Derniers Avis : #Chef - Page 10

#Chef est un super film, original, et émouvant! Donne une grosse envie de manger et transmet la passion de la cuisine. C'est aussi une belle critique du monde qui ultra connecté, peut modifier une vie!
À voir! ??

J'ai adoré ce road movie... Histoire de famille... Très sympa. Par contre si vous avez faim avant d'entrer dans la salle... Vous allez souffrir !

Je m'attendais à une belle daube dégoulinante de bons sentiments et de clichés. Certes, il y en a un peu, et une petite morale americano-familiale (et une ode aux réseaux sociaux). Mais #Chef est un sympathique « feel good movie » plutôt drôle et attachant. Joel Favreau (Mr Iron Man) officie ici à tous les postes ou presque : acteur, réalisateur, scénariste, producteur. Le casting est de toute beauté : Scarlett Johansson, Dustin Hoffman, Robert Downey Jr, John Leguizamo, Sofia Vergara, Oliver Platt, Bobby Cannavale. Bref, ça donne faim (il faut dire que j'y suis allé en sortant du travail le ventre vide), on passe un bon moment, assez léger et facilement oubliable. Une demie-surprise tout de même pour cette comédie, ma foi, pas désagréable.

Jon Favreau réalisateur à ses début de petits films indépendants tels que « Made » avec son pote Vince Vaughn ou encore « Smog » c’était fait récupéré au milieu des années 2000 par les industriels d’Hollywood, car bon faiseur, pour mettre en scène les deux premiers volets de la trilogie « Iron Man » et le nanar « Cowboys et envahisseurs » avec Harrison Ford et Daniel Craig. Cela fait plaisir de le voir revenir vers son public avec un film sincère avant de s’attaquer à son « Livre de la Jungle » pour Disney.

Carl Casper chef de renom est en pleine crise existentielle. Face au dilemme qui l’oblige à choisir entre continuer à travailler pour son patron qui le bride artistiquement et l’oblige à cuisiner le même menu depuis plusieurs années ou abandonner son poste mais pas sa créativité et donner libre cour à son imagination. Passion qui par le passé a été la cause de sa séparation avec sa femme et de facto de l’éloignement avec son fils.

Le récit est bien entendu un brin autobiographique, mais l’addition est bien moins salée qu’elle n’aurait pu l’être. Le réalisateur faisant preuve d’une réelle humilité. Il règle d’abord ses comptes avec lui-même, ne s’épargnant pas, incarnant un chef imbu de sa personne, ayant du mal à se remettre en question et encore moins de comprendre ses erreurs. Et c’est dés lors qu’il peut se permettre d’attaquer la critique en général et l’industrie hollywoodienne qui ont pu le blesser par le passé.
La mise en abîme de sa profession est intéressante mais les rouages qui la mettent en place sont peu subtils. Divisé en trois parties, le film ne s’avère véritablement intéressant que dans le premier tiers à travers lequel on peut observer le milieu de l’industrie gastronomique. Pendant deux heures durant, Favreau ne manque pas de nous mettre l’eau à la bouche avec ses passages obligés de préparation culinaire sur-esthétisés, déjà-vu mille fois, mais qui n’en demeurent pas moins terriblement efficace car toujours soutenus par un agréable travail sur le son venant s’ajouter au fur et à mesure des séquences à une bande originale composée de musique cubaine et de jazz de la Nouvelle-Orléans qui colle parfaitement au film. La deuxième partie dans laquelle le festival de seconds rôles apparu au début du film disparaissent (Scarlett Johansson, Dustin Hoffman, ou encore Robert Downey Jr en roue libre), on se retrouve alors avec un road-movie en foodtruck beaucoup trop long. Roadmovie peut-intéressant car le réalisateur choisi la facilité et le réduit à un simple effet de montage, ne tirant pas profit de ces situations qui ne demeurent qu’un prétexte au rapprochement avec son fils. Nous l’aurons compris c’est un film sur le partage ; Partage intergénérationnel, partage des passions, mais aussi partage social et ça le film ne manque pas de nous le rappeler tout le long du film, le transformant en une immense publicité pour Twitter (le distributeur changeant le titre original « Chef » en « #Chef » afin de le rendre viral sur les réseaux sociaux).

