Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Télérama
par Pierre Murat
POUR : L'épure des paysages écossais et la lutte que le réalisateur instaure entre l'obscurité des décors et le rouge des meurtres et des incendies ne manquent pas de grandeur. Une grandeur qu'accentue, à chaque instant, un Michael Fassbender époustouflant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La Rédaction
Magistralement interprété par un casting internationnal (...).
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Une sublime adaptation de Shakespeare. Une expérience.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
On demeure hanté durablement par ses images, enivrés par les vertiges qu’il provoque.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Shakespeare grand écran, couleurs sombres et rouge sang, dans une descente aux enfers vaillamment assumée par le duo Fassbender- Cotillard.
Metro
par Marilyne Letertre
Première réussite : un respect total du texte, dans la forme et l'esprit. Le metteur en scène place la langue et les acteurs au-dessus de tout. (...) La mise en scène est en revanche un peu plus grandiloquente. Apparemment fasciné par son décor rugueux et dépouillé, Justin Kurzel surexploite légèrement filtres (rouges de préférence), brume et ralentis.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Christophe Narbonne
De la version de Welles, Justin Kurzel, cinéaste australien maniériste, a conservé une certaine grandiloquence et un sens de l’esthétisme poussé; de celle de Polanski, une fascination pour la violence et la morbidité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La rédaction
Le réalisateur austalien, qui ne donne pas dans la guimauve, est fidèle à la violence de la pièce. Avec un esthétisme visuel extrême, certes, mais superbe.
Critikat.com
par Ursula Michel
Macbeth se veut une lecture singulière de l’œuvre de Shakespeare, une expérience plus sensorielle que réflexive, un pari risqué mais terriblement séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par La Rédaction
Une adaptation audacieuse de la tragédie de Shakespeare, dont l'esthétisme fait la grandeur et parfois les limites.
Le Monde
par Noémie Luciani
Le texte semble le (le cinéaste australien) frapper de fureur autant qu'il l'inspire. Il laisse les mots du vieil Anglais intacts mais s'y ménage brutalement de grands silences pour donner une chance à sa mise en scène d'exister autrement que dans l'ombre des vers.
Paris Match
par Alain Spira
L’ensemble est formellement travaillé à l’extrême. Un peu trop, même. Un too much qui est le bienvenu dans les séquences de batailles dantesques qu’il nous offre, mais qui nuit à l’émotion dans les scènes de tragédie en écrasant les répliques des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Frédéric Mercier
Féminin, grâcieux, à rebours de ce film lourd et terrien, Fassbender compose l'un des plus convaincants Macbeth du répertoire.
Télérama
par Fabienne Pascaud
CONTRE : Détournement romantique comme déjà chez feu Orson Welles ? On s'en moquerait s'il n'était associé à des effets kitsch, ridicules de grandiloquence. Macbeth est une pure brute, et c'est cela, justement, qui est magnifique, insoutenable. Mais tellement plus difficile et risqué à mettre en scène
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par La Rédaction
Michael Fassbender est très bien, Marion Cotillard aussi, dans ce rôle dont rêve toute actrice. Les morceaux de bravoure sont emportés. Seulement, on ne se sent guère concerné par ces passions, par ces excès, par ce film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
C'est cependant d'un point de vue dramaturgique que la vision de Kurzel est la plus discutable. Transformer Macbeth en combattant cassé, atteint par une sorte de stress post-traumatique apparaît maladroitement anachronique.
TF1 News
par Jérémy Ponthieux
Invitant de toutes les manières possibles à saisir l'ampleur de sa production, Kurzel parvient à laisser échapper ça et là l'essence d'un film monstre. (...) Malheureusement, c'est cette même prétention qui pourra rendre hermétique aux choix radicaux opérés par son réalisateur et qui ne laissent guère imaginer un tel long-métrage dans les hauteurs d'un palmarès cannois.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Macbeth de Kurzel, bel écrin de talents, n’arrive jamais à exister et à asseoir sa propre légitimité. C’est bien cela la tragédie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Kurzel s’ingénie à rendre les conflits dramatiques de la pièce illisibles à force de coupes et d’ellipses, pour ne privilégier qu’une transe visuelle et faire jouer un Michael Fassbender au même diapason de surrégime. Bref, beaucoup de bruit et de fureur pour rien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
POUR : L'épure des paysages écossais et la lutte que le réalisateur instaure entre l'obscurité des décors et le rouge des meurtres et des incendies ne manquent pas de grandeur. Une grandeur qu'accentue, à chaque instant, un Michael Fassbender époustouflant.
