Mon compte
    Gaby Baby Doll
    Note moyenne
    2,1
    242 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Gaby Baby Doll ?

    26 critiques spectateurs

    5
    2 critiques
    4
    7 critiques
    3
    7 critiques
    2
    4 critiques
    1
    4 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    benoitG80
    benoitG80

    3 418 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2014
    "Gaby Baby Doll" avec ce titre très connoté auquel on ajoute inconsciemment le prénom de l'actrice Lolita Chammah, apparaissent des images en fait bien trompeuses...
    Car c'est tout le contraire qui nous attend avec cette profonde campagne de Bourgogne, humide et boueuse, qui sera le théâtre de cette comédie aux allures de fable, où l'héroïne Gaby, jeune femme immature, égoïste et naïve, un peu enfant gâtée mais espiègle, tout en étant pleine de charme et de naturel à la fois, va se trouver confrontée à sa phobie, une peur panique de la solitude alors qu'elle est dans cette grande maison sensée lui servir de thérapie...
    Après un début déroutant et même agaçant, on se laisse capter par cette histoire sans histoire, où il ne se passe rien vraiment, tout comme est la vie de ce village vide et de son café où les quelques clients oisifs ont l'air d'être toujours au même endroit en faisant partie d'un décor qui semble immuable !
    C'est ainsi que la réalisatrice Sophie Letourneur installe en fait mine de rien, son ambiance à sa façon par des petites inventions, des petits trucs comme ces procédés de répétition où Gaby écume tous les gars du café juste dans l'idée de la raccompagner et de rester près d'elle dans cette maison isolée prêtée par son médecin !
    Et la sauce prend doucement alors que les premiers sourires arrivent subrepticement aussi chez le spectateur...
    Surtout quand entre en jeu le dernier larron de la série masculine, le fameux Nico interprété par Benjamin Biolay l'ermite bourru du village, ce gardien barbu et sauvage sur qui Gaby pourra peut-être compter.
    C'est alors que la magie opère vraiment par la rencontre de ces deux individus que tout oppose, qui vont apporter et donner l'un à l'autre, sans s'en rendre compte, pour mieux guérir de leurs angoisses totalement opposées puisque l'une parle sans cesse, a un besoin compulsif de contact et d'échange, tandis que l'autre ne supporte que sa propre présence et encore !
    On rentre donc dans l'univers de ce couple improbable qui après un désaccord complet, va s'apprivoiser doucement, alors que le spectateur se balade avec eux, dans ces promenades immuables et rituelles à travers champs, matin et soir...
    Et on se sent donc tout à coup très légers et émerveillés de les voir de plus en plus partager, se compléter à travers certes des banalités, des discussions de tout et de rien mais qui révèlent une profonde guérison chez ces deux êtres !
    Sans doute un peu fou et sans prétention aucune, un peu bricolé et patraque, à l'image de Gaby et de Nico, ce film procure un grand plaisir presque à notre insu, sans que l'on sache bien pourquoi ?
    Beaucoup de fraîcheur, de candeur apparente, une touche de poésie évidente et deux comédiens très séduisants, sensibles et drôles sont pour une grande part la raison de cette réussite inattendue, bienfaitrice assurément dont la fin est de plus, presque celle d'un conte de fée !
    Du cinéma innovant, créatif nourri d'un humour subtil qui prend enfin les risques de s'aventurer hors des sentiers battus !
    Le résultat est là pour nous donner et nous combler, et c'est tant mieux...
    Daniel C.
    Daniel C.

