Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Express
par Sandra Benedetti
Les frères Malandrin déroulent un road-movie surréaliste, mélancolique et grisant, bordé d'une tendresse burlesque à la Charlie Chaplin et d'une B.O. atomique.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Taviani, Dardenne, Coen, Larrieu, Poireaud, Wachowski… Au jeu des sept familles des frangins de septième art, demandons désormais les frangins Malandrin qui portent bien leur nom.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Hubert Lizé
Le film regorge de situations cocasses (...) et d'improbables rencontres d'où se dégage une épatante poésie du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un road-movie belge, déjanté, débridé, délicieux.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C'est éminemment sympathique, toujours drôle, franc du collier, jamais larmoyant, dégageant une bonne humeur et une sincérité bon enfant.
Paris Match
par Alain Spira
Cette comédie belge rock’n clownesque parfumée à la bière et à l’accent flamand a beau perdre quelques personnages en cours de voyage comme des boulons, elle parvient à tenir la route grâce à ses héros dignes d’une BD de Margerin et à sa B.O qui déchire.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
On serait tenté de qualifier de grolandais leur humour souvent robuste, mais il y a beaucoup de profondeur et de sincérité chez ces vieux ados touchants, idéalement incarnés par Bouli Lanners et Wim Willaert.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Un road-movie à la Grolandaise, moins bourrin qu'il n'en a l'air.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Derrière la farce, Je suis mort mais j’ai des amis sait tour à tour se rendre âpre ou touchant, déployant un émouvant propos sur les rêves chimériques et leur perte, toujours douloureuse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’argument n’est pas vraiment neuf, la fable non plus, qui nous présente un road trip Bruxelles-Los Angeles entre vieux copains, avec l’urne funéraire d’un camarade sous le bras. Il n’empêche, on y embarque de bon cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Bernard Génin
Le grand atout du film, c'est le pittoresque des leaders du groupe, deux quinquagénaires à l'hygiène douteuse qui se comportent comme de grands enfants capricieux, toujours accrochés aux idéaux de leur jeunesse. (...) Dommage que, durant la première partie, ils rament un peu dans une succession de sketchs laborieux.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
C'est inégal, le voyage traîne, mais on aime le mélange de tendresse et d'esprit belgo-punk.
Télérama
par Jacques Morice
Pas si fréquentes, les noces du rock et de la loufoquerie. Bon esprit, donc, même si le scénario de cette équipée plus tendre que sauvage est un poil paresseux et le casting, inégal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Dans le registre de l’humour belge, une ballade déjantée qui fait plus dans l’épaisseur que dans la dentelle.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La comédie, en roue libre, conduite par les attachants Bouli Lanners et Wim Willaert, finit par déraper et nous laisser un peu sur le bord de la route.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
TF1 News
par Yves Grosjean
En dépit de la bonne humeur des comédiens, le génial Bouli Lanners en tête, on s'ennuie ferme.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
L'Express
Les frères Malandrin déroulent un road-movie surréaliste, mélancolique et grisant, bordé d'une tendresse burlesque à la Charlie Chaplin et d'une B.O. atomique.
La Voix du Nord
Taviani, Dardenne, Coen, Larrieu, Poireaud, Wachowski… Au jeu des sept familles des frangins de septième art, demandons désormais les frangins Malandrin qui portent bien leur nom.
Le Parisien
Le film regorge de situations cocasses (...) et d'improbables rencontres d'où se dégage une épatante poésie du quotidien.
Les Fiches du Cinéma
Un road-movie belge, déjanté, débridé, délicieux.
Les Inrockuptibles
C'est éminemment sympathique, toujours drôle, franc du collier, jamais larmoyant, dégageant une bonne humeur et une sincérité bon enfant.
Paris Match
Cette comédie belge rock’n clownesque parfumée à la bière et à l’accent flamand a beau perdre quelques personnages en cours de voyage comme des boulons, elle parvient à tenir la route grâce à ses héros dignes d’une BD de Margerin et à sa B.O qui déchire.
Première
On serait tenté de qualifier de grolandais leur humour souvent robuste, mais il y a beaucoup de profondeur et de sincérité chez ces vieux ados touchants, idéalement incarnés par Bouli Lanners et Wim Willaert.
Voici
Un road-movie à la Grolandaise, moins bourrin qu'il n'en a l'air.
La Croix
Derrière la farce, Je suis mort mais j’ai des amis sait tour à tour se rendre âpre ou touchant, déployant un émouvant propos sur les rêves chimériques et leur perte, toujours douloureuse.
Le Monde
L’argument n’est pas vraiment neuf, la fable non plus, qui nous présente un road trip Bruxelles-Los Angeles entre vieux copains, avec l’urne funéraire d’un camarade sous le bras. Il n’empêche, on y embarque de bon cœur.
Positif
Le grand atout du film, c'est le pittoresque des leaders du groupe, deux quinquagénaires à l'hygiène douteuse qui se comportent comme de grands enfants capricieux, toujours accrochés aux idéaux de leur jeunesse. (...) Dommage que, durant la première partie, ils rament un peu dans une succession de sketchs laborieux.
Studio Ciné Live
C'est inégal, le voyage traîne, mais on aime le mélange de tendresse et d'esprit belgo-punk.
Télérama
Pas si fréquentes, les noces du rock et de la loufoquerie. Bon esprit, donc, même si le scénario de cette équipée plus tendre que sauvage est un poil paresseux et le casting, inégal.
Le Dauphiné Libéré
Dans le registre de l’humour belge, une ballade déjantée qui fait plus dans l’épaisseur que dans la dentelle.
Le Journal du Dimanche
La comédie, en roue libre, conduite par les attachants Bouli Lanners et Wim Willaert, finit par déraper et nous laisser un peu sur le bord de la route.
TF1 News
En dépit de la bonne humeur des comédiens, le génial Bouli Lanners en tête, on s'ennuie ferme.