Le feel-good movie, certes savoureux, manque de rythme. Trop lisse, les dialogues souvent vides donnent parfois l’impression d’un remplissage faisant s’étirer à ne plus en finir certaines scènes. Le mécanisme de la comédie dramatique tourne à plein régime et lorsque la troisième partie s’arrête brusquement après sa séquence de retrouvailles familiales expédiée en cinq minutes, cela englobe le tout dans une impression de vide. Charmant et quoi que bien intentionné le film aux procédés légèrement éculés nous laisse cruellement sur notre faim.

Le film donne un feel-good movie coloré et musical plutôt sympathique à défaut d'être super original. D'abord on peut se demander si Twitter n'a pas sponsorisé le film (sûrement !), le scénario reste cousu de fil blanc et les personnages sont sans profondeur. Sur ce dernier point les casting s'avère judicieux avec des seconds rôles marquants (merci Marvel) avec surtout deux atouts charmes à tomber à la renverse avec la blonde Scarlett et la brune Sofia Vergara.

Quel bonheur ! un vrai feel-good-movie, que je qualifierais même d'adorable, sans être cucul pour autant. Un peu de grosse ficelle bleu-rose par ici, mais les seconds rôles sauvent incroyablement la mise de ce film en lui donnant une finesse, une richesse - et une vitalité - qui m'ont emportée.
Le pompon d'honneur est décerné très haut la main à Robert Downey Jr, ce type est un génie... Les deux seconds latinos du Chef sont merveilleux aussi, la vitalité c'est eux, salsa's way of life, sans vices, toniques et amicaux.
La musique joue un sacré rôle, en rythmant chaque scène à presque en faire une comédie musicale. Madame ex et son papa complètent le tableau. Seul Dustin Hoffman que j'aime infiniment n'a pas un joli rôle, mais ça m'a fait plaisir de le voir quand même.
Autres personnages importants : Miami, New Orleans et Austin. Je connais les deux premières villes, me suis même payé le luxe de retrouver le nom des rues... j'ai donc adoré m'y retrouver (le sucre glace des beignets de la Nouvelle-Orléans plein le nez ! et c'était bien du sucre glace, voui).
Un peu hybride, le film, pour mon plus grand plaisir. Le papa trop absent mais passionné par son art, et son fiston, c'est du cordage layette bons sentiments, si ça n'avait été que ça, c'aurait été indigeste, quoique mignon. Sans doute le réalisateur faisant l'acteur n'a pas pu se lâcher dans son rôle, ayant à faire tourner la machine (à faire bouillir la marmite, si vous préférez). Le scénario avait-il prévu toutes les autres interventions ? Ou les acteurs en liberté ont pu y aller de bon coeur ? Vraiment, l'unique scène avec Robert Downey Jr est un pur bonheur surréaliste - surréaliste à l'américaine, c'est dire la prouesse.
Dernier personnage délicieusement troussé : la cuisine ! Ne voir ce film QUE l'estomac bien plein, parce que ça donne faim au-delà de toute volonté... Et vous en ressortirez en sautillant !

Un très bon moment , attachant , on a toujours peur du résultat quand on vois trop de gros acteurs au casting mais ce film sans grande prétention est une vraie bonne surprise , à ne surtout pas allez voir en ayant faim ...

Même s’il semble désireux de s’éloigner des blockbusters pour signer un feel-good movie plus intimiste, Jon Favreau n’hésite pas à convoquer un casting prestigieux pour assurer le rayonnement de son nouveau film, avec notamment Dustin Hoffman, Scarlett Johansson ou encore Robert Downey Jr dans des petits rôles. S’il ne réussit à être réellement appétissant, ce road-trip culinaire a au moins le mérite de nous prouver que les notions de grande cuisine et culture américaine ne sont pas forcément antithétiques. Mais au-delà de ce déploiement de bonne volonté gastronomique, et de la sous-intrigue sur la transmission filiale, on peut facilement lire dans le parcours de ce chef une allégorie de la carrière du réalisateur, lui-aussi fatigué d’être critiqué de reproduire les mêmes recettes préfabriquées (Iron Man 1 & 2, Cowboys & envahisseurs…) et motivé par une volonté de création libre ne nécessitant pas de gros budget. Le rapport entre ce créateur (qu’il s’agisse du cuistot ou du cinéaste) et la critique, via des provocations passant par les réseaux sociaux, semble être une évolution de son métier qui interloque Favreau, et qu’il a su traiter, au risque de sembler un peu dépassé, mais avec toujours beaucoup de bonne-humeur, dans sa comédie débordant (jusqu’à saturation ?) de chaleur humaine.

