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Votre avis sur Greta ?
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benoitG80
« Greta » permet à Isabelle Huppert de nous offrir enfin un vrai rôle en or !
Si l’actrice excelle vraiment cette fois, en convenant évidemment plus que jamais à ce personnage psychopathe, autant dire qu’elle affiche ici la couleur comme jamais, et bien plus que lors de ses dernières prestations plus ambiguës dans leur genre, et pas toujours réussies...
En compagnie de Chloë Grace Moretz plutôt bien inspirée également dans son jeu de victime innocente et vulnérable, elles donnent ensemble une vraie dimension à ce thriller horrifique de Neil Jordan, dont l’histoire va crescendo dans l’angoisse et le malaise.
C’est vrai que notre célèbre Isabelle a ce secret incroyable pour faire la moue, plisser des yeux et prendre cet air distancié et hautain qui la caractérise si bien !
Et là, tout y est afin que l’on se régale de ses expressions glaçantes qui font frémir sa jeune proie ainsi que le spectateur qui entre rire jaune et effroi, ne sait plus à quel saint se vouer dans la suite des événements !
La situation de départ évolue en effet doucement mais sûrement, pour arriver à ce que l’on imagine évidemment, mais par contre on monte brutalement en tension et de manière hallucinante !
La relation entre ces deux femmes est finement étudiée et nous permet de les suivre à travers un méandre de rebondissements plutôt bien fichus, dont un retournement assez risqué qui ne présage rien de bon !
Diabolique, inquiétante, dangereuse, dérangée, les adjectifs pour qualifier cette bourgeoise plus que névrosée, sont nombreux mais le portrait qu’elle en fait est assurément épatant et restera dans les annales...
De plus, l’ambiance générale que dégage cette curieuse maison est également un point fort, en s’inscrivant d’ailleurs dans une mise en scène pétrie de qualité, qui ne fait que mieux servir ce duo d’actrices totalement en adéquation pour nous surprendre et même nous déstabiliser de bout en bout !
Une très bonne surprise, et on pourra même dire que l’affaire est dans le sac !...
Si l’actrice excelle vraiment cette fois, en convenant évidemment plus que jamais à ce personnage psychopathe, autant dire qu’elle affiche ici la couleur comme jamais, et bien plus que lors de ses dernières prestations plus ambiguës dans leur genre, et pas toujours réussies...
En compagnie de Chloë Grace Moretz plutôt bien inspirée également dans son jeu de victime innocente et vulnérable, elles donnent ensemble une vraie dimension à ce thriller horrifique de Neil Jordan, dont l’histoire va crescendo dans l’angoisse et le malaise.
C’est vrai que notre célèbre Isabelle a ce secret incroyable pour faire la moue, plisser des yeux et prendre cet air distancié et hautain qui la caractérise si bien !
Et là, tout y est afin que l’on se régale de ses expressions glaçantes qui font frémir sa jeune proie ainsi que le spectateur qui entre rire jaune et effroi, ne sait plus à quel saint se vouer dans la suite des événements !
La situation de départ évolue en effet doucement mais sûrement, pour arriver à ce que l’on imagine évidemment, mais par contre on monte brutalement en tension et de manière hallucinante !
La relation entre ces deux femmes est finement étudiée et nous permet de les suivre à travers un méandre de rebondissements plutôt bien fichus, dont un retournement assez risqué qui ne présage rien de bon !
Diabolique, inquiétante, dangereuse, dérangée, les adjectifs pour qualifier cette bourgeoise plus que névrosée, sont nombreux mais le portrait qu’elle en fait est assurément épatant et restera dans les annales...
De plus, l’ambiance générale que dégage cette curieuse maison est également un point fort, en s’inscrivant d’ailleurs dans une mise en scène pétrie de qualité, qui ne fait que mieux servir ce duo d’actrices totalement en adéquation pour nous surprendre et même nous déstabiliser de bout en bout !
Une très bonne surprise, et on pourra même dire que l’affaire est dans le sac !...
spoiler:
C'est mercredi soir, je sors du film que j'ai trouvé extra et que vois-je sur Allociné ? Déjà des critiques négatives manquant totalement d'indulgence et cherchant la petite bête dans les moindres détails.