    147 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 décembre 2014
    Je déteste les critiques qui assassinent les films, ce fut le cas sur France Inter ce samedi matin à propos du film de Sophie Letourneur. Si le titre du film évoque la chanson d'Alain Bashung, puisque Gaby souffre de ne pouvoir dormir seule la nuit, je propose d'en faire une lecture du côté de l'inconscient. Ce film nous raconte l'itinéraire d'une psychanalyse : au commencement, il y a le(s) symptôme(s) et dans le droit fil, une plainte, une demande d'aide. L'adresse est collective, tout un chacun peut se retrouver à supporter l'état de détresse de Gaby, les copines en ont assez, l'amoureux également. N'importe qui peut finalement occuper la position de l'objet contraphobique. Et puis, il y a la rencontre de celui, qui ne demande rien, n'attend rien, ne veut rien pour elle et n'entend pas profiter d'elle. Il sera là, l'accompagnera, la guidera parfois, mais sans jamais vouloir pour elle, sans céder aux approches physiques, ni aux tentatives de séduction. Les trajectoires vont être répétitives, sinueuses, boueuses, parfois au détour d'un chemin, un paysage apparaît, un rayon de soleil, l'aube, le déclin du soleil, une éclaircie, l'obscurité de la nuit, tout cela peuple l'expérience. A réitérer l'expérience, le bavardage s'estompe pour permettre l'émergence de jeux de signifiants parfois énigmatiques, des métaphores surgissent. Régulièrement, l'analysante doit "pisser", elle s'accroupit sans pudeur, puis peu à peu une certaine intimité prend consistance, Gaby ne tient plus à être vue lorsqu'elle se lâche, la miction n'est plus exhibée. Ce que l'analyste (Nicolas, incarné par Benjamin Biolay) vise avec gaby, c'est de la conduire à rencontrer la solitude, à supporter d'emprunter un itinéraire de manière toujours plus indépendante, jusqu'à pouvoir accéder à sa propre singularité et goûter à la vie. C'est à ce prix qu'une rencontre amoureuse, authentique, engagée, où l'autre est choisi pour ce qu'il est et non pour boucher un trou, pour combler le vide produit par l'angoisse. Bravo chère Sophie Letourneur pour cet hymne à l'expérience analytique, où la traversée de l'inconscient débouche, non sur une promesse de bonheur, mais à la possibilité de ne plus être soumise à la dictature du désespoir. La présence canine est fort sympathique, elle a une tonalité, qui n'est pas sans faire penser au cinéma de Jacques Tati... Courez voir ce film, "La famille Bélier" peut attendre, "Gaby, Baby Doll" ne va peut-être, hélas, pas rester aussi longuement à l'affiche.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 082 abonnés 3 968 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2016
    Seul film le Letourneur que je n'avais pas vu et apparemment son moins bon également, ça reste néanmoins tout à fait sympathique bien qu'un peu gentillet. En fait ça ne ressemble pas vraiment à son côté naturaliste de ses débuts ou bien au côté plus foutraque de ce qu'elle a pu faire ensuite. C'est un peu un mélange des deux, avec un côté plus symbolique, un truc qui se voudrait plus universel je pense, plus accessible. Et c'est là que le film est moins réussi que les autres, parce que son cinéma n'a pas besoin d'être accessible, c'est ça qui est bien, elle va à fond dans son délire (je pense aux coquillettes).

    Cependant le film a de bons restes, que ça soit un début où c'est vraiment n'importe quoi, où on a un dialogue qui ne peut que sortir de la bouche d'une femme : "j'aime laisser mon corps à l'abandon, avoir le corps en jachère". Je ne vous dis pas le niveau de ravagement intellectuel de la bonne femme. D'ailleurs tous les personnages sont assez gratinés, surtout l'héroïne. C'est pour ça que le film est plaisant à suivre même s'il reste assez convenu dans ce qu'il propose, il y a des moments où visuellement ça marche vraiment bien. Je pense à une scène où elle marche avec Biolay et elle veut voir et on la voit trente seconde avant regarder la bouteille d'eau avec une envie de plus en plus insoutenable. Si cela avait été fait autrement ça n'aurait pas été drôle.

    Mais c'est vraiment dommage que sur la fin on se tape un quiproquo lourd et inutile, que le film se répète un peu trop et finalement on perd l'inventivité que le film pouvait avoir dans d'autres scènes, notamment au début.

    Bref, c'est sympathique, mais sans plus et je suis assez déçu surtout que j'ai adoré tous ses autres films.
    traversay1
    traversay1

    3 600 abonnés 4 870 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 décembre 2014
    Quelque part en France. Un petit village loin de tout. Des vaches dans les prés et des paysans dans le bar/épicerie. Débarque une jeune femme à laquelle on a prescrit du repos mais qui ne supporte pas la solitude. Elle va rencontrer une sorte d'ermite mutique et barbu. Voilà, Gaby Baby Doll, le troisième long-métrage de Sophie Letourneur est aussi inclassable que ses deux premiers. Le film est ailleurs mais le problème est de savoir où. Ce conte de fées sous forme de comédie romantique qui n'est ni une comédie ni romantique se regarde de façon détachée car il est difficile de s'y investir vu le peu de péripéties proposées avec des dialogues grommelés assez souvent peu audibles. Lolita Chammah et Benjamin Biolay forment un couple chaste et paisible qui se nourrit de biscuits et d'eau fraiche. Une mention particulière au chien, être le plus vivant de cette histoire qui aurait pu passer pour charmante et délicate si elle ne manquait pas autant d'ardeur.
    brunetol
    brunetol

