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Cet équivalent hispanique de notre "bienvenu chez les chtis" aligne à son tour les clichés sur les nordistes (basques) et les sudistes (andalous), en jouant également sur les différences d'accent (d'où l'intérêt de la VO).
Ocho Apellidos Vascos, véritable succès dans son pays d'origine à sa sortie, a bien entendu plus d'impact de l'autre côté de la frontière (ou chez le spectateur français qui connait un peu le Pays Basque sud) où l'on sera plus à même de rire et de comprendre les subtilités, les allusions humoristiques, le rapport au nationalisme et la caricature de la fierté locale.
Pour les autres il reste une comédie romantique qui saura faire sourire par moment, avec un Dani Rovira très drôle dans son personnage bi-culturel de Rafa/Antxon.
Quoi qu'il en soit, que le Pays Basque est beau même sous la pluie. Aupa.
Ocho Apellidos Vascos, véritable succès dans son pays d'origine à sa sortie, a bien entendu plus d'impact de l'autre côté de la frontière (ou chez le spectateur français qui connait un peu le Pays Basque sud) où l'on sera plus à même de rire et de comprendre les subtilités, les allusions humoristiques, le rapport au nationalisme et la caricature de la fierté locale.
Pour les autres il reste une comédie romantique qui saura faire sourire par moment, avec un Dani Rovira très drôle dans son personnage bi-culturel de Rafa/Antxon.
Quoi qu'il en soit, que le Pays Basque est beau même sous la pluie. Aupa.
Le film reprend le thème développé dans « Bienvenue chez les Ch’tis » (2008) de Dany Boon mais en mieux : un andalou macho (Dani Rovira) tombe amoureux, lors d’un mariage, d’une jolie basque mais fière (Clara Lago). Celle-ci ayant oublié son sac avec ses papiers, il décide de lui rapporter et quitte sa région natale pour le pays Basque (province de Guipúzcoa dont la capitale est San-Sébastian). Il fait la connaissance de son père et d’une andalouse veuve (qui a épousé un basque) et qu’il fait passer pour sa mère. C’est drôle, rythmé et Dani Rovira (qui a reçu le Goya du meilleur acteur Révélation) insuffle au film son caractère volubile et malicieux, tout en jouant sur les accents (mieux apprécié par les hispanophones) et les clichés concernant ces deux régions espagnoles fort différentes. Le film a battu des records d’affluence en Espagne à sa sortie : 7,7 millions d’entrée en 2 mois. Le titre fait référence au fait qu’un vrai basque peut citer 8 noms basques parmi ses parents et grands-parents. .
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