AlloCiné
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Votre avis sur I Origins ?
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weihnachtsmann
Un gloubiboulga de sentiments, de pensées philosophiques bas de gamme et de recherche scientifique fumeuse (donner la vue à un ver de terre revient à qualifier ce film de film d'horreur quand on imagine la créature!!!!!! Cependant dans la scène de l'ascenseur on n'en est pas loin.....)
Le vrai sujet: celui de l'identité rétinienne n'est pas inintéressant mais le traitement est grotesque et franchement lourdaud.
Le vrai sujet: celui de l'identité rétinienne n'est pas inintéressant mais le traitement est grotesque et franchement lourdaud.
Je me suis mis à regarder ce film sans n’en connaître rien, parfois c'est l'occasion de bonnes surprises, parfois de grosses déceptions. Malheureusement pour ce film on se retrouve dans ce deuxième cas de figure. Ce film écrit, réalisé et monté par Mike Cahill et un drame amoureux sur fond de combat philosophique opposant la science à la spiritualité dans la vie d'un jeune scientifique après qu'il est fait la connaissance d'une jeune fille pour laquelle, de manière réciproque, il éprouve une passion submergeante. Las, on peine à ressentir cette passion aussi chaleureuse qu'une paillasse de laboratoire. Mais ce qui finalement dérange le plus c'est l'impression que le film flirte avec le thriller sans que jamais il ne s'y jette vraiment, résultat on suit un film qui ne semble jamais vraiment savoir où il va. Drame romantique ? Thriller scientifique ? Drame philosophique ? On ne sait jamais et on s'ennuie devant une intrigue atone et des personnages peu attachants, même le personnage de Ian qui n'arrive pas à nous émouvoir. Le film ne dure qu'un peu plus d'une heure quarante. Mais pour le pauvre spectateur cela paraît beaucoup, beaucoup plus long ! Un drame riche en thèmes, donc, mais dont l'intrigue insipide et fouillis peine à passionner un spectateur qui se demande tout le long ce qu'il regarde où le réalisateur veut l'emmener, avant de réaliser que c'est malheureusement pour aller nulle part... Un film bien peu intéressant qui n'a pas eu grand succès (à peine plus de 336 000 dollars dans le monde) ce qui n'est malheureusement pas immérité. Franchement évitable sans regret.
“I Origins” émerge à la suite d’une idée bien établie du réalisateur Mike Cahill, il projette de faire un film alliant science et spiritualité, deux mots opposés qui nous questionnent autant qu’il se complètent.
Il montre une œuvre d’une grande sensibilité : une aventure scientifique en apparence anodine, dévoile une universalité qui interpelle la plupart d’entre nous.”I Origins” parle d’humanité, de sentiments, de découvertes et de réincarnation (dans le sens qu’on veut bien lui donner). Rares sont les films qui nous rapprochent des questions de l’existence et de l’essence de la vie. Michael Pitt est incroyable, Astrid Bergès-Frisbey et Brit Marling le sont tout autant. Un long-métrage cohérent, maîtrisé avec une conclusion humble et sensible, à son échelle, qui laisse au mystique sa part de mystère et à la science son pourcentage d’inconnues.
Le propos est compris et réussi quand on voit que spoiler: dans dans la dernière scène, nous n’avons besoin d’aucun mot pour comprendre ce qu’il se passe et être emmené loin, dans une singularité, une connexion d’humain à humain, un rapport de l'âme.
D’autant plus le choix de l’arc narratif porté sur les yeux et leur fonctionnement, leur anatomie apporte au film un esthétisme flamboyant, en plus de l’approche scientifique.
Seul bémol, spoiler: la mort de Sofi (Astrid Bergès-Frisbey) qui reste brutale, sans grande justification. Sans renforcer le pathos sur ce drame, le fait de donner un peu plus d'explications sur sa mort aurait amené plus de crédibilité.
“I Origins” se contemple pour les humains que nous sommes, il pose des questions, les laisse ouvertes sans jamais les réfuter, c’est réalisé avec conviction, sagesse et passion, un cinéma profond et révélateur.
Il montre une œuvre d’une grande sensibilité : une aventure scientifique en apparence anodine, dévoile une universalité qui interpelle la plupart d’entre nous.”I Origins” parle d’humanité, de sentiments, de découvertes et de réincarnation (dans le sens qu’on veut bien lui donner). Rares sont les films qui nous rapprochent des questions de l’existence et de l’essence de la vie. Michael Pitt est incroyable, Astrid Bergès-Frisbey et Brit Marling le sont tout autant. Un long-métrage cohérent, maîtrisé avec une conclusion humble et sensible, à son échelle, qui laisse au mystique sa part de mystère et à la science son pourcentage d’inconnues.
