en passant par le symbole avec mes (gros) sabots
Jeff Nichols aime la symbolique, ce qui fait sens et l’intelligence… Ah tous ces créateurs amoureux de l’intelligence; relisez Prévert.
Çà commence par de l’ambiance -JN se fait plaisir avec le moteur de la Chevrolet- c’est la nuit -ça aide- et nous comprenons une fuite.
Une entrée en matière séduisante et puis plus rien ou presque! Un rien de ridicule.
Créer de l’ambiance, de l’atmosphère, ne suffit pas à faire un film. Jeff Nichols me confirme que je n’aime pas ce qu’il fait. J’avais trouvé « Take Shelter » épouvantable, malgré la radiante présence de Jessica Chastaing, et pas compris l’engouement critique. Peut-on
comprendre un critique ? Ce sera peut-être l’objet d’une prochaine chronique…
Ici, cela devient lourdaud rapidement. On comprend une vague secte qui a vu en l’enfant Alton, un messie, enfui avec son père (M.Shannon) et un camarade.
Ils vont retrouver la mère (Kirsten Dunst) car l’enfant à rendez-vous quelque part pour…
Un melting-pot immaitrisé de références: un soupçon de « Rencontres du 3e type », du « Shining », un rien de « ET » ou ‘Jason » au choix. Délayer le tout dans une sauce religieuse: messie, croyance, visions ; et la natte de cheveux de Kirsten est le cordon ombilical qu’elle coupera!!!
Il y a, comme Jeff Nichols, des cinéastes qui sont sans doute persuadés; ils font un film, une oeuvre voire de l’art. Et beaucoup gagneraient à revenir à une simplicité, et dans la démarche, et dans l’égo.en passant par le symbole avec mes (gros) sabots
Réalisation Jeff Nichols 2016
Jeff Nichols aime la symbolique, ce qui fait sens et l’intelligence… Ah tous ces créateurs amoureux de l’intelligence; relisez Prévert.
Çà commence par de l’ambiance -JN se fait plaisir avec le moteur de la Chevrolet- c’est la nuit -ça aide- et nous comprenons une fuite.
Une entrée en matière séduisante et puis plus rien ou presque! Un rien de ridicule.
Créer de l’ambiance, de l’atmosphère, ne suffit pas à faire un film. Jeff Nichols me confirme que je n’aime pas ce qu’il fait. J’avais trouvé « Take Shelter » épouvantable, malgré la radiante présence de Jessica Chastaing, et pas compris l’engouement critique. Peut-on
comprendre un critique ? Ce sera peut-être l’objet d’une prochaine chronique…
Ici, cela devient lourdaud rapidement. On comprend une vague secte qui a vu en l’enfant Alton, un messie, enfui avec son père (M.Shannon) et un camarade.
Ils vont retrouver la mère (Kirsten Dunst) car l’enfant à rendez-vous quelque part pour…
Un melting-pot immaitrisé de références: un soupçon de « Rencontres du 3e type », du « Shining », un rien de « ET » ou ‘Jason » au choix. Délayer le tout dans une sauce religieuse: messie, croyance, visions ; et la natte de cheveux de Kirsten est le cordon ombilical qu’elle coupera!!!
Il y a, comme Jeff Nichols, des cinéastes qui sont sans doute persuadés; ils font un film, une oeuvre voire de l’art. Et beaucoup gagneraient à revenir à une simplicité, et dans la démarche, et dans l’égo.