On va au cinéma pour se détendre, et voir un film dans sa globalité, son ambiance, son atmosphère.
Il est sensas ce film, tout y est : ambiance angoissante, acteurs jouant leur rôle à la perfection, qualité de la mise en scène et un intense suspense.
Non franchement ces mauvaises notes sont vraiment pas justifiées sauf; comme je l'ai dit, à vouloir chercher absolument la petite bête inutilement au lieu d'apprécier et se détendre en toute tranquillité (dans ce cas-là ce n'est plus la peine d'aller au cinéma si c'est pour toujours rouspéter).
C'est vraiment pas terrible. Le film commence bien, un bon suspense avec Manhattan pour cadre. Une énième histoire de stalking et de tordus. Mais plus on avance plus ça devient INVRAISEMBLABLE et peu crédible. Aucune originalité, toujours les mêmes ressorts. La police ne fait rien alors que le harcèlement est caractérisé. L'héroïne disparaît et personne ne fait le lien avec la psychopathe, sauf l'amie qui a une stratégie plus que douteuse. Le personnage de Chloe pourrait s'en sortir plusieurs fois en frappant la vielle psychopathe toute menue. Isabelle Huppert est RIDICULE à de nombreuses reprises, avec son visage monoexpressif, les personnages sont tous très cons (l'héroïne cherche une sortie dans la cave, le détective aguerrie se fait surprendre par la vieille mamie)... Un Misery du pauvre version téléfilm France 2.
dominique P.
J'attendais ce film avec impatience pour plusieurs raisons : j'aime les deux actrices principales et j'adore les thrillers américains.
Je trouve ce film parfait, bien réalisé et interprété, parfaitement réussi.
C'est tendu, remarquablement palpitant et inquiétant et je me suis complètement plongée dans cette folle histoire.
I. Huppert trouve là encore un rôle de femme dérangée qui lui va très bien.
Je ne vois aucun reproche à faire à ce film.
Je trouve ce film parfait, bien réalisé et interprété, parfaitement réussi.
C'est tendu, remarquablement palpitant et inquiétant et je me suis complètement plongée dans cette folle histoire.
I. Huppert trouve là encore un rôle de femme dérangée qui lui va très bien.
Je ne vois aucun reproche à faire à ce film.
RedArrow
"La Gourde et La Folle" par Neil Jordan
En la cité de Manhattan, vivait La Gourde, une jolie serveuse à la tête extrêmement large. Un jour, la jeune fille découvrit un sac à main abandonné dans sa ligne de métro. Plutôt que d'écouter les vils conseils de sa colocataire qui lui arguait de s'offrir un soin du sphincter au jus d'asperge avec la bourse du sac (véridique !), La Gourde décida de ramener le bagage à sa propriétaire. Ainsi, elle fit la connaissance de La Folle. Même si elles étaient de générations différentes, les deux femmes se mirent à tisser une relation de mère-fille de substitution en un coup de baguette magique. En effet, encore meurtrie par le décès de sa mère, La Gourde se trouva toute heureuse de lui dénicher une remplaçante, surtout que La Folle était elle-même en manque de sa propre fille. La Gourde et La Folle devinrent donc les meilleures amies du monde, aussi collées l'une à l'autre que du chewing-gum comme elles aimaient subtilement à le répéter.
Hélas, peu de temps après, La Gourde découvrit que La Folle était complètement folle et qu'elle-même était la reine des gourdes d'avoir accordé sa confiance à une parfaite inconnue. La Gourde mit donc rapidement un terme à leur relation mais La Folle ne voulut rien entendre et se mit à harceler continuellement son ancienne amie. Avec des têtes figées de parfaite hystérique ou en renversant des tables dans des scènes à mourir de rire, La Folle faisait de plus en plus peur à La Gourde et à son entourage. Mais, alors que La Gourde avait beaucoup d'occasions de rompre définitivement le contact, celle-ci renouait à chaque fois avec La Folle en allant l'espionner ou en discutant avec elle, si bien que La Folle se décida à employer des méthodes drastiques pour garder sa Gourde préférée auprès d'elle...
