Derniers Avis : Le rôle de ma vie - Page 5

Le rôle de ma vie, un film où "c'est beau la vie et après on meurt". Je commence à être lassé de ce genre de film où chaque réplique implique une moralité à la con. Désolé, mais je n'ai pas aimé Le rôle de ma vie... Un ennui pesant, une accumulation de nian-nianterie prévisible et déjà vu. Et comble de tout, le film tente de rajouter une pointe de culture geek complètement raté. Depuis quand McDonald fait partie de la culture geek ? Et c'est quoi ce cliché de vouloir se faire passer pour un fan de Star Wars juste en disant "Je veux l'étoile noire !" ? Sérieusement, Le rôle de ma vie n'est pas un film intéressant. Je propose aux gens de passer leur chemin.

A la base , je ne voulais pas écrire une critique sur ce film , notamment car je l'ais vu il y a quelque mois déjà et car je trouvais le film trop creux pour en faire une critique , faisons donc une critique concis .
Wish I Was Here ou Le rôle de ma vie en français possède je trouve un titre français plus en rapport avec le film . Apres l'excellent Garden State , Zach Braff revient avec un film avec un scénar somme toute classique , mais plutôt efficace , ne tombant pas trop dans le cliché et reste intéressant dans tout les cas Le film s'inscris vraiment dans son époque ce qui est plutôt agréable mais en sois , le film , plus proche du drama familiale que de la comédie possède de gros problème d'écriture et comme je l'ai dit , reste trop classique . Tourné avec un budget minim ( le film a été financé grâce a KickStarter ) Le rôle de ma vie s'en sort plutôt bien mais certaines scènes sont a la limite de l'inutile ( la scène du trip en Aston Martin dure 20 secondes et ne rajoute rien au film ) . La chanson phare du film ( So What Now ?, de The Shins ) n'arrive que dans le générique alors que le titre aurait pu donné un rythme un peu plus dynamique a l'œuvre .
Voila donc ce qu'est Le rôle de ma vie , une œuvre au classicisme mais qui se laisse toute fois regarder , sans vous marquer pour autant .

Franchement... Lorsque j'étais plus jeune j'avais adoré Garden State, j'avais trouvé ça mignon tout plein, avec une belle bande son, un feel good movie en somme et forcément j'étais un peu curieux de son second film... 10 ans après. Et j'ai détesté. Pourquoi ? Parce que c'est A Serious Man, en nul. Tout simplement... Et j'en viens à me demander si je ne détesterais pas Garden State en le revoyant aujourd'hui. C'est consternant comme film...

Au début, j'ai vraiment cru que ça allait me plaire, le petit côté cynique sur la religion, l'humour un peu "trash"... ou que sais-je, ça avait un petit charme... Mais bien vite on tombe dans tous les clichés du film indépendant bienpensant et je ne supporte pas ça, parce que si on est dans la bienpensance on n'est pas dans la réalité, on est dans un monde qui fait totalement peur. Et j'en pour preuve le type qui fait soit-disant du harcèlement sexuel... Non mais sérieux ? Le mec il ne fait rien... Mon dieu, on s'en fout qu'elle se sente mal... Lorsque je vois un film aussi bienpensant je me sens mal aussi... Est-ce-qu'il y a des lois pour me protéger de ce gloubigoulba larmoyant politiquement correct ?

C'est dingue comme les faibles font tout pour nuire aux forts... Comment ils veulent nous ramollir avec leur morale...

Et bien sûr on a l'éternel cliché de la famille dysfonctionnelle... avec le papa qui n'a pas été gentil alors le fiston il lui en veut... Peut-être arrêter d'être aussi infantilisant ? D'être aussi convenu et cliché ? Sérieusement ? Je ne comprends pas qu'on nous sorte encore ce genre de bêtises consternantes en 2014... à vomir ! Mais le mieux c'est lorsque la fille lui dit "tu ne crois pas en Dieu, alors croit au moins dans la famille". Tu la sens ? Parce que moi je l'ai sentie... Et j'ai pas aimé !

Le film ne propose rien, ne montre rien que je n'ai pas du mille fois dans ce même genre de petites productions niaises et inintéressantes... Franchement j'attendais le retour de Zach Braff derrière la caméra... Mais ça n'a aucun intérêt... autant préserver la bonne image que l'on pouvait avoir de lui et laisser cet immense étron de bienpensance sombrer au fond des chiottes et tirer la chasse !

