Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Gala
par Juliette Serfati
Le nouveau film de Ken Loach, qui passe pour être le dernier, est un moment de pur bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ken Loach signe un beau film, assez classique, avec ce qu'il faut d'injustices et de romantisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Sous une apparence légère, son histoire dénonce une intolérance, un arbitraire et une bêtise qui n'ont pas disparu au XXIe siècle.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Il faut voir comment Loach filme les scènes de groupe, une de ses grandes spécialités, celles de danse notamment, avec les musiciens qui jouent "en direct". Quant à la reconstitution d'époque, elle est exécutée brillamment (...).
La Croix
par Arnaud Schwartz
Moins violent que "Le Vent se lève", tour à tour grave, drôle, enlevé, inquiet, tragique ou emmené sur les berges d’une romance inaccomplie, Jimmy’s Hall", avec ses paysages magnifiques, est avant tout un beau film, inspiré et inspirant (...)
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un pur Ken Loach, droit dans ses bottes engagées et plein d’humour et de chaleur humaine.
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Jimmy's Hall" ne cède pas un pouce sur le terrain des idées tout en faisant une place inattendue à des sentiments et des sensations - la nostalgie, le plaisir, le découragement - plutôt inhabituels dans l'univers de Ken Loach.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Comme souvent dans les films historiques de Loach, la direction d’acteurs est assez figée, les dialogues très didactiques. Mais au milieu de ce théâtre un peu engoncé, le film prend vie à plusieurs occasions.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Marilyne Letertre
Intelligent sans être élitiste, touchant sans être mélo, et brillamment interprété par un Barry Ward au charme réservé, "Jimmy's Hall" tire sa force de sa simplicité et de sa sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une chronique dopée de bons sentiments, mais convaincante et attachante.
Positif
par Eithne O'Neill
A l'écran, l'apprentissage du gaélique et de la boxe constituent une affirmation de la vie pour former, détachée de l'intrigue, une mise en abyme sublimée de la performance, de l'art cinématographique, voire de l'œuvre de Loach. Un beau film romantique.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Cécile Mury
(...) Ken Loach réserve toute sa grâce et sa tendresse (...) mélange unique d'âpreté réaliste et de pudeur (...). Il profite aussi, bien sûr, de ces luttes de jadis pour développer un discours à peine masqué sur l'individualisme du monde contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Classique, pro, édifiant et plaisant.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le film n'est jamais à la hauteur de son ambition humaniste.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Eh non, un film de Ken Loach n'est pas forcément un chef-d'oeuvre.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Dans la continuité du “Vent se lève”, le nouveau film de Ken Loach est à la fois doux et tragique, tel une musique entendue au loin dans la verdure irlandaise.
Première
par Christophe Narbonne
Malgré son centre de gravité bancal, le film parvient tout de même à susciter l’émotion, au détour d’une séquence de danse pendant laquelle le temps semble s’arrêter ou lors d’un plan final chargé de symboles.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Les vicissitudes d’un militant irlandais passionné de musique, harcelé par l’Église catholique. Une critique de la bêtise intégriste, mineure dans la filmographie de Loach mais salutaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Eva Markovitz
Dans cette tentative de normalisation, le réalisateur prive également le militant d’ascendance sur les obstacles, ce qui en fait trop souvent une victime, au risque de flirter dangereusement avec le manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le bilan reste mitigé, comme si Loach passait à côté d'un sujet qui lui tient à cœur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Cette longue chronique irlandaise a un air de déjà-vu.
TF1 News
par Romain Le Vern
On espérait retrouver le vétéran Ken Loach (78 ans) dans une forme olympique, celui de Family Life" (1971) par exemple. Mais "Jimmy's Hall" ressemble à une caricature de son cinéma et n'échappe pas aux travers de ses derniers longs métrages: démonstratif et poussiéreux comme le cinéma de papa.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Aux sélectionneurs cannois de nous expliquer comment ce film sentant la naphtaline a pu atterrir en compétition du plus prestigieux -festival du monde.
Gala
Le nouveau film de Ken Loach, qui passe pour être le dernier, est un moment de pur bonheur.
