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Votre avis sur My Old Lady ?
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BeatJunky
Mouais, ça passe mais tout juste! J ai connu des petites histoires plus passionnantes, heureusement que l interprétation est a la hauteur sinon, l'ennui n était pas loin! Il y a bien quelques passages sympa entre ces trois personnages mais sinon, on peine à s'impliquer dans cette histoire surtout que la mise en scène n est pas des plus énergiques et on devine assez rapidement l'issue. Voilà une comédie qui ne restera pas dans les mémoires mais qui a quand même quelques atouts pour elle comme la toujours géniale Maggie Smith!
Une "comédie dramatique" qui porte bien son nom. Un humour bien équilibré, intelligent, allié à certaines scènes émouvantes et mêmes dures. Le tout avec une très jolie bande son.
Le scénario est également bon, progresse dans un bon rythme, avec des révélations successives, sans que les rebondissements ne soient trop incessants. Les personnages évoluent également à travers la découverte de leurs secrets familiaux, sans manichéisme.
Le scénario est également bon, progresse dans un bon rythme, avec des révélations successives, sans que les rebondissements ne soient trop incessants. Les personnages évoluent également à travers la découverte de leurs secrets familiaux, sans manichéisme.
Une excellente comédie dramatique. Kevin Kline joue brillamment un alcoolique cinquantaine. Kristin Scott Thomas campe une professeur d'anglais . Maggie Smith incarne une veille dame. Jubilatoire et criant de vérité. Avec la participation de Stéphane de Groodt et Dominique Pignon.
Un très beau film, littéralement porté par ses comédiens, qui m'a séduit du début à la fin.
Mention spéciale à Kristin Scott Thomas et son accent si mignon quand elle parle français – un très bon français, d'ailleurs.
J'ai eu plaisir à y revoir Dominique Pinon, qui lui se débrouille très bien en anglais !
Bref, je suis séduit !
Mention spéciale à Kristin Scott Thomas et son accent si mignon quand elle parle français – un très bon français, d'ailleurs.
J'ai eu plaisir à y revoir Dominique Pinon, qui lui se débrouille très bien en anglais !
Bref, je suis séduit !
Un film émouvant, porté par un casting formidable, le tout joué dans un Paris qu’on aimerait habité.
My old lady est un très beau film romantique, du moins avec un fond de romance bien qu'une part soit grave ou pour le moins sérieux, sans pour autant ne pas nous offrir des instants d'humour. Un grand moment de cinéma jubilatoire. Le scénario est très original et maintient le suspens jusqu'au terme. Les acteurs sont excellents: d'abord Maggie Smith avec une justesse et une présence qui nous procure des émotions mais aussi Israël Harovitz et Kristin Scott Thomas. Il n'y a rien à ajouter au risque de dévoiler et de rompre le charme, juste "allez voir ce film !". Vous ne le regretterez pas. Une nouvelle démonstration que l'excellence n'est pas en relation avec un énorme budget.
Un premier film en tant que réalisateur à 75 ans pour Israël Horovitz. Un huis-presque-clos qui nous permet de retrouver Kevin Kline, Kristin Scott Thomas et Maggie Smith, pour un bain d'humour et de tendresse, avec les écarts touchants d'un "jeune" réalisateur New Yorkais qui ne peut se retenir, comme Woody Allen, de nous montrer son amour pour Paris avec quelques plans "carte postale". C'est frais, drôle et touchant, loin des Avengers et autres blockbusters, c'est évident, mais différent, et rien que pour ça, et pour des acteurs qui jouent parfaitement leur partition, je le recommande.
My Old Lady est un Old Movie. On commence le film en se disant qu'on connait déjà le scénario et boum, tout se réalise tel qu'on l'a deviné, quelle audace et quelle originalité, j'en suis tout esbaudi..... le pire étant atteint lors de la dénonciation des parents, on croit rêver mais non, Horowitz nous livre ici une psychanalyse sauvage sur la toxicité des parents sur de vieux célibataires.... tout étant de leur faute.... c'est quoi le projet ? imitez Woody Allen dans toute sa nullité ? bravo c'est réussi.....
Un film un peu décevant, fade, malgré de belles vues de Paris. J'attendais beaucoup plus, surtout avec des comédiens aussi brillants.
