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Ça commence bien, puis sa se calme vers le milieu. Mais on va jusqu'au bout avec plaisir. Si on aime bien sur ce genre d'humour et de personnage.
velocio
On parle souvent de l'humour belge mais il y a en fait plusieurs sortes d'humour belge. bien que les deux frères réalisateurs soient français, "Je suis mort mais j'ai des amis" est un film belge et, question humour, il est à mi-chemin entre les deux extrêmes que peut revêtir l'humour belge : l'humour gras et vulgaire de "La Merditude des choses" et l'humour plein de finesse de "Le tout nouveau testament". Dans "Je suis mort ...", on est confronté à la réaction d'un groupe de vieux rockers à la mort brutale de leur chanteur Jipé, quelques jours avant leur départ pour une tournée californienne. Un décès qui leur permet d'apprendre ce que jipé leur cachait depuis 5 ans : sa relation de couple avec un militaire moustachu. Même si le rythme faiblit un peu sur la fin, même si ce n'est pas toujours d'une grande finesse (mais ça l'est aussi, souvent !), on rit beaucoup et ce, sans avoir honte.
Ciné2909
Rock’n’roll mon pote ! Les frères Guillaume & Stéphane Malandrin se sont de nouveau associés pour ce film assez imprévisible qui va nous emmener jusqu'à Los Angeles … enfin il y aura peut-être un léger détour ! On tombe immédiatement sous le charme de cette bande de potes menée par Bouli Lanners que l'on connaît bien mais aussi par un excellent Wim Willaert. Entre le vol pas très discret d’une urne, l'apparition du 5ème Beatles ou encore la dégustation d’un chili douteux ; on a vraiment pas l’occasion de s’ennuyer. Je suis mort mais j’ai des amis c’est donc une comédie barrée comme on les aime et qui mérite le coup d’œil.
La meilleure comédie de l’été 2015, bien plus réussie que toutes les sorties du même genre qui ne faisaient dessiner sur notre visage même pas l’ombre d’un sourire. Une inaltérable énergie se dégage d’abord des premiers plans : un concert de rock dans une petite salle, grandiose moment de jouissance pour tous les adeptes. Bière, notes et noms s’emmêlent dans ce qu’on pourrait appeler une tornade dévastatrice de bonne humeur. Car oui, « Je suis mort mais j’ai des amis » possède ce don de mettre immédiatement à l’aise. Une affaire de quelques jours dans une bande de bons vieux potes, qui voyageront et apprendront bien plus qu’ils n’auraient imaginé sur un ami de sang et de cordes. Et, pour nous accompagner tout au long, un humour belge drôle, futé, et surtout jamais lourd. Qu’y a-t’il de plus orgasmique que des situations qui s’empilent, parfaitement bien montées, représentantes de moments chargés de rires et parfois même de son brin d’émotion dosé avec talent? La question se pose, sans pitié aucune, à la fin de la projection. Difficile de ne pas rire aux multiples péripéties de ces interprètes réellement charismatiques, qui usent du burlesque pour nous accrocher au wagon, nous spectateurs, tels des bagages pris au vol. On a parfois l’impression de se retrouver face à la géniale débilité d’un « Dumb and Dumber » mélangée à la personnalité touchante d’un Robin Williams dans n’importe laquelle de ses comédies. On attendait cela depuis trop longtemps pour rester muets à la projection : alors oui, le rire fuse plus que son sous-fifre. On a assez de temps pour se réjouir des situations, des environnements et des personnalités de chacun, on est présent, là, avec eux, chose qui se passe rarement, aujourd’hui, dans le domaine comique internationale et mondialiste. Les frères Malandrin sont immensément doués dans leur spécialité. Une oeuvre sous forme de road-movie inspiré et hilarant, qui fait et procure du bien, avec des caractères hautement iconiques (coup de coeur au casting dans son entier, mais surtout à Bouli Lanners, qui sait faire avec talent découler un dynamisme constant dans son interprétation) dont on tient à coeur dès les premières minutes. Puissant, briscard, bidonnant, et surtout carrément bien fichu, « Je suis mort mais j’ai des amis » mérite bien plus que trente-mille entrées en France. Ne remercions donc pas la distribution, qui elle a été loin d’être sensationnelle. Tout le contraire du film, en fait.