Une petite comédie sociale et culinaire pas sensationnelle mais tout de même bien sympathique.
Il y a deux grands acteurs : Robert Dowmney Jr et Scarlett Johansson mais ce qui est dommage c'est qu'on les voit très peu ou à peine.
Ce qui est dommage aussi c'est que ce film est très mal distribué en salles et il fera donc pas beaucoup d'entrées.
En tout cas j'ai passé un bon moment de détente.

Une petite comédie trés émouvante qui montre en quelque sorte que ce qui compte dans la vie c'est de faire un métier qui nous plaise, c'est ce que nous montre Jon Favreau tout au long de son film.La joie est omniprésente avec des acteurs fabuleux comme la belle Scarlett Johansson et le charismatique Robert Downey jr (Iron-Man) qui à mon sens ne sont pas assez présent dans le film mais Jon Favreau, John Leguizamo et le jeune Emjay Anthony sont tout aussi prenant. 1h 54 qui sont passée extrêmement vite, j'aurais pu suivre leur périple dans leur Food Truck pendant des heures, bref en conclusion j'ai trouvé ce film génial, il nous fais tout oublié et nous redonne le sourire donc allez le voir.

Vraiment une belle histoire. Même si la cuisine est en vogue en ce moment, le filon a bien était exploité.

Après ces récents blockbusters qui ne brillait pas par leurs originalités, Jon Favreau, yes man par excellence, se lance dans un petit film indépendant, dans l'esprit film entre potes remplis de bons sentiments et qui s’exerce à caresser tout le monde dans le sens du poil. Il a lui-même écrit le scénario qui est remplis de clichés et de facilités scénaristiques, chaque personnages correspondent à un stéréotype et certains n'ont absolument aucunes personnalités comme le meilleur ami Martin qui n'est la que pour faire le chien-chien du patron, les seules répliques qu'il a c'est pour dire que toutes les idées de son patron sont cool, ou la mère qui elle dit oui comme une cruche tout le long du film et qui est la bonne copine avec tout le monde. Ce genre de personnages génériques ont tendance à m'énerver et souligne une paresse d'écriture qui d'ailleurs ne s'étend pas qu'à ça car ici tout va bien dans le meilleur des mondes. Le récit est dénué de tout enjeux au point même qu'on se fiche éperdument de ce qui peut arriver aux personnages car même dans le pire des cas rien de vraiment insurmontable ne peut leurs arrivés. On est donc totalement déconnecter du film, on regarde sans vraiment être attentif et certaines longueurs viennent vraiment nous ennuyer car le film met un temps considérable à se lancer, le road trip vendu par le synopsis du film n'intervient que dans le dernier tiers. D'ailleurs c'est ce passage là le plus intéressant du film car celui-ci se fait plus énergique, plus drôle et se recentre sur la relation la plus pertinente du film, celle du père et du fils. Cette relation est plutôt bien géré même si le fils est plutôt conciliant envers son père ce qui fera que l'ensemble ne dépassera jamais le stade de la petite dispute sans répercussions, elle arrive quand même à ce montrer vraiment touchante surtout lors du road trip ou toute l'attention est porté sur eux mais malheureusement celui-ci s'arrête aussi vite qu'il a mis du temps à ce lancer. D'ailleurs le petit retournement de situation à la fin est pathétique, ce qui prouve bien l'envie de faire plaisir à tout le monde et de ne laisser aucun conflit ce qui fait que le film sera extrêmement naïf dans son propos. De plus vu que le film a des contours autobiographique, on n'a du mal de ne pas voir le réalisateur flatter son propre ego, même si il fait un mea culpa en se critiquant juste un petit peu, c'est vraiment peu en comparaison de tout ceux qui disent que c'est lui le meilleur. Cela m'agace au plus haut point surtout qu'il fait une légère satire sur la critique notamment via les blogueurs et les réseaux sociaux qui n'ont pas toujours été tendre avec lui et on sent qu'il fait ce film pour prendre sa revanche sauf qu'il le fait mal, car oui si on critique son cinéma c'est parce que celui-ci est mauvais même si il possède un degrés de sympathie non négligeable ça reste un cinéma de feignant. Et pour couronner le tout on a aussi