AlloCiné
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Votre avis sur Big Game ?
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Catastrophe !!! Un scénario nul, un frigo avec des impacts non visibles ....un gosse qui saute de 8 metres sur un frigo dans tomber , un président suis raconte sa vie avec ses tâches de pipi 🤣🤣 enfin mauvais , mauvais...triste car de bons acteurs à la base !!!😱
Un navet
Pourtant l’intro était prometteuse les premières minutes pas mal et j’aimais l’idée que ça se passe en Islande
Mais c’est tellement caricaturé les méchants les finlandais (a croire qu’ils vivent dans l’ancien temps ) le personnage du président est nul
Totalement irréaliste.
Pourtant l’intro était prometteuse les premières minutes pas mal et j’aimais l’idée que ça se passe en Islande
Mais c’est tellement caricaturé les méchants les finlandais (a croire qu’ils vivent dans l’ancien temps ) le personnage du président est nul
Totalement irréaliste.
Pas un grand film, mais pourquoi vouloir toujours l exceptionnel. J ai passé un bon moment et c est le principal
Frédéric M.
Petit film d'action qui se laisse voir par la qualité du jeu des acteurs (surtout parce que le role principal est un enfant !) ... et un Samuel L.Jackson un peu limite crédible un président un peu froussard et peu sur de lui (il est quand meme Nick Fury dans d'autres films : soit l'antithèse de ce personnage).
Prenez Die Hard (Piège de Cristal en VF), mélangez-le aux films pour toute la famille façon Willow, rajouter du finlandais avec le casting du film d'horreur cheap sur le père Noël, et vous obtenez ce nanar invraisemblable qu'est "Big Game".
Mention aux distributeurs français, qui n'ont même pas été capable de traduire le titre pour le rendre intelligible par le public francophone.
"Big Game" signifie la chasse aux gros prédateurs (par opposition à la chasse aux oiseaux, raton-laveurs et autres galinettes cendrées).
Ici, l'avion du Président des États-Unis se crashe au milieu des montagnes finlandaises, et Samuel L. Jackson fait équipe avec un gamin qui va l'aider à quitter la forêt en vie.
On se tape la métaphore peu subtile sur l'amitié entre un adulte sûr de lui, qui est plongé dans un univers qu'il ne maîtrise pas (typique des comédies familiales des années 80) et de l'autre un jeune garçon qui doit faire ses preuves pour devenir un homme.
Rajouter les méchants terroristes arabes, la trahison de citoyens américains sans cœur et sans scrupules, et une course-poursuite à travers la nature.
On tombe vite dans le nanar, avec toutes scènes d'actions irréalistes à l'extrême, explosions de vilains en mille morceaux alors qu'ils étaient déjà blessés mortellement, le méchant qui tue ses propres hommes de mains pour imposer son autorité, les plans diaboliques qui tombent à l'eau avec un grain de sable.
Samuel L. Jackson enchaîne les films nanarisant comme des perles à un collier, devenant littéralement une tête de gondole pour ce sous-genre.
Quitte à voir une série B honorable et drôle pour le coup avec ce bon vieux Mr. Cool, rematez le cultissime Au Revoir à Jamais (1996).
Mention aux distributeurs français, qui n'ont même pas été capable de traduire le titre pour le rendre intelligible par le public francophone.
"Big Game" signifie la chasse aux gros prédateurs (par opposition à la chasse aux oiseaux, raton-laveurs et autres galinettes cendrées).
Ici, l'avion du Président des États-Unis se crashe au milieu des montagnes finlandaises, et Samuel L. Jackson fait équipe avec un gamin qui va l'aider à quitter la forêt en vie.
On se tape la métaphore peu subtile sur l'amitié entre un adulte sûr de lui, qui est plongé dans un univers qu'il ne maîtrise pas (typique des comédies familiales des années 80) et de l'autre un jeune garçon qui doit faire ses preuves pour devenir un homme.
Rajouter les méchants terroristes arabes, la trahison de citoyens américains sans cœur et sans scrupules, et une course-poursuite à travers la nature.
On tombe vite dans le nanar, avec toutes scènes d'actions irréalistes à l'extrême, explosions de vilains en mille morceaux alors qu'ils étaient déjà blessés mortellement, le méchant qui tue ses propres hommes de mains pour imposer son autorité, les plans diaboliques qui tombent à l'eau avec un grain de sable.
Samuel L. Jackson enchaîne les films nanarisant comme des perles à un collier, devenant littéralement une tête de gondole pour ce sous-genre.