Vu !:)
En allant voir ce film, je me disais bien que j'allais passer un bon moment. L'impression a été on ne peut mieux vérifiée ! On ne s'ennuie pas une seconde, pris dans la folle envolée de ces rockeurs vrais de vrais !! L'humour belge fait encore mouche avec des séquences qui ont toutes leurs chances de devenir cultes. On aime aussi les moments où l'émotion est là, où l'on comprend les liens tissés entre les membres d'un groupe, comme il en existe des milliers. Même si l'histoire n'a rien à voir, il y aurait presque du Big Lebowsky dans ce film et du « Verry bad Trip » à la belge. Avec ses personnages parfois un peu déconnectés de la réalité (mais quel pied !). Bref, le film est une très bonne surprise. Pour une fois que l’on nous sert pas de la soupe!t:) et d’ailleurs je ne vois pas pourquoi le tarif de l’entrée salle est minorée ! c’est honteux!.
Dick
En allant voir ce film, je me disais bien que j'allais passer un bon moment. L'impression a été on ne peut mieux vérifiée ! On ne s'ennuie pas une seconde, pris dans la folle envolée de ces rockeurs vrais de vrais !! L'humour belge fait encore mouche avec des séquences qui ont toutes leurs chances de devenir cultes. On aime aussi les moments où l'émotion est là, où l'on comprend les liens tissés entre les membres d'un groupe, comme il en existe des milliers. Même si l'histoire n'a rien à voir, il y aurait presque du Big Lebowsky dans ce film et du « Verry bad Trip » à la belge. Avec ses personnages parfois un peu déconnectés de la réalité (mais quel pied !). Bref, le film est une très bonne surprise. Pour une fois que l’on nous sert pas de la soupe!t:) et d’ailleurs je ne vois pas pourquoi le tarif de l’entrée salle est minorée ! c’est honteux!.
Dick
Bonne prestation de Bouli Lanners, comme dab. Par contre, même si le personnage est très expressif, j'avoue ne pas avoir compris grand chose au langage de Wim Willaert, ce qui gâche la compréhension du film, peut être drôle à certains moments si j'avais tout saisi.
Après quelques semaines loin des cinémas, j'ai choisi ce road movie belge pour mon retour dans les salles obscures. J'ai bien fait. C'est une comédie rock très sympathique, avec des acteurs inspirés (dont les excellents Bouli Lanners, Serge Riaboukine ou Wim Willaert). L'esprit du cinéma indépendant (sans le côté poseur et prétentieux) avec l'humour d'un Margerin version belge. J'ai ri de bon coeur à certaines séquences, alors que je suis de plus en plus difficile au niveau des comédies. Il y a aussi un brin de poésie et une folie douce réjouissante. Frais, rock'n'roll et dépaysant.
J’aime la Belgique. Pas seulement parce qu’elle est frontalière avec la Lorraine, pas seulement pour ses bières, pas seulement pour ses groupes pop/rock, mais aussi pour son cinéma toujours agréablement décalé. Dans l’univers du cinéma belge, il y a Bouli Lanners ; acteur, mais également réalisateur, pote avec l’équipe de Groland, et prêt à jouer des histoires improbables, qui flirtent bien souvent avec la vraie vie et la nostalgie de l’enfance. Dans « #Je suis mort, mais j’ai des amis », des frères Malandrin, il incarne le bassiste d’un groupe de rock style « Wampas », qui jouent avec des potes depuis des années. Au moment où ils doivent partir en tournée aux USA, le chanteur fait une crise cardiaque. Et à partir de là, commence un road-movie inénarrable qui va conduire les autres membres du groupe jusqu’au nord du Canada. Avec dans un sachet les cendres de leur copain, volées à sa famille, pour lui rendre un dernier adieu en concert… Pas possible de raconter ici leurs aventures, mais c’est drôle, très drôle, parfois émouvant, forcément décalé. Tout est juste et le casting est au top. Bouli Lanners donc, mais aussi Wim Willaert (lunaire et émouvant), Serge Riaboukine, et Lyes Salem, peu connu, mais excellent. Une bande de pied-nickelés au doux parfum d’anarchie, et un film qui ne se prend pas au sérieux, et ça aussi ça fait du bien… Ne le ratez pas ! Un pur moment de rock&roll !
