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    Macbeth
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    183 critiques spectateurs

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    Kloden
    Kloden

    126 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mars 2016
    Le deuxième film de Justin Kurzel est une adaptation de Shakespeare à la modernité revendiquée, dont l'esthétisation outrancière rejoint de façon idoine les différences que son propos creuse avec la pièce. Celles-ci tiennent pour les résumer dans une aura morbide constante qui plane sur cette version et un scénario à la folie continuelle qui s'éloigne un peu de l'oeuvre du dramaturge anglais, qui regardait son personnage avec un recul moral que n'a pas le film de Kurzel, qui semble avoir cédé au désespoir. Si je disais que sa modernité rejoignait cette relecture novatrice, c'est que tous ses excès aux antipodes d'un classicisme qu'on juge souvent de rigueur pour adapter Shakespeare (avec un peu trop de déférence, à mon goût) semble converger avec la force d'une implosion vers une emphase qui donne corps au désespoir ultime et définitif qui cimente le film. Dans cette lande fantomatique, Macbeth semble guidé par la mort avant même de s'y être lié par le pacte que l'on connait. Les hommes, séparés mêmes les uns à côté des autres par une brume oppressante, font l'effet de cadavres guidés seulement par la peur et par l'ordre des choses, qu'ils ne peuvent renverser. Tous les choix formels appuyés à l'extrême (les filtres, les ralentis, l'austérité de la photo et la rigidité dans la composition des plans) dépassent donc de très loin l'aspect poseur qu'on pouvait craindre à l'origine pour trouver corps dans une réalité unique, comme un bloc, qui capte et emprisonne le récit qu'il déroule de façon mortifère, sans échappatoire. Cette vision hantée, hallucinante par moments, est malheureusement à mes yeux un chouïa desservie par le scrupuleux respect des vers de Shakespeare. Globalement retranscris tels quels bien qu'amoindris par certaines ellipses, les vers de la pièce sont utilisés pour renforcer le sentiment de désincarnation que Kurzel peaufine : l'australien cherche sans doute à dépasser la pièce originelle en la segmentant pour la déséquilibrer et en rendre une copie à première vue légèrement imparfaite qui ne cache en fait qu'une belle réappropriation : à laisser dans l'oubli certains passages, il laisse s'immiscer de son oeuvre vers la pièce le sentiment de mort et de perte ubiquitaires qui sont la clé de voûte de tout l'ensemble. Aidée par les siècles écoulés, cette version fidèle mais amoindrie donne à sentir que même le recul de l'auteur s'est évaporé ; que la tragédie n'est pas amorcée par un meurtre que l'on réprouve et dont on décrit les conséquences mortifères, mais qu'elle est antérieure, plus ancienne, à tel point qu'on a oublié sa raison et que devant le marasme de peur qu'est la vie humaine, la folie est dès le départ la seule option qui s'offre à l'homme. L'oppression globale s'en trouve insidieusement renforcée, mais pourtant, comme je l'ai déjà dit plus haut, je trouve que la fidélité dessert le film quant à l'impression immédiate, même si elle le renforce sur la durée. Même si il le dévoie à des fins neuves et percutantes qu'il a assez de talent pour rendre justifiables, Justin Kurzel n'effacera en effet pas Shakespeare, et l'ombre de son écriture plane sur le film, me faisant parfois l'effet d'un élément pas tout à fait intégré. La faute en incombe à l'image, qui, devant la force et le sens évocateur évident des répliques (Shakespeare, quoi) est parfois réduite à paraphraser le texte, où à l'encadrer platement sans arriver à lui donner de la vie par peur de trop en faire. L'origine théâtrale de ces lignes refait alors parfois surface, et Macbeth flirte avec la grandiloquence pompeuse qu'il sait autrement si bien tourner en grandeur. Puis tout, dans ces répliques, est amené un peu trop frontalement, quant le cinéma demande plus de non-dit et de retenue pour trouver sa respiration. Kurzel l'a d'ailleurs bien compris, puisqu'il ménage de longues plages de silence absolu entre ces tirades d'une densité rare. L'oeuvre est alors quelque peu bancale, et manque de développer l'aura avec laquelle elle flirte. Fassbender et Cotillard, en revanche, sont époustouflants d'épaisseur, surtout en ce qui concerne l'irlando-allemand qui n'a peut-être jamais été aussi bon, à part chez Steve McQueen. Bref, Macbeth est une oeuvre ambitieuse qui flirte avec la grandeur, et l'atteint au moins par séquences. Je trouve quand même qu'elle n'arrive pas tout à fait à trouver sa voie.
    Morgan Blaise
    Morgan Blaise