Le cinéma indépendant américain sait tout à la fois nous plonger dans l'émotionnel pure avec ce feel-good movie bien pensant mais aussi nous énerver avec cette pensée trop mainstream et trop prévisible. On adore penser que Zach Braff est un acteur / réalisateur complet et génial mais on aimerait qu'il se lâche à 100% la prochaine fois.

Trop de bons sentiments , longs plans ralentis mielleux ... C'est sympathique mignonet mais too much a mon goût !

comédie dramatique douce-amère qui flirte avec Woody-Allen par sa nostalgie et son humour juif plein d’autodérision et de loufoquerie, avec de la poésie en plus (scènes oniriques). Une épouse un peu trop parfaites ; belle, compréhensive, altruiste, face à deux frères qui peinent à sortir de l’adolescence. Les scènes qui touchent à la pratique religieuse sont désopilantes. Ce film se déguste avec une larme qui hésite au coin de l’œil pour une fin de vie sereine et rédemptrice.

Enfin une histoire qui traite d'une famille juive sans directement plonger dans le drama ni la caricature! On suit l'adaptation d'une famille, et particulièrement du père de famille, face à de nombreux événements l'obligeant à prendre ses responsabilités. En réalité, le fait que la famille, dont on suit les pérégrinations, soit juive ne change rien, mis à part quelques insertions humoristiques dans les dialogues. Les dialogues sont très bien écrits et bien servis, heureusement car l'histoire en soi est un peu pauvre. Le film arrive à toucher tout en faisant rire.

Rafraichissant, divertissant et plein d'espoir avec un acteur que l'on aimerait voir plus souvent

Pour son second film, Z. Braff parle toujours un peu de sa vie. Comme une sorte de suite à son précédent long, « Garden State », il explore son personnage d'acteur loser mais dans la tranche de la quarantaine cette fois-ci. Il a une famille, qu'il doit gérer malgré une certaine inhabilité à tout gérer. Bien sûr, le film va faire évoluer le personnage à tous les niveaux. En plus, il a gagné en maturité dans sa structure narrative et dans sa grammaire cinématographique. Grâce à un style plus épuré, les dialogues sonnent plus naturels, les personnages sont plus nombreux et plus construits et le tout se finit avec une fin pour chacun. Sensible comme à son habitude, tout autant que drôle mais sans forcer, il explore toujours ses thèmes avec plus de profondeur et son film s'en retrouve encore mieux. Il a moins de poésie que le premier, mais il est plus encré dans le réel. Que ce soit dans son rôle de mari, de père, de frère, de fils et d'homme, tout est exploré avec une certaine légèreté mais tout autant de justesse. Les acteurs sont géniaux, et le rendu magnifique. Il se permet des clins d'oeil à « Scrubs » mais ils sont bien bien venus et cohérent avec son histoire et ils s'intègrent parfaitement. Plus vivant et moins dépressif, il réalise à mes yeux un superbe film touchant et captivant, dans lequel il se met encore plus à l'épreuve en tant qu'homme qui se met face à ses défauts, ses peurs, ses échecs mais qui sait rebondir au fil des épreuves quand il assume tout ça.

Je baille encore, en songeant de nouveau à ce film long, ennuyeux, prévisible et à "l'humour" peu sophistiqué.