Quitte à voir une série B honorable et drôle pour le coup avec ce bon vieux Mr. Cool, rematez le cultissime Au Revoir à Jamais (1996).
Ti Nou
Pris au quinzième degré, cette rencontre entre le président américain et un adolescent perdus au milieu de la forêt finlandaise et ce jeu de survie grotesque peuvent être amusants. Sinon, c’est juste improbable et caricatural.
Bienvenue en Laponie! il vaut mieux laisser son cerveau de côtè si on souhaite se divertir pleinement et en toute libertè devant ce suspense rigolo qui monte en puissance en assumant qu'il est parfaitement invraisemblable de la première à la dernière minute! Dans ce film d'action hautement imprèvisible (la capsule de sauvetage, le congèlateur...), Samuel L. Jackson joue sa vie et sort, si on peut dire, le « big game » face à un enfant parti affronter la nature pour perpètuer la tradition! Jackson en prèsident des Etas-Unis ? Le public sait dèjà qu'il n'a pas la gueule de l'emploi! Mais on s'en fiche car on imagine mal notre Macron national griller une saucisse de Strasbourg devant un feu de bois ou dèzinguer du terroriste avec une mitraillette! Ah, le Nord de la Finlande, un vrai paradis pour les chasseurs en tout genre! En tout et pour tout, il doit y avoir 80 minutes d'improbabilitè pure, mais ça suffit pour se distraire le ciboulot après une dure journèe de labeur! C'est bien filmè, efficace et souvent spectaculaire! Merci C8 pour les coupures publicitaires...
Caine78
Il n'a pas eu les honneurs d'une sortie en salles, ce « Big Game », et franchement, je le regrette presque. Alors, évidemment, si vous êtes uniquement adeptes de subtilité et de scénarii habilement construits, passez sans aucun regret votre chemin. En revanche, si vous êtes nostalgiques des 90's et de ses films d'action, cette pure série B s'assumant à 2000% devrait grandement vous divertir. Que rajouter : ça n'est pas du tout crédible mais on marche quand même sans difficulté, il y a pas mal d'humour (heureusement!) fonctionnant souvent avec efficacité, le décor est plutôt bien exploité, à la fois dans sa logique de « survival » et de poursuite. Ça ne paie pas de mines, mais cette histoire de Président des États-Unis (oui, oui!) traqué par des « terroristes » (enfin, plus ou moins) a quand même une certaine gueule, exploitant avec malice son budget moyen, tout en prenant un minimum soin de ses seconds rôles (parmi lesquels Ray Stevenson, Ted Levine, Victor Garber et Jim Broadbent, quand même!), Samuel L. Jackson, faisant le job en « Action Obama » : sans surprise, mais efficace et cool : Samuel L. Jackson, quoi. On a même droit à un (léger) rebondissement final assez discutable mais évitant de terminer sur une note trop « les ricains, on est vraiment les meilleurs », ce qui est toujours bon à prendre. Bref, vraiment rien de marquant, mais un divertissement sans prise de tête, cohérent dans ce qu'il propose et respectueux de son public : c'est déjà pas mal.
7eme critique
Ah, une bonne vieille balade en congélateur dans les montagnes, il n'y a que ça de vrai...
Ce qui paraît inconcevable au cinéma ne l'est finalement plus !
Rien ne tient debout dans ce "Big game" affligeant de conneries. Il faut le voir pour le croire. "Big game" en serait limite fascinant tellement il est lamentable. Plus ridicule que ça, tu meurs ! (sauf pour Samuel L. Jackson qui ne manquera pas de réitérer dans d'autres films du même acabit type "Cell Phone"). Une daube intergalactique qui a le malheur de se prendre au sérieux ; et lorsqu'on apprend que c'est le film finlandais le plus coûteux de l’histoire, il y a de quoi halluciner.
Ce qui paraît inconcevable au cinéma ne l'est finalement plus !
Rien ne tient debout dans ce "Big game" affligeant de conneries. Il faut le voir pour le croire. "Big game" en serait limite fascinant tellement il est lamentable. Plus ridicule que ça, tu meurs ! (sauf pour Samuel L. Jackson qui ne manquera pas de réitérer dans d'autres films du même acabit type "Cell Phone"). Une daube intergalactique qui a le malheur de se prendre au sérieux ; et lorsqu'on apprend que c'est le film finlandais le plus coûteux de l’histoire, il y a de quoi halluciner.
