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Méchant, décapant, hilarant : ce film à sketches est une réussite totale, grâce à un scénario original, cathartique et jouissif, une tension qui ne retombe jamais, des personnages en lâcher-prise.
Ecrit et mis en scène par le réalisateur argentin Damian Szifron, ce film à sketches déploie une férocité et un humour noir réjouissants qui font du bien au moral en ces temps de morosité ambiante.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Damián Szifron s'en tire fort bien, grâce à des piécettes jouant d'un humour noir ravageur, pointant sur des caractères humains exacerbés et des situations absurdes, kafkaïennes, voire surréalistes…
A défaut d’y révéler une sensibilité d’auteur, Szifron, transfuge de la pub, emballe tout ça avec efficacité et un humour dont le cynisme dévastateur aurait pu à la longue se retourner contre le film si celui-ci n’avait pas l’intelligence de se clore sur un peu d’amour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Tout ici manque de finesse, assume une grossièreté franche. L’image n’est pas très belle, la mise en scène semble ne s’être fixée que l’efficacité comme objectif. Et c’est justement ce qui fait le charme du film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Damián Szifron se distingue par son sens aigu du tempo, la précision de son découpage, son habile utilisation de la bande sonore. Surtout, il possède cette capacité à emmener une situation toujours plus loin, à faire durer et renouveler son potentiel comique (...)
D' un récit à l'autre, il étoffe ainsi son propos en tissant un réseau de relations tantôt funestes (...), tantôt rassurantes (...). Soit, au final, la métaphore d'une société historiquement gangrenée qui, au bord du gouffre, pourrait trouver la force de se rassembler.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ce rire, noir et trempé dans un grand bain d’absurde, finit par étreindre tous ses sombre héros de la veulerie ordinaire dans un geste satirique suffisamment tenu pour qu’on fasse crédit à son réalisateur d’être autre chose que le dernier petit malin à la mode.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) Une image très propre et très léchée, réflexion fidèle du cadre enviable et policé de nos sociétés de consommation, du fond duquel monte, incoercible, l'explosif remugle de la sauvagerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Triomphe public en Argentine, le film de Damián Szifrón chronique le pétage de plombs de personnages poussés à bout. Mineur, mais parfois réjouissant par son goût de la destruction.
Si chaque sketch raconte une histoire différente, c’est bien sûr un portrait en creux du peuple argentin que dresse le réalisateur. (...) L’humour y est féroce, outrancier, salvateur. Dommage que l’ensemble soit si inégal, avec d’énormes chutes de tension entre deux fous-rires (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Tout, jusqu'au titre, prétend rappeler d'abord la grande comédie italienne de jadis (...) Problème : si les histoires sont caustiques à souhait pour la plupart, elles sont filmées avec les pieds. Pis que tout : le réalisateur, qui se voudrait truculent, n'est que vulgaire. Et ça, ça ne pardonne pas...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Une complaisance rarement atteinte dans la laideur et la vulgarité. (…) Il semble de bon ton aujourd’hui de succomber, en évitant toute portée morale, à la mode anti-humaniste. Chez Szifrón aussi, tous les hommes sont des ordures.
Une fable hourdée d’un populisme qui tâche, avec l’idée satisfaisante et déresponsabilisante que le sauvage, c’est chacun d’entre nous, mais avant tout l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
Méchant, décapant, hilarant : ce film à sketches est une réussite totale, grâce à un scénario original, cathartique et jouissif, une tension qui ne retombe jamais, des personnages en lâcher-prise.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
20 Minutes
Un film à sketchs hilarant.
CNews
Ecrit et mis en scène par le réalisateur argentin Damian Szifron, ce film à sketches déploie une férocité et un humour noir réjouissants qui font du bien au moral en ces temps de morosité ambiante.
Elle
La colère va jusqu'à la barbarie, voire la destruction. Et c'est aussi drôle que terrifiant !