Le propos est compris et réussi quand on voit que spoiler: dans dans la dernière scène, nous n’avons besoin d’aucun mot pour comprendre ce qu’il se passe et être emmené loin, dans une singularité, une connexion d’humain à humain, un rapport de l'âme.
D’autant plus le choix de l’arc narratif porté sur les yeux et leur fonctionnement, leur anatomie apporte au film un esthétisme flamboyant, en plus de l’approche scientifique.
Seul bémol, spoiler: la mort de Sofi (Astrid Bergès-Frisbey) qui reste brutale, sans grande justification. Sans renforcer le pathos sur ce drame, le fait de donner un peu plus d'explications sur sa mort aurait amené plus de crédibilité.
“I Origins” se contemple pour les humains que nous sommes, il pose des questions, les laisse ouvertes sans jamais les réfuter, c’est réalisé avec conviction, sagesse et passion, un cinéma profond et révélateur.
Cinéphiles 44
Si le film est classé dans le genre science-fiction, le réalisateur n’est pourtant pas là pour nous mettre pleins d’effets spéciaux dans les yeux. I Origins porte un regard scientifique et réfléchi sur la vie et les croyances. Mike Cahill crée un monde presque identique au nôtre, en préférant la pudeur au spectacle. Cependant, il n’en oubli pas de nous surprendre en filmant l’œil comme personne. Les plans sont gracieux et nous emporte tel un poème d’amour. Michael Pitt et Britt Marling sont beau et joue leur amour et difficultés avec une véritable sincérité. Si quelques questions restent en suspend, I Originis réussi à mettre le spectateur en émoi.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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"I Origins" n'est pas un film parmi tant d'autres, il se démarque par un scénario original écrite avec une plume de maître. Tout au cours du long-métrage le réalisateur nous mène dans une histoire hors du commun joué par un Michael Pitt en forme. L'acteur fait une rencontre mêlée au hasard, alors le couple sera confrontée à deux esprits bien différents, l'un marqué par la spiritualité et la croyance, le second par les faits et les événements concrets. À cela s'ajoute des images magnifiques et une réflexion profonde sur le monde d'aujourd'hui en parallèle avec des événements d'actualité.
Il s'agit d'un chef-d'oeuvre à voir et à revoir que je conseil fortement.
Il s'agit d'un chef-d'oeuvre à voir et à revoir que je conseil fortement.
Un film de science fiction, mais vraiment plus de science que de fiction.
Le film traite de sujets qui mettent en opposition deux grands concepts : les fait scientifiques liés à la recherche, et le monde des croyances et de la spiritualité. Cela parfois de manière bien lourde, comme à travers l'histoire d'amour du personnage principal, au début original, puis prévisible, et qui aboutit à un final certes touchant, mais sans vraiment de sens, ce qui détruit quelque peu l'intérêt porté à l'histoire.
Le thème général tourne autour des yeux, et l'on a droit à de très beaux clichés, pour autant qu'on soit sensible à cette partie du corps.
Néanmoins, malgré toute cette originalité, il n'y a rien de transcendant dans ces 1h30 de projection. Cela aurait clairement pu être le cas, il y avait de quoi faire, mais les maladresses du film qui se comptent à la pelle et s'enchaînent, l'enterre plus qu'autre chose.
Le film traite de sujets qui mettent en opposition deux grands concepts : les fait scientifiques liés à la recherche, et le monde des croyances et de la spiritualité. Cela parfois de manière bien lourde, comme à travers l'histoire d'amour du personnage principal, au début original, puis prévisible, et qui aboutit à un final certes touchant, mais sans vraiment de sens, ce qui détruit quelque peu l'intérêt porté à l'histoire.
Le thème général tourne autour des yeux, et l'on a droit à de très beaux clichés, pour autant qu'on soit sensible à cette partie du corps.
Néanmoins, malgré toute cette originalité, il n'y a rien de transcendant dans ces 1h30 de projection. Cela aurait clairement pu être le cas, il y avait de quoi faire, mais les maladresses du film qui se comptent à la pelle et s'enchaînent, l'enterre plus qu'autre chose.
Pauline G.
