Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) [La réalisatrice] ne se contente pas de filmer une dérive, mais crée un climat, par exemple en situant certaines séquences dans des lieux picturalement forts (...). Tout cela contribue à poétiser ce simple récit d’initiation à la sensualité (et à la frustration).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Un premier long métrage prometteur, servi par une jeune actrice lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Pierre Murat
Gina Piersanti (...) ajoute, par sa réserve, une infinie mélancolie à cette éducation sentimentale qui tourne mal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Moins que par sa mise en scène, c’est dans son thème et son fil narratif qu’"It Felt Like Love" trouve toute sa force. La réalisatrice dresse le portrait touchant d’une jeune fille : vulnérable, commune, émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Maryne Baillon
À une mise en scène audacieuse et poétique, vient s'ajouter un scénario qui apporte un regard nouveau et plus ancré dans la réalité à une histoire intime et tendre sur la sexualité féminine.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Un territoire hyper balisé à l’intérieur duquel le film opère pourtant quelques décalages singuliers.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno Icher
Au crédit de ce premier film, outre la belle photo de Dagmar Weaver-Madsen (...), il y a une empathie fougueuse et désespérée à l’égard de cette enfant perdue (...). L’autre versant du film, plus gênant, relève d’une ambiguïté morale dont sa réalisatrice ne semble pas savoir très bien quoi faire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
Trop mutique et fragmentaire pour émouvoir, cette micro-odyssée sensorielle au goût amer parvient néanmoins à capter une atmosphère singulière.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Choisir de filmer l’adolescence et l’éveil des sens demande un rien d’originalité dans le propos et d’audace dans l’approche. Un but que la cinéaste n’atteint pas toujours mais face auquel elle affirme déjà une belle personnalité d’auteur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
Aussi âpre dans son sujet que dans sa construction, "It felt like love" est un constat glacé sur l’appréhension de la sexualité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Les deux dernières séquences confirment le pire, d’abord avec l’inévitable humiliation de l’héroïne, qui de plus ne prépare en rien à une scène de danse masquée se voulant onirique mais s’écroulant sous le poids du vouloir-dire et du faire-cinéma.
Le Monde
par Sandrine Marques
(...) un premier film qui finit par être victime de sa posture allusive, autant que de son style et de son écriture très "indé".
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Adrien Gombeaud
"It Felt Like Love" paraît bien peu incarné. L'intensité du scénario desparaît sous des partis pris de mise en scène sclérosants (...)
L'Humanité
(...) [La réalisatrice] ne se contente pas de filmer une dérive, mais crée un climat, par exemple en situant certaines séquences dans des lieux picturalement forts (...). Tout cela contribue à poétiser ce simple récit d’initiation à la sensualité (et à la frustration).
Les Fiches du Cinéma
Un premier long métrage prometteur, servi par une jeune actrice lumineuse.
Télérama
Gina Piersanti (...) ajoute, par sa réserve, une infinie mélancolie à cette éducation sentimentale qui tourne mal.
Critikat.com
Moins que par sa mise en scène, c’est dans son thème et son fil narratif qu’"It Felt Like Love" trouve toute sa force. La réalisatrice dresse le portrait touchant d’une jeune fille : vulnérable, commune, émouvante.
Ecran Large
À une mise en scène audacieuse et poétique, vient s'ajouter un scénario qui apporte un regard nouveau et plus ancré dans la réalité à une histoire intime et tendre sur la sexualité féminine.
Les Inrockuptibles
Un territoire hyper balisé à l’intérieur duquel le film opère pourtant quelques décalages singuliers.
Libération
Au crédit de ce premier film, outre la belle photo de Dagmar Weaver-Madsen (...), il y a une empathie fougueuse et désespérée à l’égard de cette enfant perdue (...). L’autre versant du film, plus gênant, relève d’une ambiguïté morale dont sa réalisatrice ne semble pas savoir très bien quoi faire.
Première
Trop mutique et fragmentaire pour émouvoir, cette micro-odyssée sensorielle au goût amer parvient néanmoins à capter une atmosphère singulière.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Choisir de filmer l’adolescence et l’éveil des sens demande un rien d’originalité dans le propos et d’audace dans l’approche. Un but que la cinéaste n’atteint pas toujours mais face auquel elle affirme déjà une belle personnalité d’auteur.
aVoir-aLire.com
Aussi âpre dans son sujet que dans sa construction, "It felt like love" est un constat glacé sur l’appréhension de la sexualité.
Cahiers du Cinéma
Les deux dernières séquences confirment le pire, d’abord avec l’inévitable humiliation de l’héroïne, qui de plus ne prépare en rien à une scène de danse masquée se voulant onirique mais s’écroulant sous le poids du vouloir-dire et du faire-cinéma.
Le Monde
(...) un premier film qui finit par être victime de sa posture allusive, autant que de son style et de son écriture très "indé".
Positif
"It Felt Like Love" paraît bien peu incarné. L'intensité du scénario desparaît sous des partis pris de mise en scène sclérosants (...)