CNews
Magistralement interprété par un casting internationnal (...).
CinemaTeaser
Une sublime adaptation de Shakespeare. Une expérience.
Ecran Large
On demeure hanté durablement par ses images, enivrés par les vertiges qu’il provoque.
Le Dauphiné Libéré
Shakespeare grand écran, couleurs sombres et rouge sang, dans une descente aux enfers vaillamment assumée par le duo Fassbender- Cotillard.
Metro
Première réussite : un respect total du texte, dans la forme et l'esprit. Le metteur en scène place la langue et les acteurs au-dessus de tout. (...) La mise en scène est en revanche un peu plus grandiloquente. Apparemment fasciné par son décor rugueux et dépouillé, Justin Kurzel surexploite légèrement filtres (rouges de préférence), brume et ralentis.
Première
De la version de Welles, Justin Kurzel, cinéaste australien maniériste, a conservé une certaine grandiloquence et un sens de l’esthétisme poussé; de celle de Polanski, une fascination pour la violence et la morbidité.
Voici
Le réalisateur austalien, qui ne donne pas dans la guimauve, est fidèle à la violence de la pièce. Avec un esthétisme visuel extrême, certes, mais superbe.
Critikat.com
Macbeth se veut une lecture singulière de l’œuvre de Shakespeare, une expérience plus sensorielle que réflexive, un pari risqué mais terriblement séduisant.
La Croix
Une adaptation audacieuse de la tragédie de Shakespeare, dont l'esthétisme fait la grandeur et parfois les limites.
Le Monde
Le texte semble le (le cinéaste australien) frapper de fureur autant qu'il l'inspire. Il laisse les mots du vieil Anglais intacts mais s'y ménage brutalement de grands silences pour donner une chance à sa mise en scène d'exister autrement que dans l'ombre des vers.
Paris Match
L’ensemble est formellement travaillé à l’extrême. Un peu trop, même. Un too much qui est le bienvenu dans les séquences de batailles dantesques qu’il nous offre, mais qui nuit à l’émotion dans les scènes de tragédie en écrasant les répliques des personnages.
Transfuge
Féminin, grâcieux, à rebours de ce film lourd et terrien, Fassbender compose l'un des plus convaincants Macbeth du répertoire.
Télérama
CONTRE : Détournement romantique comme déjà chez feu Orson Welles ? On s'en moquerait s'il n'était associé à des effets kitsch, ridicules de grandiloquence. Macbeth est une pure brute, et c'est cela, justement, qui est magnifique, insoutenable. Mais tellement plus difficile et risqué à mettre en scène
L'Obs
Michael Fassbender est très bien, Marion Cotillard aussi, dans ce rôle dont rêve toute actrice. Les morceaux de bravoure sont emportés. Seulement, on ne se sent guère concerné par ces passions, par ces excès, par ce film.
Studio Ciné Live
C'est cependant d'un point de vue dramaturgique que la vision de Kurzel est la plus discutable. Transformer Macbeth en combattant cassé, atteint par une sorte de stress post-traumatique apparaît maladroitement anachronique.
TF1 News
Invitant de toutes les manières possibles à saisir l'ampleur de sa production, Kurzel parvient à laisser échapper ça et là l'essence d'un film monstre. (...) Malheureusement, c'est cette même prétention qui pourra rendre hermétique aux choix radicaux opérés par son réalisateur et qui ne laissent guère imaginer un tel long-métrage dans les hauteurs d'un palmarès cannois.
aVoir-aLire.com
Macbeth de Kurzel, bel écrin de talents, n’arrive jamais à exister et à asseoir sa propre légitimité. C’est bien cela la tragédie.
Les Inrockuptibles
Kurzel s’ingénie à rendre les conflits dramatiques de la pièce illisibles à force de coupes et d’ellipses, pour ne privilégier qu’une transe visuelle et faire jouer un Michael Fassbender au même diapason de surrégime. Bref, beaucoup de bruit et de fureur pour rien.