Farfelu, I Origins consacre sa première partie à présenter des personnages, leurs liens et l'étude scientifique du héros avant de brusquement basculer dans un tout autre registre au moment même où ça commence à devenir lassant de voir Michael Pitt afficher toujours la même expression et Astrid Bergès-Frisbey camper le rôle de la petite pimbèche innocente et belle, incarnant de fait l'inéluctable contrepoint au scientifique rabougri, morne et fade campé par Michael Pitt. Les personnages sont des clichés de scientifiques et de jeune femme libérée à la mode soixante-huitarde, sans oublier Brit Marling, qui tient elle-aussi un rôle taillé à la serpe sans ses pulls ridicules, comme si tous les scientifiques s'habillaient comme des sacs et portaient de grosses lunettes à écailles (toujours les mêmes à travers les siècles, d'ailleurs). En deuxième partie, l'histoire tente vainement d'instaurer un tant soit peu de suspense mais il est malheureusement trop tard pour rattraper le coup, surtout que Michael Pitt continue de faire la même tête. Non pas que le scénario soit inintéressant mais il manque trop de relief pour que le spectateur se sente concerné et embarque avec Mike Cahill dans la grande aventure de l'évolution de l'humanité.
Mike Cahill aime explorer des sujets intrigants autour de l’existence même de la vie en confrontant la science à la spiritualité.
Après une belle entrée en matière (Another Earth), le réalisateur récidive avec ce nouveau film tout aussi énigmatique et envoutant. "I Origins" met en lumière l'histoire d'un jeune scientifique obnubilé par les yeux et plus exactement par leur complexité. Cet esprit très cartésien va subitement être remis en question par sa rencontre fusionnelle avec une jeune femme aux yeux à part entière...De cette rencontre naitra une confrontation entre les certitudes du jeune scientifique et la part de spiritualité qui nous entoure.
A la fois poétique et philosophique ce film capte aisément nos esprits tant l'intrigue jongle avec finesse entre nos certitudes les plus profondes et le grand mystère de la vie. Une très belle réussite !
Après une belle entrée en matière (Another Earth), le réalisateur récidive avec ce nouveau film tout aussi énigmatique et envoutant. "I Origins" met en lumière l'histoire d'un jeune scientifique obnubilé par les yeux et plus exactement par leur complexité. Cet esprit très cartésien va subitement être remis en question par sa rencontre fusionnelle avec une jeune femme aux yeux à part entière...De cette rencontre naitra une confrontation entre les certitudes du jeune scientifique et la part de spiritualité qui nous entoure.
A la fois poétique et philosophique ce film capte aisément nos esprits tant l'intrigue jongle avec finesse entre nos certitudes les plus profondes et le grand mystère de la vie. Une très belle réussite !
Très curieux ce film car face à la spiritualité, le réalisateur ne laisse pas beaucoup de place à la science. Chaque cadre, chaque son, chaque changement de rythme dans le plan suggèrent une forme de spiritualité. Ainsi, les images très belles et son très planant n'apportent aucun soutien au point de vue d'abord dubitatif du Docteur. Dès les premiers plans, nous savons, nous sentons, sa lente mais inéluctable conversion à venir.
Mais si vous ne craignez pas une crise de foi dû à un propos un peu trop appuyé sur la spiritualité et la religion, I Origins saura vous toucher dans ses moments moins à thèse mais plus romantiques et poétiques.
Mais si vous ne craignez pas une crise de foi dû à un propos un peu trop appuyé sur la spiritualité et la religion, I Origins saura vous toucher dans ses moments moins à thèse mais plus romantiques et poétiques.
Très bon film qui nous dirige bien là où il veut nous mener ,les dialogues ne sont pas nombreux mais c'est aussi ce qui fait le côté concret de ce film ,car on ne parle pas beaucoup dans la vie réelle , (sans arriver au stade de "Drive" ,où ça ne parle carrément pas...)
Enfin très belle surprise de ce réalisateur .Choisir son côté entre "science et spiritualité" pas loin du 5 sur 5...
Enfin très belle surprise de ce réalisateur .Choisir son côté entre "science et spiritualité" pas loin du 5 sur 5...
Tous ça pour ça ? Voilà ma première réaction a la fin de "I Origins". Déjà la classification du film est en partie fausse, on peut lire Science-Fiction, Drame mais c'est plus une romance qu'autre chose pendant la première moitié du film, et alors que c'est niais !!!! Olala des phrases philosophique sur l'amour, des embrassade et roulage de pelle qui, mit bout a bout doivent bien faire 10 minutes de film, et alors le personnage de Sofi est insupportable, elle nous sort ces fameuses phrases spirituel à tout bout de chants (phrase que l'on pourrais facilement retrouver sur un arrêt de bus ou dans les feux de l'amour), elle ce prend pour le messie qui prêche la bonne parole et à un melon surdimensionné.