Une critique plus détaillée et d'autres sur
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Jolie découverte que cette Old Lady qui n'échappe certes pas aux clichés sur le romantisme de Paris, lieu de toutes les histoires d'amour, les plus intenses, mais développe une intrigue intéressante... Une rencontre tendue entre deux adultes fragiles, nés d'amours contrariées et qui découvrent la vérité de leur histoire, commune malgré eux...Avec un texte dense, une mise en scène élégante, servie par des acteurs de grande classe, dont l'exceptionnelle Maggie Smith en vieille dame indigne, Kristin Scott-Thomas, lumineuse comme toujours, et Kevin Kline, Israel Horowitz réussit une oeuvre intense,élégante et plaisante.
La bande-annonce et la première partie du film (la première moitié en fait) donnent une fausse idée de ce qu'est ce long-métrage. En effet, on a l'impression d'assister à une comédie. Un quinquagénaire américain se débat avec une vieille Anglaise (et sa fille) qui habite un appartement que lui a légué son père et qu'il ne possède qu'en viager. Or, il est fauché et ne peut payer la rente que le contrat stipule et n'a d'autre désir que de vendre l'appartement. C'est donc pendant une bonne partie du film des péripéties comiques qui soutiennent l'intérêt du spectateur. Mais, au milieu du film une révélation, qui tient du secret de famille, vient changer l'ambiance du film qui se transforme en drame plus sombre. On est un peu déstabilisé par ce changement de ton assez brusque qui, tout en maintenant l'intérêt du film, pourrait décevoir ceux qui étaient venus pour se détendre devant une comédie charmante. Alors, le film n'en reste pas moins intéressant et les thèmes qu'il évoque sont intéressants : l'amour est-il égoïste, les parents savent-ils vraiment aimer leurs enfants, doit-on reprocher à ses parents tous ses propres manques et ses échecs... Mais il est vrai que le film s'il démarre sur une petite musique guillerette bascule tout de même brusquement dans une ambiance lourde que la fin, pas totalement réussie d'ailleurs, ne parvient pas totalement à alléger. Mais l'ensemble n'en demeure pas moins intéressant et assez original et porté par l'interprétation solide d'un trio d'acteurs impeccables. Reste aussi le décor d'un Paris romantique et idéalisé à souhait. Une comédie/drame assez inattendue et déstabilisante qui mérite néanmoins le coup d'œil.
Malgres des comédiens de renom , ce film est tres ennuyeux , mou et le doublage tres mauvais.
Film drôle, émouvant et charmant avec une grande Maggie Smith !!! Elle crève l'écran et illumine cette comédie dramatique un peu amère. Le début est un peu léger avec ce thème du viager puis plus on avance dans le film et plus la psychologie des personnages est creusée et plus on réalise que le film est plus profond qu'il en a l'air. Une belle surprise avec le plaisir incomparable de retrouver cette grande actrice britannique !
Un doublage français décevant
Je n’ai pas réussi à mettre la main sur la version originale (à moins qu’il n’existe qu’en français?). Par conséquent j’ai été très frustrée, d’autant que je voulais découvrir (enfin) Kristin Scott Thomas dans son registre natal. Mais finalement, ce qui m’a le plus déplu quant aux voix s’est avéré être celle du personnage masculin principal, incarné par Kevin Kline. Le doublage était tout bonnement foireux, en désaccord total avec le caractère du personnage. Les voix données ont rendu difficile mon appréciation première du film.
Une musique clichée mais appréciable
J’ai par ailleurs beaucoup apprécié les musiques du film. Très « françaises » afin de coller au stéréotype musical parisien (vu par les étrangers, évidemment nous écoutons quand même peu de l’accordéon à longueur de journée!). Quoi qu’il en soit le film présente une jolie bande-son qui ajoutent de la beauté aux images capturées de notre belle Capitale.
Des personnages attachants
J’ai été pour le moins décontenancée vis-à-vis d’un personnage, certes secondaire, mais qui me donnait l’impression d’un mauvais acteur. Il s’agit de l’agent immobilier par Dominique Pinon. La manière d’être du personnage ne m’a pas plu et me semblait complètement hors contexte, dans une pièce de théâtre peut-être, avec une accentuation trop forcée des traits de caractère ? Au cours du film, j’ai quand même quelque peu réussi à cerner le personnage, qui finalement fait partie intégrante de l’histoire et dont la personnalité colle plutôt bien.