Après Kite de 2014, c'est la 2ème fois que je vois SLJ dans un nanar.Un peu du n'importe quoi.L'avion est abattu en plein vol et quelques secondes après s'écrase au sol presque intact.On dirait même qu'il va décoller.Ça manque aussi de sérieux comme pendant le debriefing au pentagone, un responsable mange un sandwich.Mais ce n'est pas le pire.Découvrez-le vous même car c'est marrant tellement c'est mauvais.
HamsterPsycho
Un film à très très vte oublier pour Samuel Lee Jackson qui devait vraiment avoir besoin de sesterces pour accepter ce rôle. Le scénario est complètement tiré par les cheveux et invraisemblable entre la chasse intitatitique du gamin, la chasse à l'homme de l'émir du moyen-orient, les décors mélangeant sans vergogne décors naturels et décors factices grossiers, les personnages ridicules comme ce vieux professeur has been en chandail qui est plus intelligent que tous les agences réunies, les dialogues risibles...
spoiler:
Le gamin a peur d'une capsule marquée USA en gros et s'enfuit comme un chat apeuré mais déclame des provocations guerrières en finnois avant de sauter dans le vide pour s'accrocher une corde à 10m de la falaise
.
.
Abattu en plein vol par de vilains-pas-beaux terroristes, Air Force One s’écrase dans les montagnes forestières du nord de la Finlande. Pourchassé au sol, le président des USA devra survie et assistance à un indigène de 13 ans, sur place pour passer une épreuve initiatique de chasse destinée à faire de lui un homme. Evoluant crescendo vers le rocambolesque, la voltige, la bonne humeur et la légèreté, le principal intérêt de ce gros nanar enfantin, dont la légèreté fait du bien de temps en temps, réside dans la subordination totale de l’homme le plus puissant du monde, et à travers lui des puissantes agences américaines et des équilibres du monde, à un enfant de la nature.
Quand on a Samuel Jackson en président américain qui dégringole une pente enfermé dans un frigo avec lequel il finit par surfer dans les torrents montagneux sous les sifflements furieux des mitraillettes, très vite on ne peut penser qu’à un gros cartoon aux excès fantasques, aux acrobaties improbables et aux joyeuses explosions, dont l’ambition touche au but si elle ne dépasse pas le jovial divertissement familial.
Quand on a Samuel Jackson en président américain qui dégringole une pente enfermé dans un frigo avec lequel il finit par surfer dans les torrents montagneux sous les sifflements furieux des mitraillettes, très vite on ne peut penser qu’à un gros cartoon aux excès fantasques, aux acrobaties improbables et aux joyeuses explosions, dont l’ambition touche au but si elle ne dépasse pas le jovial divertissement familial.
Un très bon film avec de l'action et de l'aventure dans une idée plutôt classique pour un film mais les personnages qui se retrouve dans le film fait de l'originalité.
L'histoire a des rebondissements et des surprises ici et là en restant claire et cohérent mais pas systématiquement logique .
La fin est très inattendu mais très bien et très efficace .
Un scénario simple .
Samuel L Jackson en président est fabuleux .
L'histoire a des rebondissements et des surprises ici et là en restant claire et cohérent mais pas systématiquement logique .
La fin est très inattendu mais très bien et très efficace .
Un scénario simple .
Samuel L Jackson en président est fabuleux .
C'est donc cela le film le plus cher de l'histoire pour nos amis finnois ? Et bien en dehors des effets spéciaux réussis c'est franchement nul, absurde et très mal joué y compris par les acteurs hollywoodiens, Samuel L Jackson en tête ! Les enfants aimeront le film car ils pourront s'identifier au gamin mais que c' est long alors que le film ne dure qu'1h15... Heureusement, les paysages finlandais sont juste époustouflants... Ah non il s'agit en faite des Alpes !!! Pour un film qui se veut la vitrine du cinéma finlandais, il est fortement dommage de ne pas donner une image de carte postale à son film en allant filmer à l'étranger, decidement ce film à vraiment tout faux !
RedArrow
Du fin de fond sa Finlande natale, Jalmari Helander semble avoir été un de ces nombreux garnements nourris exclusivement de péloches du meilleur du cinéma américain 80's-90's. Et c'est tant mieux ! Car, après "Père Noël Origines", cet excellent conte horrifique sous forte influence des productions Amblin de la grande époque, le revoilà à nouveau en train de titiller notre fibre nostalgique de cinéphile avec "Big Game", un deuxième long-métrage qui semble s'inscrire directement dans l'esprit fun des films d'action du début des années 90.