le droit à une pub de près de deux heures sur Twitter avec en plus le passage en revu de tous les nouveaux trucs à la mode ( Vine, Selfie,... ) et avec le message habituelle des vieux briscards qui font face à la technologie pour au final dire que c'est bénéfique en éludant totalement les problèmes liées à celle-ci pourtant exposés au début du film. Pour ce qui est de la réalisation, il n'y a rien de très cinématographique la dedans que ce soit le montage ou la photographie c'est du générique ainsi que la musique pop qui veut donner des airs cool au film. De plus Favreau s'impose comme un directeur d'acteurs pitoyable ainsi qu'un metteur en scène sans imagination. Car on assiste juste à du food porn pendant deux heures avec une mise en scène fade voire même agaçante comme lorsque le camion arrive dans une nouvelle ville et que tout le monde le regarde comme si c'était le messie qui venait d'arriver comme si le monde entier tournait autour de ce camion avec en plus les gens qui tweet tout le temps etc. De plus la façon qu'il a de mettre en scène les tweets qui s'envole est déplorable, sans imagination et accentue le coté pub un peu cheap pour Twitter. Tandis que les acteurs tente de sauver les meubles comme ils peuvent mais vu qu'ils sont mal diriger ils ne font pas de miracle. Pourtant ils ont un caractère sympathique indéniable est dans une certaine limite cela fonctionne, Jon Favreau s'en sort plutôt bien tout comme John Leguizamo qui est excellent comme toujours. On passera sur le jeu parfois approximatif du jeune acteur qui incarne le fils, il est bon mais dans certains passages on vois qu'il se retient de rire alors qu'il joue une scène sérieuse. Sinon pour les guest stars qui viennent jouer un rôle plus ou moins grand on a un très bon Dustin Hoffman, Scarlett Johansson qui ne sert pas à grand chose la pauvre et elle semble même se demander parfois ce qu'elle fait là, surtout dans une scène ou elle surjoue à l’extrême, elle en devient ridicule tandis que le caméo de Robert Downey Jr est le moment de fraîcheur du film, même si son personnage est stéréotyper à l'extrême, il arrive à être brillant comme à son habitude. En conclusion Chef est un mauvais film, il y a que très peu de choses cinématographiques chez lui, il est paresseux dans son écriture et dans sa mise en scène et seuls les acteurs aussi mal dirigés soit-ils sauvent l’ensemble du naufrage. Mais bon c'est dans cette simplicité et cette paresse que Chef trouve aussi une certaine efficacité qui peut plaire, encore faut-il être friand de ce cinéma, car même si il manque de subtilité il arrive parfois à parler à la sensibilité du spectateur qui, à moitié assoupi, ce laisse gentillement bercé par l'entreprise.

Dans #chef, Jon Favreau , toujours aussi sympathique, s’est attribué le rôle principal, celui d’un chef cuisinier. Un chef cuisinier qui quitte son emploi suite à une mésentente avec sa direction et met en place un Food Truck avec un ami et ancien collègue. En parallèle, le chef doit gérer sa vie personnelle. L’histoire tourne donc autour de l’univers de la cuisine, sujet très en vogue. Beaucoup de scènes de cuisine, on y voit le chef préparer les plats. Les gros plans sur les assiettes ouvrent l’appétit. En parallèle, les scènes touchantes entre le père et le fils. Tout ceci est bon enfant et plein de bonnes attentions. Seulement çà ne suffit pas. Le scénario est mince. Et il faut bien avouer qu’on a hâte que cela se termine. Surtout que la fin est parfaitement inintéressante.

Bon certains y voient un parallèle avec les mésaventures du réalisateur avec Marvel. Mais çà ne rend pas plus intéressante la comédie

#Chef est une comédie bon enfant, sympathique. Un divertissement (n’attendez pas plus) A vous de voir !

Un pur moment de bonheur: simple et délicieux!! ;)

Un Feel-Good Movie aux petits oignons !
Avec #Chef, John Favreau a mijoté une comédie familiale aux petits oignons sur l'amitié, l'amour et la passion aux allures de "Road Trip" culinaire !
Le seul inconvénient, c'est la faim qui vient en le regardant, le film mettant l'eau à la bouche.
Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !