faire des expériences génétiques sur des requins pour soigner la maladie d'Alzheimer est justifiable et correct, tout comme l'idée qu'ils deviennent plus intelligents et qu'ils font tout pour nous tuer est sympa. Par contre, leur intelligence est exagérée spoiler: car ils vont jusqu'à comprendre les lois de la physique.
L'ambiance est stressante, il y a plein de moments effrayants, bien que certains soient prévisibles. Parfois, on alterne entre moments sérieux avec les scientifiques et moments plus légers avec le Prêcheur. J'aime également l'esthétique : on a une sorte de mélange entre l'orange et le bleue, je trouve ça beau visuellement. Les effets spéciaux sont moyens : on a d'abord des animatroniques qui sont parfaits, mais quand on passe aux effets numériques, ça vieillit mal. La musique est juste parfaite, le thème est fort et puissant, on a même droit à des chœurs, quand on a de l'action, c'est agréable également et il y a même un côté un peu triste. Les personnages sont sympathiques, il y en a certains qui ont du charisme, ils jouent bien mais par contre Susan c'est la pire, spoiler: non seulement elle est responsable de tout, mais son jeu d'actrice est insipide. De plus, les scènes d'attaque des requins sont parfois exagérées, des fois on est surpris et c'est bien, mais par contre quand ils veulent attaquer le héros, soit ils l'évitent pour aucune raison, soit il s'en sort d'une façon improbable.
Avec son scénario, "Peur Bleue" peut être considéré comme un mauvais nanar, mais avec son côté sérieux et test scientifique et même cette idée que le requin pénètre l'univers de l'Homme, on peut passer un bon moment. Les personnages sont bons pour la plupart, la mise en scène est bonne, les animatroniques sont bluffants et la musique nous tient éveillés.
Peur bleue n’est pas une très grande réussite de Renny Harlin. Mise en scène correcte et le film est divertissant. Mais le scénario aurait mérité d’être amélioré sur de nombreux points, et les interprétations des acteurs comme Thomas Jane, Saffron Burrows ou encore LL Cool J m’ont paru fades.
Modèle d’efficacité dans le sous-genre du film de requins, Deep Blue Sea bénéficie du savoir-faire de son réalisateur Renny Harlin en matière d’action, qui multiplie d’ailleurs les clins d’œil à des productions de référence, notamment à Jaws, comme à ses propres œuvres – la scène de l’échelle suspendue dans le vide rappelle l’ouverture de Cliffhanger (1993), le centre scientifique ressemble aux cellules de Prison (1987), l’hélicoptère pris dans les intempéries au deuxième volet de la saga Die Hard (1990). Le montage crée une rapidité d’exécution qui ne paraît jamais forcée et qui jamais ne brouille la lisibilité de l’ensemble ; la photographie immortalise nombre de plans iconiques et très spectaculaires ; la partition musicale que signe Trevor Rabin offre un thème mémorable et une atmosphère oppressante des plus réussies. À un intérêt de l’ordre du divertissement correspond également un intérêt d’ordre symbolique, le film composant non sans lourdeur une parabole ironique de l’Apocalypse au terme de laquelle triomphe la foi – une foi ancrée dans la simplicité et dans le rachat des fautes, les deux protagonistes encore en vie étant tous les deux des figures de pécheurs mis à l’épreuve par des « diables », une foi affranchie de tout rapport au savoir académique, de toute puissance hiérarchique ou monétaire, les deux protagonistes encore en vie étant des hommes de l’ombre contraints de vivre tantôt sous la terre (le bassin) tantôt dans les cuisines du centre. Harlin convoque ici, entre autres, la sentence biblique qui veut que les premiers seront les derniers et les derniers les premiers ; de ce renversement des statuts, il tire un jeu de massacre plutôt savoureux qui n’hésite pas à condamner les prêches patriotiques gorgés de grandiloquence pour défendre une foi en un Dieu salvateur dont il faut redouter la colère. Un divertissement, en somme, mais un divertissement plus futé que les fantoches qu’il représente. Et l’un des meilleurs films de requins jamais réalisés.
Le meilleur "JAW-like". Loin d'etre parfait, on se laisse prendre au jeu malgré tout, et puis quelques scenes sont tordantes (le dernier discour de Samuel L Jackson et surtout la façon dont il se conclue... et ça, ça fait du bien, c'est pas comme les suites des dents de la mer.
Après les dents de la mer, un excellent film avec comme super star, les requins. C'est efficace et le réalisateur s'affranchit des morceaux de bravoure pour montrer simplement un groupe de personnes qui veut absolument survivre.
Les films d'horreur de requin relativement bons sont assez rares. Les requins sont plutôt bien faits, avec un scénario original et des scènes pas mal pensées du tout, peur bleue est un bon divertissement.
Peur bleue est un film machiavélique au suspense aussi efficace qu'angoissant. Un casting impeccable. Thomas Jane alias Carter Blake joue parfaitement bien. Trevor Rabin est un dieu de la musique, chaque scène est accompagnée d'une musique vous emportant au plus profond de l'angoisse du film. Renny Harlin marque un bon point avec Peur bleue qui n'a rien a voir avec Les dents de la mer. Le scénario est très original, les effets spéciaux sont personnellement bien réussi. Après avoir vu ce film vous réfléchirez à deux fois avant d'aller vous baigner...
Scabreux et emphatique à la fois, c'est un brave spectacle à l'américaine, course au meurtre ou affrontement le plus trivial ou épatant [''et là le mec sait qu'il va se noyer dans un four''] ou au dialogue le plus médiocre possible. Jonché de ralentis ''lyriques'' et de déclarations enflammées ou humanistes de calibre ''la mort, qu'elle aille se faire mettre cette salope'', le film distrait par à-coups, mais sa bêtise rigoureusement outrée ne tient pas la longueur. Pour une ou deux séquences incongrues à la connivence racoleuse, quelques retournements de situation se résumant à tromper ou maintenir l'attente autour de l'identité de la prochaine potiche lapidée, on trouve tout le temps de se conforter dans nos certitudes que Deep Blue Sea appartient à un cinéma qui, quoiqu'il arrive ou tente de faire miroiter, ne changera de rengaine sous aucun prétexte.
Absolument consternant. Si la réalisation ne se serait pas prise au sérieuse , on aurait vu ce déchet sous un autre angle et on l'aurait sûrement apprécié. Mais voila , le réalisateur se prend au sérieux , nous exposant des scènes très drôles tellement l'irréalisme atteint des sommets. Cette série Z est un ramassis d'aberrations en tout point.