    3 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mars 2016
    Que dire du film le plus sous-estimé de cette année 2015 ? Splendide. Je découvre un Michel Fassbender superbe qui est accompagné d'une Marion Cotillard aussi poignante que dans Inception. La photographie du film est l'une des plus belle qui m'a été donnée de voir et l'ensemble du film est un chef d'oeuvre. Le seul petit bémol est la lourdeur des discours de Shakespeare pour un citoyen de 2015. Bien entendu, je ne me permettrai jamais de critiquer un telle oeuvre, mais il faut tout de même s'accrocher pour suivre cette pièce de théâtre du début à la fin et en comprendre le sens. La lecture du résumé de l'oeuvre avant le visionnage du film n'est pas forcement inutile pour bien apprécier cette oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 mars 2016
    Porte par Michael Fassbender exceptionnelle le film patine par môment mais offre de grands moments de folie grâce à son acteur principal... Pas marquant mais prenant quelquefois. A voir
    Raphaël O
    Raphaël O

    147 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mars 2016
    La photographie, les décors et les costumes de cette adaptation de l'oeuvre de Shakespeare sont superbes et le duo Fassbender / Cotillard est excellent, mais le récit est ennuyeux et les répliques difficiles à cerner semblent tout droit sorties d'une autre époque, une époque révolue. La délivrance arrive quand vient le générique.
    Shephard69
    Shephard69

    338 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 février 2016
    Un film pas forcément facile d'accès par ses dialogues très lyriques, littérale retranscription de la pièce originale de Shakespeare mais totalement envoûtant pour sa photographie absolument magnifique, d'une richesse assez hallucinante. Dans un casting impressionnant avec les excellents Paddy Considine et Sean Harris, Michael Fassbender, dans sa plongée dans la psychose paranoïaque du pouvoir, et Marion Cotillard en épouse avide de pouvoir et de vengeance livrent tous deux des prestations de haut vol. Quelques plans somptueux comme la bataille dans la scène d'ouverture. Une oeuvre à classer quelque part entre "Braveheart" pour sa fresque épique et "Le guerrier silencieux" de Nicolas Winding Refn pour son atmosphère brumeuse. Probablement la claque cinématographique de ce début d'année.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 février 2016
    Pour moi l'un des plus beaux films de 2015. Les acteurs, l'image, la mise en scène, les décors, les costumes et, bien sûr, le texte de Shakespeare, j'ai tout aimé. spoiler: La scène de la mort de
    Lady Macbeth est sublime.
    FaRem
    FaRem

    8 709 abonnés 9 565 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 janvier 2016
    J'aurais pu le deviner, mais si j'avais su qu'il s'agissait d'une adaptation "fidèle" avec les vrais dialogues, je me serai abstenu, car je n'accroche pas du tout à cet exercice-là comme ça avait été le cas pour "Roméo Juliette" et "Coriolanus" qui étaient déjà des adaptations d'une oeuvre de Shakespeare. Au-delà des dialogues qui sont un vrai frein pour moi, le film a quelque chose d'assez fascinant avec la réalisation et la mise en scène qui sont très soignées, mais entre le fascinant et le soporifique, il n'y a ici qu'un pas et malheureusement le film est vraiment ennuyeux la faute à un rythme lent et une histoire trop poussive qui semble interminable. Décidément, ces adaptations ne sont pas faites pour moi.
    elriad
    elriad

    437 abonnés 1 863 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 janvier 2016
    Flamboyant ! un qualificatif approprié pour décrire ce film au souffle puissant.
    Il y a d'abord la langue de Shakespeare, unique, foisonnante, magnifiant chaque chose:

    Macbeth: – Où en est la nuit?
    Lady Macbeth: – Elle commence à lutter avec le matin. »

    Il y a le couple Fassbender/Cotillard qui porte sur leurs épaules ces personnages sombres et sanglants, machiavéliques et pétris de culpabilité.
    Et puis il a les paysages des Highlands, désolés, démesurés, livrés au vent et à la fureur.
    Il y a enfin la photo, la lumière, le détail...
    Le film de Justin Kurzel est passionnant de bout en bout sur la forme comme sur le fond, une tragédie qui se jour devant nos yeux et laisse longtemps après la fin du générique un goût corsé. Un véritable coup de cœur !
    eldarkstone
    eldarkstone