Le personnage de Mathilde, quant à lui incarné par notre ‘sorcière’ Maggie Smith, est très attachant. On y découvre une nonagénère à la personnalité et au vécu complexe. Pleine d’humour, elle fait également preuve de beaucoup d’ironie et est ballottée entre ses illusions et la réalité. Émouvante dans son rôle de femme et de mère aimante, Mathilde nous émeut à chaque moment, que nous soyons d’accord ou pas avec ses opinions. Elle nous dépeint d’une certaine manière la vieille époque où elle a vécut, dans toute sa complexité, notamment en matière de mariages.
J’ai été par ailleurs très surprise par Kristin Scott Thomas, qui a rapidement su me convaincre par son rôle très attachant. Peut-être est-ce dû à sa personnalité modeste, à la recherche d’une stabilité affective, en terme de famille comme d’amour. En ayant tout le poids familial sur ses épaules (secrets, mère bercée d’illusions), le rôle de Chloé se révèle très énigmatique, notamment dans sa relation avec Mathilde (sa mère).
Le personnage masculin, Mathias, va quant à lui remonter dans mon estime vers la moitié du film. Au départ exécrable, sans cœur, et, je le redis, sans doublure qui se respecte, on s’attache petit à petit au personnage, au moment des révélations familiales. Finalement, on prend conscience de ses faiblesses au moment où lui-même s’en rend compte. En perpétuel conflit avec son père – pourtant décédé – on va pouvoir découvrir passé fait de souffrances et de complexité.
Nous sommes mêlés dans cette histoire entre deux images paternelles et maritales, entre deux relations mère/fille et père/fils qui au premier abord paraissent des plus éloignées, alors que finalement se cachent beaucoup de similitudes. Les personnages vont se déchirer, se réconcilier, se détruire, jusqu’à un dénouement des secrets de famille. Beaucoup de rancœurs sont présentes dans cette histoire, mais aussi beaucoup d’espoirs. Je terminerai d’ailleurs par une jolie citation de Samuel Beckett que l’on retrouve dans le film :
« Si tu ne m’aimes pas, je ne serai jamais aimée » Samuel Beckett
Je n’ai pas réussi à mettre la main sur la version originale (à moins qu’il n’existe qu’en français?). Par conséquent j’ai été très frustrée, d’autant que je voulais découvrir (enfin) Kristin Scott Thomas dans son registre natal. Mais finalement, ce qui m’a le plus déplu quant aux voix s’est avéré être celle du personnage masculin principal, incarné par Kevin Kline. Le doublage était tout bonnement foireux, en désaccord total avec le caractère du personnage. Les voix données ont rendu difficile mon appréciation première du film.
Une musique clichée mais appréciable
J’ai par ailleurs beaucoup apprécié les musiques du film. Très « françaises » afin de coller au stéréotype musical parisien (vu par les étrangers, évidemment nous écoutons quand même peu de l’accordéon à longueur de journée!). Quoi qu’il en soit le film présente une jolie bande-son qui ajoutent de la beauté aux images capturées de notre belle Capitale.
Des personnages attachants
J’ai été pour le moins décontenancée vis-à-vis d’un personnage, certes secondaire, mais qui me donnait l’impression d’un mauvais acteur. Il s’agit de l’agent immobilier par Dominique Pinon. La manière d’être du personnage ne m’a pas plu et me semblait complètement hors contexte, dans une pièce de théâtre peut-être, avec une accentuation trop forcée des traits de caractère ? Au cours du film, j’ai quand même quelque peu réussi à cerner le personnage, qui finalement fait partie intégrante de l’histoire et dont la personnalité colle plutôt bien.
Le personnage de Mathilde, quant à lui incarné par notre ‘sorcière’ Maggie Smith, est très attachant. On y découvre une nonagénère à la personnalité et au vécu complexe. Pleine d’humour, elle fait également preuve de beaucoup d’ironie et est ballottée entre ses illusions et la réalité. Émouvante dans son rôle de femme et de mère aimante, Mathilde nous émeut à chaque moment, que nous soyons d’accord ou pas avec ses opinions. Elle nous dépeint d’une certaine manière la vieille époque où elle a vécut, dans toute sa complexité, notamment en matière de mariages.