    190 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 décembre 2014
    L'étoile est pour Jeanne Lapoirie, l'une des meilleures chef op françaises depuis des années, aussi inspirée que d'habitude dans la captation des lumières naturelles (cf "Michael Kohlhaas" l'an dernier). Tout le reste est à mettre à la poubelle. Sophie Letourneur a réalisé deux long-métrages inégaux mais étonnants, "Ma vie au ranch" et "Les coquillettes", et plein de courts, dans un registre bordélique-foutraque-mal léché assez réjouissant. Il ne reste pas grand chose ici de sa verve ébouriffée, sinon une écume sale, et d'un vide accablant. "Gaby Baby Doll" c'est grosso modo l'argument inversé de "Solange et les Vivants" d'Ina Mihalache (pas encore sorti) : plaquée par son petit-ami, une fille foutraque qui ne peut pas vivre seule - c'est pathologique - est prête à ramener n'importe qui dans sa chambre pourvu qu'on lui tienne compagnie, et elle n'est pas regardante. Ça se passe à la campagne à l'automne. Son médecin lui a prêté une immense baraque avec tout le confort. Dès le début, le montage parallèle nous indique que la fille va rencontrer cet homme des bois solitaire et ronchon qui occupe, lui, une cabane misérable devant un château abandonné et se nourrit exclusivement de Pepito, de Palmito et de Figolu (Gaby préfère les produits Kellog's). Nul doute que cette rencontre "changera leur vie pour toujours" (car c'est uniquement grâce à ce genre de pitch qu'on peut gagner la subvention du Pôle Image de n'importe quelle région, ici la Bourgogne). Tout est donc scellé dès les premières minutes, sur une trame qui aurait pu alimenter un court-métrage d'un quart d'heure. Mais non. Chaque cadre sera utilisé entre 7 et 12 fois. Chaque dialogue répété autant. Chaque situation (ex : Gaby fait pipi dans la nature, sans s'essuyer - détail fondamental) itou. Affublé d'une barbe postiche de farces et attrapes, Benjamin Biolay en châtelain fin de race déprimé est transparent d'un bout à l'autre. En pouffe ahurie et sale déployant 20 mots de vocabulaire adolescent (de "trop cool" à "hyper-bien"), Lolita Chammah est, au mieux, exaspérante. Comme toujours chez Letourneur, ils sont confrontés à un groupe de "vrais gens", beaucoup plus intéressants que les deux têtes d'affiche, mais réduits aux utilités pittoresques. Il y a aussi un chien, complètement anecdotique quoique très présent. Le film ne pose aucune question, n'ouvre aucune porte, ne dégage aucune poésie, est tapissé de musak immonde (du Clayderman interprété par des coréens) : juste la virée de deux people parisiens qui se la jouent "retour à la terre" façon conte de fées scato et paresseux avec leur pote réalisatrice. Sophie Letourneur s'est complètement égarée. Espérons qu'elle retrouve son ranch rapidement.
    Léa A
    Léa A

    52 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 décembre 2014
    On peut féliciter la réalisatrice, qui réussit à traiter ce thème avec une grande justesse et beaucoup d’humour, en mettant en scène les symptômes de Gaby qui, à l’image d’une Bridget Jones, gagne la sympathie du spectateur grâce à son excentricité. Suite sur mon blog !
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    30 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 décembre 2014
    Gaby, c’est une parfaite idiote qui prétend ne pas pouvoir rester seule, surtout la nuit. Aussi, lorsque son petit ami, qui lui tenait compagnie dans la maison de vacances que le médecin de Gaby lui a prêtée afin qu’elle y fasse une cure de repos, est obligé de la laisser seule quelques jours, elle n’a de cesse de ramener avec elle, chaque soir, un homme dragué au café du village. Jusqu’à ce qu’elle tombe sur un ermite bourru, gardien du château dont le propriétaire est absent pour longtemps. Elle l’apprivoise peu à peu, et finit par lui avouer qu’elle l’aime pour de bon, et donc, n’aime plus son peti ami, qui justement est de retour.

    La fin n’est pas très inattendue : le gardien spoiler: était en fait le châtelain
    , et les deux vont désormais filer le parfait amour.

    L’histoire est parfaitement insignifiante, et Benjamin Biolay est la seule vedette : il joue le faux gardien et vrai châtelain. La réalisatrice se signale par une étrange manie : à cinq reprises (CINQ !), elle montre son héroïne, qui emploie à tout bout de champ et à contresens l’envahissant "trop" (pour "très", on a compris), en train de pisser. Message caché ?
    Ciné2909
    Ciné2909