    224 abonnés 2 082 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 janvier 2016
    Les images sont sublimes, les acteurs assez convainquants, mais les dialogues, trop poetiques et Shakespeariens rendent l'ensemble bien difficile a suivre et a comprendre, c'est dommage et gache un peu trop le tout ...
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    398 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2016
    Certes adapter Shakespeare à l’écran reste ambitieux, encore faut il lui donner du relief en terme de mise en scène, Kurzel semble avoir choisit de lui imputer dans sa forme, graphiquement somptueux (la dernière séquence avec ces nuances de rouge est une tuerie absolue) avec des paysages hors du temps, des cadres très étudiés, ça m’a beaucoup rappelé "Valhalla Rising" de Refn. Mais à l’inverse de ce dernier qui avait une approche spirituelle et avant tout contemplative cette version de Macbeth a pour obligation de nous donner une véritable dramaturgie, que les personnages en soient le moteur, Fassbender m’a convaincu bien que l’inversion du rôle parait abrupte, et je ne parle pas de celui de Cotillard qui dépeint trop de fragilité par rapport au machiavélisme de la figure shakespearienne, le modernisme du traitement fait un peu tomber le récit et la mécanique dramatique dans une certaine futilité "impure". Il y a un distinguo évident entre le fond et la forme, parfois alourdi par la prose avec une caméra qui ne peut s’empêcher de bouger inutilement (quelquefois l’impression de voir du Malick), le tout peine à trouver son rythme de croisière, au final le film agit par fulgurances, fort heureusement de très bonnes fulgurances, je pense notamment à l’apparition des trois sorcières dans la brume de la lande ou la séquence du diner avec celle du spectre de Banquo. Il y a de l’audace dans la façon de filmer les combats avec les slowmotions mais on dirait davantage un outil pour volontairement apporter du spectaculaire, et vu qu’on sait que Kurzel va porter à l’écran "Assassin’s Creed" ce "Macbeth" s’avère possiblement être un film-test concept, ce qui fait un peu m’as-tu-vu et sur-ostentatoire.
    En conclusion je dirais que cette adaptation reste plutôt maladroite mais tellement belle et assez intense avec un Fassbender qui porte passionnément son personnage qu’elle en est tout de même plaisante.
    vincenzobino
    vincenzobino

    117 abonnés 390 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2016
    Étrange OVNI que ce MacBeth version XXIème siècle.
    Adapter le classique de Shakespeare s'avère une tâche bien difficile, d'autant plus quand on a en tête le chef-d'œuvre de Welles. Justin Kurzel, réalisateur australien quasi inconnu se distingue de son illustre prédécesseur par une photographie exceptionnelle, qu'il s'agisse de paysages ou de champs de bataille et par un ton théâtral proche du monologue.
    Ce choix en déroutera plus d'un a n'en pas douter: la première demi-heure est une succession de sauts intertemporels du récit et si vous ne connaissez pas l'œuvre, vous pouvez décrocher par moments. Étrange également que cette illustration de la folie par une teinte claire donnant l'impression diabolique quelque peu kitsch.
    Mais alors, quelle direction d'acteurs: Fassbender dans le rôle-titre dégage la soif de pouvoir de son personnage (la comparaison avec Steve Jobs n'en sera que plus intéressante) et Marion Cotillard est assez bluffante en Lady diabolique avec un accent shakespearien remarquable.
    Niveau écriture, rien a redire si ce n'est, peut-être une séquence finale a rallonge quelque peu exagérée et dont l'interprétation proche d'un comic est quelque peu malvenue compte tenu du contexte.
    Expérience a tenter pour public quelque peu averti...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 janvier 2016
    Rarement je n’ai pu utilisé qu’un seul mot pour réussir à qualifier un film et pourtant « on ne dit jamais : fontaine je ne boirais pas de ton eau » car un terme me suffira ici : PUISSANT. Et s’il suffit, c’est qu’il arrive à qualifier tous les aspects de ce film magistral dont on ne peut retenir que l’aboutissement d’une justesse comme rarement cela m’a été donné d’en voir.