J’ai été par ailleurs très surprise par Kristin Scott Thomas, qui a rapidement su me convaincre par son rôle très attachant. Peut-être est-ce dû à sa personnalité modeste, à la recherche d’une stabilité affective, en terme de famille comme d’amour. En ayant tout le poids familial sur ses épaules (secrets, mère bercée d’illusions), le rôle de Chloé se révèle très énigmatique, notamment dans sa relation avec Mathilde (sa mère).
Le personnage masculin, Mathias, va quant à lui remonter dans mon estime vers la moitié du film. Au départ exécrable, sans cœur, et, je le redis, sans doublure qui se respecte, on s’attache petit à petit au personnage, au moment des révélations familiales. Finalement, on prend conscience de ses faiblesses au moment où lui-même s’en rend compte. En perpétuel conflit avec son père – pourtant décédé – on va pouvoir découvrir passé fait de souffrances et de complexité.
Nous sommes mêlés dans cette histoire entre deux images paternelles et maritales, entre deux relations mère/fille et père/fils qui au premier abord paraissent des plus éloignées, alors que finalement se cachent beaucoup de similitudes. Les personnages vont se déchirer, se réconcilier, se détruire, jusqu’à un dénouement des secrets de famille. Beaucoup de rancœurs sont présentes dans cette histoire, mais aussi beaucoup d’espoirs. Je terminerai d’ailleurs par une jolie citation de Samuel Beckett que l’on retrouve dans le film :
« Si tu ne m’aimes pas, je ne serai jamais aimée » Samuel Beckett
C'est toujours très intéressant de regarder comment des étrangers perçoivent la France, et à travers elle, la ville de Paris. On se souvient du très théâtral "Minuit à Paris" de Woody Allen ou encore du délicat et subtil film "Un week-end à Paris" qui montraient de façon quasi romanesque voire sarcastique la capitale française. Ici, c'est un Paris très britannique qui s'offre aux yeux des spectateurs. Un Paris des cartes postales, de très belles cartes postales d'ailleurs, un Paris mélangé où les bouches de métro ne correspondent pas aux lieux où les scènes se jouent, un Paris qui n'existe pas, celui des luxurieux hôtels particuliers dans le Marais. C'est une ville de Paris sans parisien, à part les éboueurs, les maris trompés, quelques passants amoureux, les agents immobiliers lunaires et les hommes d'affaire bilieux. Car plus qu'un film sur Paris, "My old Lady" est un film purement anglais. Mathias, la soixantaine, hérite de son père d'un magnifique appartement dans le Marais, cerné d'un jardin magnifique sans jardinier, où il apprend que ce bien est issu d'une vente avec rente. Justement, la rentière, une vieille dame de plus de 90 ans (elle ment sur son âge, raconte le film avec beaucoup de drôlerie et de douceur) habite le bien sublime où elle coule ses journées à entasser de l'argent. Elle partage sa vie avec sa fille (Kristin Scott Thomas, très juste) qui donne des cours d'anglais dans un institut fondé par sa propre mère. L'idée de départ est très bonne. Dès le début du film, on sourit, voire on rit. L'humour est anglais, kitch parfois, sophistiqué comme le serait une pièce d'Oscar Wilde. Mais très vite, la film sombre hélas dans u grand ennui. Car on y parle trop. Israël Horowitz a tiré ce film de sa propre pièce de théâtre. Justement, le réalisateur fait la démonstration pour le coup très verbal, qu'il ne suffit pas d'écrire de beaux et larges dialogues pour faire un film. Le cinéma, c'est d'abord des images animées, et pas seulement cette série de clichés improbables d'une ville où vivent des gens riches et où des femmes chantent sur la scène des airs d'opéra de Mozart. De plus, le film brasse une telle quantité de thèmes (l'argent, la mélancolie, la psychanalyse, les relations parents enfants, l'adultère, l'inceste etc.) qu'il devient une sorte de compilation désordonnée de sujets qu'on voudrait donner à traiter par des bacheliers en philosophie. On saluera les accessoiristes qui ont habillé l'appartement d'objets incroyables, habités par le poids des secrets de cette Old Lady. On saluera aussi la prestation délicate de Maggie Smith. Mais cela ne suffit pas. On aimerait tellement que Kevin Kline parle un peu moins, et que le film se laisse saisir par l'émotion, totalement absente d'un bout à l'autre de l'histoire.
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