Le Parisien
Ken Loach signe un beau film, assez classique, avec ce qu'il faut d'injustices et de romantisme.
20 Minutes
Sous une apparence légère, son histoire dénonce une intolérance, un arbitraire et une bêtise qui n'ont pas disparu au XXIe siècle.
L'Obs
Il faut voir comment Loach filme les scènes de groupe, une de ses grandes spécialités, celles de danse notamment, avec les musiciens qui jouent "en direct". Quant à la reconstitution d'époque, elle est exécutée brillamment (...).
La Croix
Moins violent que "Le Vent se lève", tour à tour grave, drôle, enlevé, inquiet, tragique ou emmené sur les berges d’une romance inaccomplie, Jimmy’s Hall", avec ses paysages magnifiques, est avant tout un beau film, inspiré et inspirant (...)
Le Dauphiné Libéré
Un pur Ken Loach, droit dans ses bottes engagées et plein d’humour et de chaleur humaine.
Le Monde
"Jimmy's Hall" ne cède pas un pouce sur le terrain des idées tout en faisant une place inattendue à des sentiments et des sensations - la nostalgie, le plaisir, le découragement - plutôt inhabituels dans l'univers de Ken Loach.
Les Inrockuptibles
Comme souvent dans les films historiques de Loach, la direction d’acteurs est assez figée, les dialogues très didactiques. Mais au milieu de ce théâtre un peu engoncé, le film prend vie à plusieurs occasions.
Metro
Intelligent sans être élitiste, touchant sans être mélo, et brillamment interprété par un Barry Ward au charme réservé, "Jimmy's Hall" tire sa force de sa simplicité et de sa sobriété.
Ouest France
Une chronique dopée de bons sentiments, mais convaincante et attachante.
Positif
A l'écran, l'apprentissage du gaélique et de la boxe constituent une affirmation de la vie pour former, détachée de l'intrigue, une mise en abyme sublimée de la performance, de l'art cinématographique, voire de l'œuvre de Loach. Un beau film romantique.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
(...) Ken Loach réserve toute sa grâce et sa tendresse (...) mélange unique d'âpreté réaliste et de pudeur (...). Il profite aussi, bien sûr, de ces luttes de jadis pour développer un discours à peine masqué sur l'individualisme du monde contemporain.
Voici
Classique, pro, édifiant et plaisant.
CinemaTeaser
Le film n'est jamais à la hauteur de son ambition humaniste.
La Voix du Nord
Eh non, un film de Ken Loach n'est pas forcément un chef-d'oeuvre.
Les Fiches du Cinéma
Dans la continuité du “Vent se lève”, le nouveau film de Ken Loach est à la fois doux et tragique, tel une musique entendue au loin dans la verdure irlandaise.
Première
Malgré son centre de gravité bancal, le film parvient tout de même à susciter l’émotion, au détour d’une séquence de danse pendant laquelle le temps semble s’arrêter ou lors d’un plan final chargé de symboles.
aVoir-aLire.com
Les vicissitudes d’un militant irlandais passionné de musique, harcelé par l’Église catholique. Une critique de la bêtise intégriste, mineure dans la filmographie de Loach mais salutaire.
Critikat.com
Dans cette tentative de normalisation, le réalisateur prive également le militant d’ascendance sur les obstacles, ce qui en fait trop souvent une victime, au risque de flirter dangereusement avec le manichéisme.
Franceinfo Culture
Le bilan reste mitigé, comme si Loach passait à côté d'un sujet qui lui tient à cœur.
Le Journal du Dimanche
Cette longue chronique irlandaise a un air de déjà-vu.
TF1 News
On espérait retrouver le vétéran Ken Loach (78 ans) dans une forme olympique, celui de Family Life" (1971) par exemple. Mais "Jimmy's Hall" ressemble à une caricature de son cinéma et n'échappe pas aux travers de ses derniers longs métrages: démonstratif et poussiéreux comme le cinéma de papa.
Cahiers du Cinéma
Aux sélectionneurs cannois de nous expliquer comment ce film sentant la naphtaline a pu atterrir en compétition du plus prestigieux -festival du monde.