Moralité : On peut être un film réalisé par Neil Jordan, interprété par le duo prometteur Isabelle Huppert/Chloé Grace Moretz (sans oublier d'excellents seconds couteaux comme Maika Monroe ou Stephen Rea), avoir donc toutes les cartes en main pour livrer une histoire de relation féminine déviante un minimum honnête... et se planter prodigieusement !
Comment un tel projet s'est-il transformé en cours de route en un téléfilm horriblement gênant sur un stalking de seconde zone ? Comment Neil Jordan a-t-il pu livrer un produit d'une telle platitude que même TF1 et M6 hésiteraient à le diffuser dans la grille de leurs après-midis respectifs par peur de faire mourir d'ennui leur public de ménagères ? Qui a eu l'idée de laisser Isabelle Huppert en roue-libre dans une caricature de psycho-dingue juste bonne à nous rendre hilare ? Par quel miracle la tête de Chloë Grace Moretz s'élargit-elle horizontalement au fil des années ? Et, surtout, comment l'ensemble des participants à un tel bidule ont-ils pu croire une seule seconde qu'ils étaient en train de livrer quelque chose d'inédit ou d'au moins un tant soit peu bon ?
À ce stade de médiocrité intemporelle, on se fiche même d'avoir des réponses, on réclame seulement aussi une injonction d'éloignement contre "Greta"...
En la cité de Manhattan, vivait La Gourde, une jolie serveuse à la tête extrêmement large. Un jour, la jeune fille découvrit un sac à main abandonné dans sa ligne de métro. Plutôt que d'écouter les vils conseils de sa colocataire qui lui arguait de s'offrir un soin du sphincter au jus d'asperge avec la bourse du sac (véridique !), La Gourde décida de ramener le bagage à sa propriétaire. Ainsi, elle fit la connaissance de La Folle. Même si elles étaient de générations différentes, les deux femmes se mirent à tisser une relation de mère-fille de substitution en un coup de baguette magique. En effet, encore meurtrie par le décès de sa mère, La Gourde se trouva toute heureuse de lui dénicher une remplaçante, surtout que La Folle était elle-même en manque de sa propre fille. La Gourde et La Folle devinrent donc les meilleures amies du monde, aussi collées l'une à l'autre que du chewing-gum comme elles aimaient subtilement à le répéter.
Hélas, peu de temps après, La Gourde découvrit que La Folle était complètement folle et qu'elle-même était la reine des gourdes d'avoir accordé sa confiance à une parfaite inconnue. La Gourde mit donc rapidement un terme à leur relation mais La Folle ne voulut rien entendre et se mit à harceler continuellement son ancienne amie. Avec des têtes figées de parfaite hystérique ou en renversant des tables dans des scènes à mourir de rire, La Folle faisait de plus en plus peur à La Gourde et à son entourage. Mais, alors que La Gourde avait beaucoup d'occasions de rompre définitivement le contact, celle-ci renouait à chaque fois avec La Folle en allant l'espionner ou en discutant avec elle, si bien que La Folle se décida à employer des méthodes drastiques pour garder sa Gourde préférée auprès d'elle...
Moralité : On peut être un film réalisé par Neil Jordan, interprété par le duo prometteur Isabelle Huppert/Chloé Grace Moretz (sans oublier d'excellents seconds couteaux comme Maika Monroe ou Stephen Rea), avoir donc toutes les cartes en main pour livrer une histoire de relation féminine déviante un minimum honnête... et se planter prodigieusement !
Comment un tel projet s'est-il transformé en cours de route en un téléfilm horriblement gênant sur un stalking de seconde zone ? Comment Neil Jordan a-t-il pu livrer un produit d'une telle platitude que même TF1 et M6 hésiteraient à le diffuser dans la grille de leurs après-midis respectifs par peur de faire mourir d'ennui leur public de ménagères ? Qui a eu l'idée de laisser Isabelle Huppert en roue-libre dans une caricature de psycho-dingue juste bonne à nous rendre hilare ? Par quel miracle la tête de Chloë Grace Moretz s'élargit-elle horizontalement au fil des années ? Et, surtout, comment l'ensemble des participants à un tel bidule ont-ils pu croire une seule seconde qu'ils étaient en train de livrer quelque chose d'inédit ou d'au moins un tant soit peu bon ?