Franceinfo Culture
Damián Szifron s'en tire fort bien, grâce à des piécettes jouant d'un humour noir ravageur, pointant sur des caractères humains exacerbés et des situations absurdes, kafkaïennes, voire surréalistes…
Gala
Le rire que provoque ces tranches de vie naît de la férocité dont fait preuve le réalisateur Damiân Szifron vis-à-vis de ses congénères.
L'Obs
A défaut d’y révéler une sensibilité d’auteur, Szifron, transfuge de la pub, emballe tout ça avec efficacité et un humour dont le cynisme dévastateur aurait pu à la longue se retourner contre le film si celui-ci n’avait pas l’intelligence de se clore sur un peu d’amour.
Le Dauphiné Libéré
Une série de six histoires sur le même thème de la monstruosité humaine, dans une comédie aussi hilarante que subversive.
Les Inrockuptibles
Les Nouveaux Sauvages, film destiné à plaire au grand public, touche au plus intime et ne se laisse jamais aller à la facilité.
Libération
Tout ici manque de finesse, assume une grossièreté franche. L’image n’est pas très belle, la mise en scène semble ne s’être fixée que l’efficacité comme objectif. Et c’est justement ce qui fait le charme du film.
Ouest France
Cet ovni insaisissable dégage une aisance, une imagination et une "dinguerie" qui souvent font mouche.
Positif
Damián Szifron se distingue par son sens aigu du tempo, la précision de son découpage, son habile utilisation de la bande sonore. Surtout, il possède cette capacité à emmener une situation toujours plus loin, à faire durer et renouveler son potentiel comique (...)
Première
D' un récit à l'autre, il étoffe ainsi son propos en tissant un réseau de relations tantôt funestes (...), tantôt rassurantes (...). Soit, au final, la métaphore d'une société historiquement gangrenée qui, au bord du gouffre, pourrait trouver la force de se rassembler.
TF1 News
Au moins trois éclats (une vengeance en avion, un thriller automobile, un mariage massacre) dans ce film-à-sketches impoli et hilarant.
aVoir-aLire.com
Un premier film aussi troublant que jubilatoire, qui décortique les mécanismes de la vengeance jusqu’à l’absurde.
Chronic'art.com
Ce rire, noir et trempé dans un grand bain d’absurde, finit par étreindre tous ses sombre héros de la veulerie ordinaire dans un geste satirique suffisamment tenu pour qu’on fasse crédit à son réalisateur d’être autre chose que le dernier petit malin à la mode.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Monde
(...) Une image très propre et très léchée, réflexion fidèle du cadre enviable et policé de nos sociétés de consommation, du fond duquel monte, incoercible, l'explosif remugle de la sauvagerie.
Les Fiches du Cinéma
Triomphe public en Argentine, le film de Damián Szifrón chronique le pétage de plombs de personnages poussés à bout. Mineur, mais parfois réjouissant par son goût de la destruction.
Paris Match
Si chaque sketch raconte une histoire différente, c’est bien sûr un portrait en creux du peuple argentin que dresse le réalisateur. (...) L’humour y est féroce, outrancier, salvateur. Dommage que l’ensemble soit si inégal, avec d’énormes chutes de tension entre deux fous-rires (...).
Télérama
Tout, jusqu'au titre, prétend rappeler d'abord la grande comédie italienne de jadis (...) Problème : si les histoires sont caustiques à souhait pour la plupart, elles sont filmées avec les pieds. Pis que tout : le réalisateur, qui se voudrait truculent, n'est que vulgaire. Et ça, ça ne pardonne pas...
Cahiers du Cinéma
Une complaisance rarement atteinte dans la laideur et la vulgarité. (…) Il semble de bon ton aujourd’hui de succomber, en évitant toute portée morale, à la mode anti-humaniste. Chez Szifrón aussi, tous les hommes sont des ordures.
Critikat.com
Une fable hourdée d’un populisme qui tâche, avec l’idée satisfaisante et déresponsabilisante que le sauvage, c’est chacun d’entre nous, mais avant tout l’autre.