spoiler:
(Je jure que j'ai été absolument ravi de sa mort)
Une scène d'ailleurs grotesque qui ne sert que d'aide pour la conclusion du film, une facilité scénaristique qui ce rajoute aux incohérences des agissements des protagoniste (Ian veut ce marié avec Sofi mais avoue plus tard qu'il comptais mettre un terme a leur relation, le même Ian qui part à plusieurs centaine de kilomètre pour suivre une adresse d'une photo vue durant le test de son fils... pourquoi ?...) , le film est aussi bourré de "comme par hasard" !!!! spoiler: ( comme par hasard c'est leurs bébé qui est identifié par la machine a la maternité, comme par hasard Ian Grey tombe sur la gamine, comme par hasard il prenne l’ascenseur pour descendre du bâtiment mais ne l'on donc apparemment pas pris pour monté)
Le film nous développe plusieurs intrigue différentes qui s'avère inutile. Tous une partie du film (la moitié même) nous parle d'un sujet qui ne sert strictement a rien pour le dénouement spoiler: (Toue cette histoire de créé un oeuil ? a quoi ça sert ? Si ce n'est pour cette phrase pompeuse et entendu 1000 fois de "C'est dangereux de ce prendre pour dieu")
. On commence donc à être intrigué et a rentré dans le film après 1H00 de visionnage plat et pompeux. Et finalement le film qui nous pose une question au début, nous y répond a la fin d'une façon claire sans que l'on puissent interprété quoi que ce soit. C'est trop simple, trop dans les rail, ou est la surprise ? et surtout on est en droit de demander "Ok, et après ?" Après qu'est ce qu'on fait de cet info ? C'est beau et tous mignons, mais mise a part les 2-3 phrases de philosophie de comptoir que l'on entend ici et là, il n'y as rien. C'est le vide total sur comment l'humanité va utilisé cette découverte et les répercutions que ça peut avoir. Bref je n'est pas du tout accroché a ce récit sur l'amour et la spiritualité, qui sous ses air de grand film philosophique n'est rien d'autre qu'une histoire d'amourette qui ne fait qu’effleuré son sujet principale.
Une scène d'ailleurs grotesque qui ne sert que d'aide pour la conclusion du film, une facilité scénaristique qui ce rajoute aux incohérences des agissements des protagoniste (Ian veut ce marié avec Sofi mais avoue plus tard qu'il comptais mettre un terme a leur relation, le même Ian qui part à plusieurs centaine de kilomètre pour suivre une adresse d'une photo vue durant le test de son fils... pourquoi ?...) , le film est aussi bourré de "comme par hasard" !!!! spoiler: ( comme par hasard c'est leurs bébé qui est identifié par la machine a la maternité, comme par hasard Ian Grey tombe sur la gamine, comme par hasard il prenne l’ascenseur pour descendre du bâtiment mais ne l'on donc apparemment pas pris pour monté)
Le film nous développe plusieurs intrigue différentes qui s'avère inutile. Tous une partie du film (la moitié même) nous parle d'un sujet qui ne sert strictement a rien pour le dénouement spoiler: (Toue cette histoire de créé un oeuil ? a quoi ça sert ? Si ce n'est pour cette phrase pompeuse et entendu 1000 fois de "C'est dangereux de ce prendre pour dieu")
. On commence donc à être intrigué et a rentré dans le film après 1H00 de visionnage plat et pompeux. Et finalement le film qui nous pose une question au début, nous y répond a la fin d'une façon claire sans que l'on puissent interprété quoi que ce soit. C'est trop simple, trop dans les rail, ou est la surprise ? et surtout on est en droit de demander "Ok, et après ?" Après qu'est ce qu'on fait de cet info ? C'est beau et tous mignons, mais mise a part les 2-3 phrases de philosophie de comptoir que l'on entend ici et là, il n'y as rien. C'est le vide total sur comment l'humanité va utilisé cette découverte et les répercutions que ça peut avoir. Bref je n'est pas du tout accroché a ce récit sur l'amour et la spiritualité, qui sous ses air de grand film philosophique n'est rien d'autre qu'une histoire d'amourette qui ne fait qu’effleuré son sujet principale.
Magnifique, un film intelligent, émouvant, le sujet est traité d'une facon exceptionelle, ce chef d'oeuvre m'a littéralement bouleversé.
Sublime. Merveilleux. Enfin un film qui traite dignement le sujet qui me passionne le plus ici-bas...
Ne ratez pas la fin du film qui est en réalité après les crédits de fin du générique.
Ne ratez pas la fin du film qui est en réalité après les crédits de fin du générique.
ou comment un scientifique athée devient peu à peu, non pas croyant, mais moins athée, juste parce que des gens ont les même pupilles que d'autres. creux, et frisant le ridicule, mais tout de même plutôt distrayant.
Raphaël O
Ce film de science-fiction mêlé au dramatique et remettant en cause les fondements même de la science et de la religion repose sur un scénario original, audacieux, captivant, poétique, et servi par un casting de choix. Un très bon film !
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