    70 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mars 2015
    Seconde réalisation pour notre pote Sophie Letourneur et il y a encore pas mal de maladresses. Comédiens amateurs loin d’être convaincants, quelques problèmes d’éclairage et des dialogues assez pauvres caractérisent Gaby Baby Doll. A cela s’ajoute une histoire quasi-absente ; entre deux conversations le duo improbable Lolita Chammah / Benjamin Biolay vont se disputent des biscuits ou vont se promener au cœur de la campagne. Néanmoins, il faut reconnaitre que le film parvient à se distinguer par sa réalisation et ses plans répétitifs et ce personnage de Gaby qui se montre imprévisible au point qu’on attend une étincelle qui n’arrive jamais.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    140 abonnés 2 419 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 mai 2015
    Une histoire insipide servie par des personnages énervants.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 décembre 2014
    Une comédie champêtre dans laquelle Lolita CHAMMAH et Benjamin BIOLAY nous font rire joliment.
    Gaby est une jeune femme qui ne supporte pas la solitude. Son médecin l’ayant envoyé à la campagne suivre une cure de repos, elle part donc avec un groupe de copains. Mais quand ceux-ci s’en vont et que son petit ami l’abandonne après s’être rendu compte qu’elle se servait de lui, Gaby se retrouve belle et bien seule. Le jour, ça va, elle peut se contenter de la présence de sa couette et de ses « Chocapic ». Mais, quand la nuit tombe, prise de panique, elle va chercher des hommes au café du village sans d’autre but que d’assurer une présence dans cette grande maison. C’est ainsi qu’elle tombe sur Nicolas, le gardien du château voisin qui vit en ermite.

    Après 2 premiers longs-métrages sur le thème de la communauté, Sophie LETOURNEUR s’intéresse à son exact opposé, la solitude. Il est d’ailleurs intéressant de voir cette transition s’opérer à l’écran entre les premières scènes de groupe puis les départs des uns et des autres laissant l’héroïne seule. Cette Gaby avec qui Lolita CHAMMAH fait corps, adoptant son exubérance et son débit de paroles façon « mitraillette ». Ses face à face avec le mutique Benjamin BIOLAY sont savoureux et leur manière de s’apprivoiser mutuellement particulièrement touchante dans cette campagne bourguignonne que la réalisatrice filme comme une région accueillante mais rude, transformant les ballades de ses personnages en une succession de tableaux. Pour finir, Sophie LETOURNEUR nous concocte un happy end certes classique mais avec cette petite dose de charme qui fait les jolis souvenirs cinématographiques.

    Après une sélection au Festival de Locarno dès son deuxième film, « Les Coquillettes », Sophie LETOURNEUR était cette année en compétition française au Festival Cinessonne, qui avait lieu le mois dernier, avec « Gaby Baby Doll » (pour voir notre article, cliquez ici). Même si elle n’a pas remporté de prix, il est à souhaiter que sa Gaby rencontre un large public, ne serait-ce que pour ne pas la laisser seule.
    islander29
    islander29

    867 abonnés 2 359 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2015
    Un tout petit film qui ne raconte rien, que l'ennui à la campagne et la vacuité d'une femme qui ne sait pas aimer (et pourtant elle est bien entourée).....Pas de prouesse technique, pas de dialogues à vous étonner, c'est un peu comme un tricot, un ouvrage tranquille, il ne se passe que du banal....Reste le chien qui la suit partout, avec l'humour du pauvre, ce film offre sa vacuité comme un don, ceux qui apprécient cela trouveront leur compte, les autres seront dubitatifs autant sur la forme que le fond de ce film dont on se demande les intentions (même si la chanson de générique accroche un peu).....Malgré un titre aussi accrocheur, on peut attendre pour le voir à la télé......A vous de voir ou d'attendre pour le voir....
    Tabatah
    Tabatah

    4 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2015
    La rencontre entre un beau gosse introverti vivant dans une cabane et une fofolle qui adore la compagnie.
    Sur fond de campagne et de grand air.
    J'ai bien aimé... pour le charme irrésistible de Benjamin Biolay.
    mem94mem
    mem94mem

    117 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 décembre 2014
    Beaucoup de charme dans cette comédie originale, en permanence décalée. Mais également une écriture trop mécanique, dans la répétition des situations. Cela fonctionne un peu, mais on finit par trouver le scénario limité, l'histoire banale et le film rapidement oubliable. Seul le chien montre un enthousiasme intact et un entrain illimité.
    FaRem
    FaRem

    8 704 abonnés 9 561 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 avril 2015
    Mon obstination à vouloir voir tous les films qui sortent (ou presque) m'inflige des épreuves dont je me serais bien passé. Ce film est aussi palpitant qu'une musique de Benjamin Biolay... Aussitôt vu, aussitôt oublié à tel point que j'ai l'impression de ne pas l'avoir regardé tant tout ce qui s'y trouve était insignifiant. L'histoire est sans intérêt et absurde, les dialogues sont pauvres et en plus, les acteurs ont l'air d'amateurs tellement, ils sont peu convaincants. Bref, j'ai trouvé ça inintéressant de bout en bout, c'était un calvaire long et terriblement ennuyeux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 décembre 2014
    Un film chaleureux...qui donne la pêche...les acteurs sont excellents mention particulière à Lolita chammah...
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top