Film sans aucun intérêt, mais comment a-t-il pu avoir 4/5 étoiles ???
quelqu'un s'est donné à fond et pendant plusieurs mois pour plébisciter ce film,
mais dans quel but ?
Je cherchais une "comédie", ce film est classé dans les "comédies" et pourtant il n'y a pas une once d'humour et le ton donne plutôt envie de se jeter par la fenêtre ou de se suicider à la crème chantilly je ne sais pas trop....
synopsis :
"Quand ils étaient petits, Noah et Aidan croyaient être des héros, mais en grandissant ils se sont rendu compte qu'ils n'étaient que des gens normaux .." oh lala !! quelle tragédie pour eux miaou !!
Comment l'auteur partant de cette phrase-clé (que vous entendrez une dizaine de fois durant le "film") a-t-il pu se dire "yahouuuu! ça y est ! je tiens mon film et il va défoncer les box-office" ?
Que se passe-t-il dans ce film ? ben ... pas grand chose .... euh... il fait beau, le pères de ces "heros" est mourant, l'un des 2 doit retirer ses enfants de leur prestigieuse école yedish car c'est grand-papa qui payait les frais, euh quoi d'autre ? Ah oui ! : y a des jolis plans de mer, l'eau est bien belle, bleue et brillante, le ciel est bleu .... quoi encore ?
une succession de musiques, de loooooongues pauses musicales inutiles, et sans intérêt ;
à la fin du film, la réaction sera plus "enfiiiin !! c'est fini !! ouf!" que "woaw"
voilà, tout comme le film...... je n'ai rien à dire de plus....
Des films nuls, j'en ai vu, mais à ce point ennuyeux et inintéressant, pas souvent...
"Sans intérêt" j'ai déjà dit ça ? ah ok, bon ben c'est qu'il n'y a vraiment rien de plus à dire.

Émouvant et poignant sur des thématiques difficiles à aborder, Zach Braff ne sort cependant pas des sentiers battus en nous proposant un film dans la lignée de son précédent "Garden States"

Zach Braff apparait peu, mais à chaque fois, il fait mouche. Ses films tapent toujours là où ça fait mal, sans faire du rentre-dedans, du cliché... Donc on est loin de la plupart des choses que l'on a l'habitude de voir, mais quel régal : plein de questions posées, plein de pistes de réflexion, de l'émotion, des belles images, et surtout une place laissée au spectateur pour ses idées, ses volontés, son interprétation. un film qui fait sourire tout du long, mais qui en plus, fait marcher la cervelle. Pour moi, c'est un film nécessaire, et on arrive toujours à se reconnaitre dans les personnages, catholique, juif ou musulman (ou autre), artiste ou fonctionnaire, père ou célibataire...

Wish I was here ou Le rôle de ma vie en VF raconte les moments difficiles d’un père acteur au chômage, Aidan Bloom (Zach Braff) qui décide de reprendre sa vie et celle de sa famille en main. Entre une femme qui supporte financièrement le foyer, des enfants scolarisés dans une école judaïque et une carrière qui ne décolle pas, l’annonce du cancer de son père (Saul de la série Homeland) va bouleverser la vie de cette famille. Il s’en suit une sorte de voyage initiatique pour Aidan et sa famille qui tentent de se ressouder et d’enfin trouver un équilibre.

C’est un vrai feel good movie et une bonne découverte. Je ne connaissais pas Zach Braff, n’ayant pas vu la série Scrubs ou son premier film, que je vais m’empresser de regarder !

Certains sujets plutôt délicats (cancer, religion) sont traités de façon légère et touchante sans jamais tomber dans le pathos.

Ce film est très inspiré de la culture pop et de la science fiction. On retrouve des références à Game of Thrones et à The Big Bang Theory avec un petit rôle pour Jim Parsons (Sheldon Cooper) mais aussi des scènes imaginaires en super héros et d’autres au Comic Con.

Côté acteur, Zach Braff joue très bien ainsi que la mère interprétée par Kate Hudson, mais j’ai été bluffé par les deux enfants-acteurs: Grace (Joey King), très touchante en grande sœur trop mature et Tucker (Pierce Gagnon), le petit frère terriblement drôle.

Autre très bonne surprise: la bande originale! Petite préférence pour Radical Face et The Shins mais toute la soundtrack est excellente et colle parfaitement au film.

Film très intéressant car il fourmille de réflexions personnelles sur ce rôle de sa vie, sur la sens de cette vie.
Entre religion, recherche d'identité personnelle, et les relations familiales, il y a de quoi faire.
La gamine qui devient de plus en plus religieuse pour se trouver des repères, repères que le père cherche encore. Le grand père qui est déçu par ses enfants, par les choix faits par eux, par les liens familiaux distendus. La mère qui a le sentiment de se sacrifier, quitte à fréquenter des pervers au boulot, pour que la maison fonctionne et que tout le monde puisse avoir de quoi vivre. Le père qui a le sentiment de sacrifier sa carrière pour sa famille. Enfin, l'oncle qui ne vit que pour lui dans l'espoir de trouver sa vie.
Une vie qui plait à tout le monde, même si elle convient à toute cette équipe.