Un film à voir absolument, quand l'atmosphère est chargée, tellement il est rafraîchissant.
tixou0
Guillaume et Stéphane Malandrin : l'autre duo fraternel (en cours de reconnaissance) du cinéma belge ? En fait, non, car ils sont français ! Mais finalement très "Belgium friendly", les frérots, car ils ont réalisé leurs 3 longs métrages outre-Quiévrain. "Je suis mort, mais j'ai des amis", le dernier en date, est une histoire totalement improbable. Avec des rockers vieillissants, le chanteur du groupe ("Jipé") qui meurt stupidement,
spoiler:
un enterrement (en fait une crémation) en forme de règlement de comptes pour le frère du défunt, une expédition chez ce dernier pour récupérer les cendres, la découverte d'une liaison homosexuelle de Jipé avec un pilote de chasse (donc membre de la "composante air" de l'armée belge) d'origine maghrébine...
et cela ne fait que commencer ! Le cocasse et l'absurde traversent l'Atlantique - partis pour LA, les potes de Jipé spoiler: se retrouvent au Québec, avec "Danny", l'amant de Jipé, en compagnon de voyage indésirable - encore que...
C'est fort "belge", tout cela - entre humour (unique) et tendresse spoiler: (même dépaysé au pays des ours et des caribous).
spoiler:
La distribution est irrésistible, menée par l'excellent "Bouli" Lanners.
et cela ne fait que commencer ! Le cocasse et l'absurde traversent l'Atlantique - partis pour LA, les potes de Jipé spoiler: se retrouvent au Québec, avec "Danny", l'amant de Jipé, en compagnon de voyage indésirable - encore que...
C'est fort "belge", tout cela - entre humour (unique) et tendresse spoiler: (même dépaysé au pays des ours et des caribous).
spoiler:
La distribution est irrésistible, menée par l'excellent "Bouli" Lanners.
Yes, du vrai cinoche avec de l'aventure, du rire et de la tendresse ! Les ricains peuvent se rhabiller..
Quelques fous-rires avec ce film, créant un comique de situation si naturel que par moments on se croirait à la place des personnages en train de délirer avec sa propre bande de potes.
La mort est traitée avec désinvolture, l'accent étant plus porté sur le sort des vivants qui doivent reconstruire leurs vies et l'équilibre de leur groupe après le décès de leur ami. D'ailleurs cette disparition crée un bouleversement car elle ouvre la porte à diverses révélations mettant à l'épreuve les liens amicaux.
Mais à mon goût ce film présente des lenteurs et un côté invraisemblable auquel j'ai du mal à adhérer ; de plus certains traits d'humour sont assez lourds (la scène du vomi par exemple).
La mort est traitée avec désinvolture, l'accent étant plus porté sur le sort des vivants qui doivent reconstruire leurs vies et l'équilibre de leur groupe après le décès de leur ami. D'ailleurs cette disparition crée un bouleversement car elle ouvre la porte à diverses révélations mettant à l'épreuve les liens amicaux.
Mais à mon goût ce film présente des lenteurs et un côté invraisemblable auquel j'ai du mal à adhérer ; de plus certains traits d'humour sont assez lourds (la scène du vomi par exemple).
Un film qui se veut burlesque et qui bascule rapidement dans le grand n'importe quoi avec un casting décalé pour un scénario "grand guignol" .
Voici un film réjouissant sur l'amitié, certes déjanté mais jamais vulgaire, Bouli LANNERS est comme toujours remarquable, allez vite voir ce film qui n'a pas bénéficié d'une promotion suffisante
dominique P.
J'ai beaucoup apprécié ce film très divertissant.
Vraiment j'ai bien rigolé devant ce road movie !
Je suis sortie du cinéma ravie.
Vraiment j'ai bien rigolé devant ce road movie !
Je suis sortie du cinéma ravie.
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