Et, comme tout bon film du genre de cette décennie qui se respecte, "Big Game" démarre sur un pitch complètement improbable où, après une attaque terroriste, le Président des Etats-Unis se crashe en plein milieu de la forêt finlandaise. Poursuivi par ses assaillants, il trouve un allié miraculeux en la personne d'un tout jeune chasseur local en plein rite de passage à l'âge adulte...
À la naïveté (sans que cela implique quoi que ce soit de péjoratif) typique de ces films de l'époque qui n'oubliaient pas de faire de l'émotion un élément indispensable à leur récit prétexte à un déluge de scènes d'actions (et dont la formule semble s'être égarée au fil des années), s'ajoute un contexte finlandais parfaitement exploité aussi bien dans son cadre atypiquement sublime, que dans son côté traditionnel désuet ou encore dans cet humour nordique ravageur (l'anecdote de la tâche d'urine présidentielle restera dans les esprits !).
Néanmoins, si "Big Game" réussit totalement à nous attacher à son duo aussi invraisemblable que complémentaire (parfait petit Onni Tommila déjà présent dans "Père Noël Origines" qui prend les choses en main face à la veulerie d'un Président US peu habitué à échapper à des tentatives répétées de kidnapping), le film pêche par une intrigue qui n'apportera pas suffisamment son lot de surprises, surtout du côté des antagonistes où les trahisons semblent être l'unique porte de sortie en matière de rebondissements.
Dans un sens, peu importe, certaines péripéties visuellement impressionnantes (celle de l'hélicoptère renvoie d'ailleurs irrémédiablement au final du premier film de Jalmari Helander) et un casting impeccable (des têtes connues dans quasiment tous les seconds rôles et un Samuel L. Jackson qui ne cabotine qu'à 50%, fait assez rare pour être souligner) rattrapent amplement cette faiblesse pour laisser devenir "Big Game" ce qu'il veut être, un divertissement anachronique et dénué de tout cynisme.
Même si on aurait aimé y déceler un petit plus pour qu'il s'inscrive durablement dans la mémoire collective, ce "Great" Game à défaut d'être vraiment "Big" fait franchement plaisir à voir !
Et il n'est pas à douter qu'on a déjà réservé notre place pour un troisième film de ce réalisateur qui ne se fait que trop attendre...
Et, comme tout bon film du genre de cette décennie qui se respecte, "Big Game" démarre sur un pitch complètement improbable où, après une attaque terroriste, le Président des Etats-Unis se crashe en plein milieu de la forêt finlandaise. Poursuivi par ses assaillants, il trouve un allié miraculeux en la personne d'un tout jeune chasseur local en plein rite de passage à l'âge adulte...
À la naïveté (sans que cela implique quoi que ce soit de péjoratif) typique de ces films de l'époque qui n'oubliaient pas de faire de l'émotion un élément indispensable à leur récit prétexte à un déluge de scènes d'actions (et dont la formule semble s'être égarée au fil des années), s'ajoute un contexte finlandais parfaitement exploité aussi bien dans son cadre atypiquement sublime, que dans son côté traditionnel désuet ou encore dans cet humour nordique ravageur (l'anecdote de la tâche d'urine présidentielle restera dans les esprits !).
Néanmoins, si "Big Game" réussit totalement à nous attacher à son duo aussi invraisemblable que complémentaire (parfait petit Onni Tommila déjà présent dans "Père Noël Origines" qui prend les choses en main face à la veulerie d'un Président US peu habitué à échapper à des tentatives répétées de kidnapping), le film pêche par une intrigue qui n'apportera pas suffisamment son lot de surprises, surtout du côté des antagonistes où les trahisons semblent être l'unique porte de sortie en matière de rebondissements.
Dans un sens, peu importe, certaines péripéties visuellement impressionnantes (celle de l'hélicoptère renvoie d'ailleurs irrémédiablement au final du premier film de Jalmari Helander) et un casting impeccable (des têtes connues dans quasiment tous les seconds rôles et un Samuel L. Jackson qui ne cabotine qu'à 50%, fait assez rare pour être souligner) rattrapent amplement cette faiblesse pour laisser devenir "Big Game" ce qu'il veut être, un divertissement anachronique et dénué de tout cynisme.
Même si on aurait aimé y déceler un petit plus pour qu'il s'inscrive durablement dans la mémoire collective, ce "Great" Game à défaut d'être vraiment "Big" fait franchement plaisir à voir !
Et il n'est pas à douter qu'on a déjà réservé notre place pour un troisième film de ce réalisateur qui ne se fait que trop attendre...
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