À ce stade de médiocrité intemporelle, on se fiche même d'avoir des réponses, on réclame seulement aussi une injonction d'éloignement contre "Greta"...
traversay1
Isabelle Huppert a dû beaucoup s'amuser à composer son rôle de "Cruella"
spoiler:
de névropathe doublée d'une psychopathe, à moins que ce ne soit l'inverse.
Le spectateur se divertit aussi, dans un premier temps du moins, jusqu'à ce que l'intrigue de Greta révèle ses vrais enjeux, avant de sombrer dans sa dernière partie dans le grand guignol, ou peu s'en faut. En thriller psychologique, bien que peu original, le film ne manque pas d'attraits spoiler: mais dès qu'il met en branle les clichés de la terreur domestique, il devient purement grotesque
. Bon, il faut aussi avouer que la crédibilité de l'ensemble n'est pas la qualité première de Greta mais tant que la chose est ludique, on peut fermer les yeux par pudeur. Les premières scènes entre la jeune Chloë Grace Moretz (un peu frêle, quand même) et la Huppert ne sont pas si mal et Neil Jordan qui n'est pas un manchot (n'était pas ?) nous vend bien leur relation mère/fille de substitution. spoiler: Mais pas suffisamment longtemps pour qu'on s'y habitue puisque les lois du suspense prennent vite le dessus. Avec une poignée de bons moments quand même, soyons honnête, comme ceux des rêves successifs. On a même l'espoir, plus loin dans le film, de glisser vers une oeuvre baroque ou passablement déjantée mais il n'en est rien, une certaine sagesse dans le conformisme soi-disant horrifique s'imposant au fur et à mesure.
En définitive, on n'en veut même pas au réalisateur de Michael Collins et de The Crying Game pour ce film moyen dans la compagnie de la louve Huppert. Puisque, visiblement, celle-ci a pris ce rôle pour un récréation, n'en faisons pas un drame et contentons-nous de quelques miettes de plaisir coupable.
Le spectateur se divertit aussi, dans un premier temps du moins, jusqu'à ce que l'intrigue de Greta révèle ses vrais enjeux, avant de sombrer dans sa dernière partie dans le grand guignol, ou peu s'en faut. En thriller psychologique, bien que peu original, le film ne manque pas d'attraits spoiler: mais dès qu'il met en branle les clichés de la terreur domestique, il devient purement grotesque
. Bon, il faut aussi avouer que la crédibilité de l'ensemble n'est pas la qualité première de Greta mais tant que la chose est ludique, on peut fermer les yeux par pudeur. Les premières scènes entre la jeune Chloë Grace Moretz (un peu frêle, quand même) et la Huppert ne sont pas si mal et Neil Jordan qui n'est pas un manchot (n'était pas ?) nous vend bien leur relation mère/fille de substitution. spoiler: Mais pas suffisamment longtemps pour qu'on s'y habitue puisque les lois du suspense prennent vite le dessus. Avec une poignée de bons moments quand même, soyons honnête, comme ceux des rêves successifs. On a même l'espoir, plus loin dans le film, de glisser vers une oeuvre baroque ou passablement déjantée mais il n'en est rien, une certaine sagesse dans le conformisme soi-disant horrifique s'imposant au fur et à mesure.
En définitive, on n'en veut même pas au réalisateur de Michael Collins et de The Crying Game pour ce film moyen dans la compagnie de la louve Huppert. Puisque, visiblement, celle-ci a pris ce rôle pour un récréation, n'en faisons pas un drame et contentons-nous de quelques miettes de plaisir coupable.
Ce thriller psychologique est impeccable : scénario parfait, réalisation de grande qualité, jeu des acteurs au top, suspense du début à la fin, angoisse prenante.
Aucun risque de s'ennuyer vu comme le film est tendu et hautement fascinant.
J'ai marché à 100 % dans cette histoire machiavélique.
Aucun risque de s'ennuyer vu comme le film est tendu et hautement fascinant.
J'ai marché à 100 % dans cette histoire machiavélique.
même si I. Huppert est inquiétante en prédatrice désaxée, ce récit ne prend pas. un thriller psychologique tordu, improbable, aux dialogues faibles et la mauvaise doublure en français n'arrange rien! à l'image du film, le choix de ce final prévisible est facile!
Ce film est terrifiant et riche en rebondissements, Isabelle Huppert est magnifique et totalement crédible.