    Contrairement aux critiques que la pauvre française doit subir très régulièrement, son jeu d’actrice est à la hauteur du rôle qu’elle incarne. Oui, c’est de l’incarnation dans toutes les nuances que lui impose le paradoxe du personnage, de ses sentiments et de sa relation à son époux. Lady Macbeth tourmentée, détruite, ambitieuse et maudite. Les mots n’ont que peu de valeurs dans la bouche de Marion Cotillard quand seuls sa présence et son regard suffisent à interpréter la folie, la déception, la déchéance, etc. Lady Macbeth est un rôle compliqué à tenir tant toutes les facettes sont contradictoires, ambiguës, distancées et amplifiées simultanément. Marion Cotillard a réussi ce rôle, on lui doit bien cela. Mais l’autre réussite qu’on doit lui accorder également, c’est celle d’amplifier la magistrale voire inégalable prestation de Michael Fassbender dont je ne me remets toujours pas tant rien n’aurait pu être mieux acté. Je crois que de tous les films de l’année, de toutes les interprétations récentes que j’ai pu voir, il est le seul – à ce jour – à mériter un oscar (sachant qu'il n'est même pas nommer, bref). Déjà parce que oui, c’est du classique de Shakespeare en version biopic américain tendance indépendante … je ne sais pas ce qu’il vous faut de plus ?
    Toute la construction du film repose exclusivement sur ce que dégage Fassbender au point d’être présent même en son absence à l’écran.

    Mais ici, il ne s’agit pas d’une simple adaptation telle qu’on a pu déjà en voir des tas mais plutôt d’une retranscription de la pièce sur le support cinématographique où nous ne sommes pas des spectateurs mais incarnons l’humanité de ses personnages en leurs splendides faiblesses. Écorchés vifs, âmes torturées, corps arrachés au sacrifice d’un rêve, nous sommes le sol sur lequel les guerres se déroulent, les croix qui font se mettre à genoux les peuples priant, nous sommes les éléments et le néant car chaque plan du film nous renvoie dans une position imaginaire qui nous invite, nous, à nous interroger. Toute chose y est amplifiée à son paroxysme : le sombre et le clair, le jeu des rouges, des jaunes, des oranges en fonction de l’état d’âme de Macbeth. Les ralentis et les moments morts nous font serrer les dents pour celui qui plante une épée dans la chair, les sons lourds répétés continuellement sur la durée du film nous entraînent à maudire, à haïr, à perdre pied et raison au profit d’une chose qu’on ne peut nommer, qu’on ne sait nommer.

    Toutefois, malgré la grandeur des choix, du casting, de la bande-originale et de la puissance générale qui se dégage de cette atmosphère oscillant entre le malsain, la folie et l’incarnation humaine, nous sommes loin d’une œuvre grand-public. C’est même très clairement l’opposé, plutôt dans un registre indépendant malgré la grosse production qui suit. Le film est construit et repose sur de très nombreux codes « culturels » pour bien comprendre le sens de cette production en l’état, de cette retranscription plutôt qu’adaptation comme je le disais. Et pour cause, si vous n’êtes pas habitué-e-s ou connaisseur-s des œuvres de Shakespeare, des pièces de théâtres en trois actes, ne vous y tentez même pas. Les moments de silence sont intenses pour accentuer les tambours, les monologues rares sont étendus dans des débits de parole déconstruits mais qui reflètent encore une fois l’état d’esprit de la tragédie que doit être Macbeth dans l’ensemble de sa vie. Si le film ne s’arrête que sur une partie du personnage, sur un format atteignant presque les deux heures, on ressent toute la construction du classicisme théâtral anglais et ça rend le tout incroyable.

    Chaque image, chaque son, chaque moment, chaque regard, chaque souffle, chaque mouvement, chaque couleur, chaque claquement, chaque cri, chaque larme, chaque temps, chaque silence, chaque rire, chaque détournement, chaque toucher … incarnés à l’état de perfection avec une grande puissance qui ne pouvait être mieux réalisé.

    J’en perds sans doute toute objectivité tant j’ai trouvé cette construction absolument démentielle et réalisée avec génie. Je ne m’attendais pas à une si grande réussite qui dans les traits les plus classiques a su raviver toute la réalité contemporaine de la nature humaine dans sa plus grande complexité.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    413 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 janvier 2016
    Macbeth est une oeuvre réputée inadaptable tant son langage élégant est particulier. Justin Kurzel tente d'insuffler un peu d'épique dans son long-métrage, jusqu'à un ennui profond du spectateur. Son adaptation trop ambitieuse nuit aux rares instants de folie, qui auraient pourtant pu être fantastiques. Dommage. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 janvier 2016
    Deux étoiles pour le jeu des acteurs et les beaux paysages.
    ON subit le film du début jusqu'à la fin , les dialogues sont pompeux.
    Une fois le film terminé, un soulagement .
    dede50
    dede50

    3 abonnés 236 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 avril 2016
    J'ai décroché au bout de 20 minutes, esthétiquement c'est très beau même si les effets ralentis deviennent vite lassant, de plus les dialogues façon théâtre gâche complétement ce film. Vraiment dommage car les deux acteurs sont très bons et l'histoire intéressante.
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