Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
La beauté de "Gaby Baby Doll" est précisément de donner à la nonchalance un peu abrutie des personnages la clé de l’enchantement.
Le Monde
par Noémie Luciani
Tous les codes se renversent, ceux de la cinéaste et ceux des genres, autour de cette princesse (Gaby) souillon urticante et charmante, dont Lolita Chammah donne une inoubliable interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
L’aspect habituellement revêche, “à prendre ou à laisser”, des films de Sophie Letourneur demeure, mais compose ici avec une nouvelle quiétude, qui laisse entrevoir un avenir radieux pour la plus asiatique des jeunes cinéastes françaises.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Louis Guichard
Comme son héroïne, le film a tout pour énerver, d'abord, mais sa désinvolture un peu crâneuse révèle peu à peu une construction savante, narrative et visuelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un conte de fées drôle et moderne (...).
Critikat.com
par Théo Ribeton
La formule (une école buissonnière au goût de tabac froid), en effet, risque fort de tourner en rond, c’est pourquoi on sait gré à la cinéaste d’avoir [...] fait disparaître la bande, pour livrer sa célibattante à elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Guillaume Bryon
Letourneur semble nous indiquer qu’elle ne compte pas se laisser enfermer dans la comédie de microcosme (...) il y aurait un dosage à trouver, peut-être des références qui sont encore à digérer?
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Modeste et intimiste, "Gaby Baby Doll" demeure un réjouissant moment de cinéma à goûter avec plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un petit film qui joue sur des moments fragiles de cocasserie et d’émotion, mais qui tourne vite en rond.
Les Fiches du Cinéma
par Iris Brey
Sophie Letourneur filme Lolita Chammah et Benjamin Biolay mangeant des pâtes dans une cabane et arpentant la campagne environnante, en filant la veine du conte : charmant par endroits, mais guère passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Clément Ghys
Avec "Gaby Baby Doll", Sophie Letourneur fait lentement défiler les pages d’un livre d’images, plaisant mais auquel manquent beaucoup d’aspérités, voire de perversion.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
En roue libre, la réalisatrice utilise l'image de balades récurrentes comme des rituels, mais ces "chemins" ont beau faire figure de métaphore, ils finissent par lasser.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
"La Belle et la Bête", revu et corrigé par une réalisatrice bobo crado adepte de l'humour autosatisfait.
Le Journal du Dimanche
par Danièle Attali
Un film à la dramaturgie anémique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Il commence à se passer quelque chose dans ce film quatre minutes avant la fin. Il n'y a pas que le château qui est abandonné. Le spectateur aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Yann Tobin
Le film paraît long, très long, alors qu'il ne l'est pas tant que ça, jouant sur une répétivité affichée dont il est finalement victime.
Cahiers du Cinéma
La beauté de "Gaby Baby Doll" est précisément de donner à la nonchalance un peu abrutie des personnages la clé de l’enchantement.
Le Monde
Tous les codes se renversent, ceux de la cinéaste et ceux des genres, autour de cette princesse (Gaby) souillon urticante et charmante, dont Lolita Chammah donne une inoubliable interprétation.
Les Inrockuptibles
L’aspect habituellement revêche, “à prendre ou à laisser”, des films de Sophie Letourneur demeure, mais compose ici avec une nouvelle quiétude, qui laisse entrevoir un avenir radieux pour la plus asiatique des jeunes cinéastes françaises.
Télérama
Comme son héroïne, le film a tout pour énerver, d'abord, mais sa désinvolture un peu crâneuse révèle peu à peu une construction savante, narrative et visuelle.
Voici
Un conte de fées drôle et moderne (...).
Critikat.com
La formule (une école buissonnière au goût de tabac froid), en effet, risque fort de tourner en rond, c’est pourquoi on sait gré à la cinéaste d’avoir [...] fait disparaître la bande, pour livrer sa célibattante à elle-même.
Culturopoing.com
Letourneur semble nous indiquer qu’elle ne compte pas se laisser enfermer dans la comédie de microcosme (...) il y aurait un dosage à trouver, peut-être des références qui sont encore à digérer?
Franceinfo Culture
Modeste et intimiste, "Gaby Baby Doll" demeure un réjouissant moment de cinéma à goûter avec plaisir.
Le Dauphiné Libéré
Un petit film qui joue sur des moments fragiles de cocasserie et d’émotion, mais qui tourne vite en rond.
Les Fiches du Cinéma
Sophie Letourneur filme Lolita Chammah et Benjamin Biolay mangeant des pâtes dans une cabane et arpentant la campagne environnante, en filant la veine du conte : charmant par endroits, mais guère passionnant.
Libération
Avec "Gaby Baby Doll", Sophie Letourneur fait lentement défiler les pages d’un livre d’images, plaisant mais auquel manquent beaucoup d’aspérités, voire de perversion.
Première
En roue libre, la réalisatrice utilise l'image de balades récurrentes comme des rituels, mais ces "chemins" ont beau faire figure de métaphore, ils finissent par lasser.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La Voix du Nord
"La Belle et la Bête", revu et corrigé par une réalisatrice bobo crado adepte de l'humour autosatisfait.
Le Journal du Dimanche
Un film à la dramaturgie anémique.
Le Parisien
Il commence à se passer quelque chose dans ce film quatre minutes avant la fin. Il n'y a pas que le château qui est abandonné. Le spectateur aussi.
Positif
Le film paraît long, très long, alors qu'il ne l'est pas tant que ça, jouant sur une répétivité affichée dont il est finalement victime.