Un triller qui décoiffe, la réalisation et la photo autour de New York sont de qualité.
Un triller qui décoiffe, la réalisation et la photo autour de New York sont de qualité.
Un pseudo thriller psychologique où tout est écrit d'avance et le plus insupportable est la mise en scène sur les comportements/attitudes.
spoiler:
(on fuit ... à la cave !, on assomme sans ... ligoter ! par contre on pleur, qu'est ce qu'on pleure ... pitoyable !).
Reste une musique vraiment pénible, des situations improbables à foison et des interprétations juste acceptables. Un scénario sur le papier intéressant, le traitement ... mauvais. Comme beaucoup, un semblant de "Misery" mais très loin de l'égaler ! 1/5 !!!
Reste une musique vraiment pénible, des situations improbables à foison et des interprétations juste acceptables. Un scénario sur le papier intéressant, le traitement ... mauvais. Comme beaucoup, un semblant de "Misery" mais très loin de l'égaler ! 1/5 !!!
Alice025
Une jeune femme (Frances) va rapporter un sac trouvé dans le métro à une veuve (Greta) dont la solitude la pèse. L'abandon du sac était calculé, Frances va se faire harceler par cette stalkeuse qui n'a visiblement pas toute sa tête... Ce qui est clair, c'est que ce film souffre de beaucoup de défauts : une amitié beaucoup trop rapide et superficielle avant le break ( quinze minutes à tout casser), des personnages pas assez travaillés, une Isabelle Hupert qui paraît en faire trop, un scénario plus ou moins prévisible dans sa globalité...
Mais je me suis tout de même laissée tenter et plus l'histoire avance, plus le réalisateur essaie d'instaurer une ambiance de plus en plus pesante, qui ne marche certes qu'à moitié, mais qui accentue le côté psychopathe du film et avec un petit rebondissement sympa.
Rien de révolutionnaire, mais ça fonctionne correctement.
http://cinephile-critique.over-blog.com
Mais je me suis tout de même laissée tenter et plus l'histoire avance, plus le réalisateur essaie d'instaurer une ambiance de plus en plus pesante, qui ne marche certes qu'à moitié, mais qui accentue le côté psychopathe du film et avec un petit rebondissement sympa.
Rien de révolutionnaire, mais ça fonctionne correctement.
http://cinephile-critique.over-blog.com
Malgré trois scènes proche du grand-guignolesque et un synopsis banal, c'est un thriller efficace avec un excellent twist en fin de film. Neil Jordan distille crescendo l'angoisse jusqu'à l'étouffement.
Chloé Grace Moretz est parfaite en jeune fille fragile et naïve et Isabelle Huppert est flippante à souhait.
Chloé Grace Moretz est parfaite en jeune fille fragile et naïve et Isabelle Huppert est flippante à souhait.
Ridicule du début à la fin, le film a pour principal défaut un scénario accablant, pas crédible du tout, avec 2 protagonistes caricaturales : la cinglée et la débile naïve. La victime remet toujours dans le jeu la femme qui la harcèle, alors que tout au long de l'histoire elle peut tout arrêter, surtout physiquement, dans la maison notamment. Idem pour le détective... et quasiment tous les personnages du film qui n'ont absolument aucune jugeote. Le jeu d'Isabelle Huppert a rarement été aussi mauvais et la réalisation plus proche d'un téléfilm que d'un thriller de David Fincher. La seule bonne idée du film est celle du sac à main oublié dans le métro !
J'ai vraiment accroché. L'intensité et le stress montent au fur et à mesure que le film avance et l'histoire est simple, voire basique, mais efficace et bien interprétée. Le rôle est fait pour Isabelle Huppert. Les amateurs du genre trouveront peut être le film peu original mais ceux qui n'en regardent pas souvent se laisseront prendre au jeu. A noter un petit bémol sur le doublage en VF d'Isabelle Huppert, un peu loupé.
Aucune surprise, Isabelle Huppert surjoue la folie, on fini par être mal à l'aise pour elle.
Ce film a tout de même cet effet magique d'être aussitôt oublié dès lors que l'on quitte la salle.
Ce film a tout de même cet effet magique d'être aussitôt oublié dès lors que l'on quitte la salle.
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