Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Récit christique, dénonciation de la mythologie de puissance, "Aux mains des hommes" rejoint l'un des chefs-d'oeuvre du cinéma allemand, "le Dernier des hommes" (1924). Entre les deux films, un trou noir de la conscience humaine, et ce constat, aujourd'hui amer et tragique : les monstres sont (encore) parmi nous.
aVoir-aLire.com
par Maxime Lachaud
Une œuvre littéraire profondément violente et provocante, qui peut être vue comme une métaphore sur la création artistique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film à l’atmosphère lourde, mêlant sévices physiques et violences morales.
Positif
par Pierre Eisenreich
Pour un premier long métrage, Katrin Gebbe ose affronter un sujet qui n'a rien de timide, démontrant un vrai talent de directrice d'acteurs et d'actrices.
TéléCinéObs
par François Forestier
Le spectacle est dur mais il est à la hauteur de la déshumanisation infligée. C'est du cinéma de combat, cinglant et choquant. Et salutaire.
Libération
par Bruno Icher
Le film, à de très rares exceptions près, joue toujours la carte d’une violence hors champ. Pour les séquences les plus pénibles, Katrin Gebbe s’est employée à déplacer l’horreur sur le terrain de l’imaginaire et non sur la complaisance d’un spectacle écœurant. Au point que le film, parfois, perd en tension dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Inspiré d’un fait divers, ce film choc vous pénètre comme des clous dans la croix d’un supplicié. A travers le calvaire insoutenable de ce martyr moderne, la réalisatrice oppose la foi au pragmatisme, tout en explorant, en un crescendo saisissant, la relation complexe entre une victime et son bourreau. Inconfortable mais fort.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Un premier film estimable pour sa mise en scène en dépit d'un scénario vraiment trop lisible, voire pénible, où se télescopent sadisme et innocence.
Le Monde
par Sandrine Marques
Le masochisme a ses limites que ne connaît manifestement pas la réalisatrice allemande Katrin Gebbe. Décrivant le lent et insupportable martyr d'un membre des "Jesus Freaks" (...), elle se complaît à en montrer les détails les plus écœurants. Un premier film nauséeux qui s'embourbe dans ses ambiguïtés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
Katrin Gebbe livre un curieux et éprouvant premier film, confrontant l'idéalisme adolescent à la folie des adultes.
Première
par Isabelle Danel
Lors de ce chemin de croix, rien n'est épargné au garçon innocent, ni à nos yeux vite lassés.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
par Adrien Dénouette
En somme, beaucoup trop de graisse pour une énième méditation sur le mal qui fantasmait l’état de grâce. Et que ce genre de cinéma de boucher parvienne à s’octroyer une place sur l’étal de la Quinzaine frise l’accident festivalier.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ouest France
par La Rédaction
Une violence-sadique hyper réaliste, qui insiste jusqu'à la complaisance.
TF1 News
par Romain Le Vern
Katy espérait sans doute livrer avec "Aux mains des hommes" un réquisitoire-scandale-choc-coup-de-poing-dans-ta-gueule, elle n'a produit qu'un film-mouroir dont on supporte difficilement la complaisance et le manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Pierre Murat
A force d'insistance maladroite, Katrin Gebbe s'abîme dans la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
Récit christique, dénonciation de la mythologie de puissance, "Aux mains des hommes" rejoint l'un des chefs-d'oeuvre du cinéma allemand, "le Dernier des hommes" (1924). Entre les deux films, un trou noir de la conscience humaine, et ce constat, aujourd'hui amer et tragique : les monstres sont (encore) parmi nous.
aVoir-aLire.com
Une œuvre littéraire profondément violente et provocante, qui peut être vue comme une métaphore sur la création artistique.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Dauphiné Libéré
Un film à l’atmosphère lourde, mêlant sévices physiques et violences morales.
Positif
Pour un premier long métrage, Katrin Gebbe ose affronter un sujet qui n'a rien de timide, démontrant un vrai talent de directrice d'acteurs et d'actrices.
TéléCinéObs
Le spectacle est dur mais il est à la hauteur de la déshumanisation infligée. C'est du cinéma de combat, cinglant et choquant. Et salutaire.
Libération
Le film, à de très rares exceptions près, joue toujours la carte d’une violence hors champ. Pour les séquences les plus pénibles, Katrin Gebbe s’est employée à déplacer l’horreur sur le terrain de l’imaginaire et non sur la complaisance d’un spectacle écœurant. Au point que le film, parfois, perd en tension dramatique.
Paris Match
Inspiré d’un fait divers, ce film choc vous pénètre comme des clous dans la croix d’un supplicié. A travers le calvaire insoutenable de ce martyr moderne, la réalisatrice oppose la foi au pragmatisme, tout en explorant, en un crescendo saisissant, la relation complexe entre une victime et son bourreau. Inconfortable mais fort.
Le Journal du Dimanche
Un premier film estimable pour sa mise en scène en dépit d'un scénario vraiment trop lisible, voire pénible, où se télescopent sadisme et innocence.
Le Monde
Le masochisme a ses limites que ne connaît manifestement pas la réalisatrice allemande Katrin Gebbe. Décrivant le lent et insupportable martyr d'un membre des "Jesus Freaks" (...), elle se complaît à en montrer les détails les plus écœurants. Un premier film nauséeux qui s'embourbe dans ses ambiguïtés.
Les Fiches du Cinéma
Katrin Gebbe livre un curieux et éprouvant premier film, confrontant l'idéalisme adolescent à la folie des adultes.
Première
Lors de ce chemin de croix, rien n'est épargné au garçon innocent, ni à nos yeux vite lassés.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
En somme, beaucoup trop de graisse pour une énième méditation sur le mal qui fantasmait l’état de grâce. Et que ce genre de cinéma de boucher parvienne à s’octroyer une place sur l’étal de la Quinzaine frise l’accident festivalier.
Ouest France
Une violence-sadique hyper réaliste, qui insiste jusqu'à la complaisance.
TF1 News
Katy espérait sans doute livrer avec "Aux mains des hommes" un réquisitoire-scandale-choc-coup-de-poing-dans-ta-gueule, elle n'a produit qu'un film-mouroir dont on supporte difficilement la complaisance et le manichéisme.
Télérama
A force d'insistance maladroite, Katrin Gebbe s'abîme dans la complaisance.