Derniers Avis : Le rôle de ma vie - Page 3

Zach Braff tente de réitérer le succès qu'il avait eu avec "Garden State" sans y parvenir.
En effet dans cette histoire sur les relations père/fils, il essaye tant bien que mal à associer humour et émotion mais la sauce ne prend jamais.
Le film fait se succéder des scènes sans intérêt, la faute à une écriture et à des acteurs irritables à souhait qui ne dégage aucune empathie.
Sans compter l'aspect religieux très souvent présent dans le cinéma américain qui atteint ici niveau d’exaspération élevé.
Bref à trop vouloir faire l'auteur indé branché, Zach Braff se prend les pieds dans le plat et à comme seul mérite de toujours bien choisir sa BO.

Des acteurs normaux, des problématiques basiques, des histoires qui peuvent tous nous arriver, pour un film énorme, très différent. Une approche tellement vraie de la vie, mais qui donne un réalisme éprouvant et bouleversant. Le montage et les plans très artistiques ajoutent au piment et au réalisme du film.

Agréable et admirable vie de famille. Ce film dénonce un certain manque d'implication dans notre vie sociale sentimentale ou familiale, et nous ouvre ainsi les portes du bonheur

Film comique et assez émouvant !
L'histoire est bien, les acteurs jouent plutôt bien !
Je recommande ce film à tout type de personne.
La fin est émouvante.

Je recommande vivement ce film !

Impressionnée par la puissance de ce film. C'est drôle, touchant, avec une jolie morale !

Cela fait extrêmement plaisir de voir Zach Braff à l'affiche au cinéma, quand comme moi on a adoré la délirante série "Scrubs". Surtout quand on détour d'une scène il invite son ancien pote d'hôpital Donald Faison. Hélas, le film qu'il réalise et où il détient le premier rôle est bien fade et bien convenu. Malgré quelques touches de son humour décapant et sarcastique, l'histoire qu'il nous conte est dénuée de toute originalité et nous intéresse pas du tout. Ca se veut poétique et doux-amer mais "Le rôle de sa vie" n'est qu'un enfilage de clichés sans fin. Toutefois, comme on aime bien Zach, on lui pardonne sans problème en attendant qu'il revienne dans une meilleure forme.

Une première partie de film très longue et ennuyeuse... j'ai même hésité à l’arrêter. Mais une deuxième partie très émouvante. Zach est bon mais en dessous des ses performances dans scrubs. Bien dommage....

Film sympa, drôle, tendre et touchant. Peut-être à méditer sur ce qu'attendent les autres de nous et nous des autres...

Film drôle et touchant malheureusement trop dans le cliché pour être crédible et surtout avec de terribles longueurs soporifiques.

le début du film est prometteur, un brin farfelu, sur des dialogues percutants. il se perd ensuite, se disperse et on a du mal à comprendre la voie qui sera choisie, le message délivré. au final, un drame plein d'espoir proposant de jolis moments, émouvants ou plus légers. Z. Braff offre une belle composition.

Film très sympathique avec des personnages attachants. C'est sur c'est le pas le film qui tient en haleine mais ce n'est pas non plus ce qui est recherche par Zach Braff.
J'ai passé un très bon moment

Un film de petits bonheurs, appuyé par des dialogues intéressants, mais pas brillants, avec des acteurs sympathiques et une histoire de famille où le père bat la mesure, sur un rythme gentil dans des décors superbes de Los Angeles. Au fil de sa durée, le film nous rapproche des personnages, jusqu'à sentir tendresse et empathie pour cette famille un peu originale, mais qui ne manque pas de convictions en tout genre. C'est du cinéma américain, qui se démarque des comédies traditionnelles, plus intime, plus philosophique, plus indépendant. On passe un bon moment, pas inoubliable ni captivant certes, mais qui offre une certaine tendresse.

Je viens de voir le film. Je l'ai trouvé vraiment bien : il y a une certaine poésie, d'amertume délicieuse présente tout le film, avec une ambiance pesante mais touchante, drôle, sur un sujet aussi qui laisse à réfléchir. Un très bon mélange très bien dosé. J'adore Zach Braff et ça m'a fait sourire de voir plusieurs acteurs de Scrubs

Le petit malin derrière le succès de Scubbs, auteur de l'estimé Garden State, Zach Braff revient aux affaires avec Le rôle de ma vie, métrage sensiblement similaire à son précédent. Il est une nouvelle fois question d’orientation, d’émancipation et de rédemption. Mais suffit-il à des personnages, à un film, d’être touchant pour satisfaire les masses? Rien n’est moins sûr. L’acteur et cinéaste nous plonge cette fois-ci au cœur de la vie d’une famille californienne, de confession juive. Un mari aimant mais épris de liberté, des enfants brillants auxquels ont inculquent les valeurs du judaïsme, une mère travailleuse qui subvient aux besoins de sa famille, un père mourant et un frère geek passablement renfermé. Voilà l’univers de notre bonhomme, incarné, c’est logique, par Zach Braff lui-même, grand rêveur devant l’éternel, grand enfant dans une société sélective et dure avec les marginaux.

Le début de la fin pour le doyen de la famille entraîne une prise de conscience inattendue dans la famille. Voici l’histoire du rôle de ma vie, délicate immersion dans un marre emplie des valeurs familiales, de valeurs religieuse et d’une part de rêve américain. Mais tout cela possède-t-il suffisamment de substance pour ne pas ennuyer, pour ne pas s’endormir sur un petit nuage de bonne volonté? Zach Braff est vraisemblablement un individu poussé par sa sensibilité, son humanité. Quand bien même nous ne partageons pas tous sa vision des choses, son approche du mélodrame, très stylisée, amène une certaine admiration. D’un autre côté, son film pourra paraître niais, incapable de toucher d’une quelconque autre manière que de par sa bande-son inspirée, la sourire de ses protagonistes et sa bonne humeur, même dans la mort.

Le réalisateur ne récidive pas l’exploit qu’il accomplissait avec Garden State. Si selon moi, ce dernier était surestimé, le rôle de ma vie se situe en-dessous, aussi touchant mais nettement moins attractif. A de nombreuses reprises, l’intérêt du film vient de la malice des enfants, des gaffes du frangin ou des beaux discours de la mère, excellente est inattendue Kate Hudson. Zach Braff, pourtant personnage principal de son tableau, semble traverser, le baume au cœur, toute les épreuves, sorte de témoin passif des évènements qui le concerne. Le gaillard est un monument de sympathique, au sens propre, mais manque d’un certain charisme, incontestablement trop bienveillant pour modifier un tant sa peu toute mésaventure. Si cela était sans doute voulu, dans l’esprit du metteur en scène, il apparaît pourtant que son personnage est un archétype, une passive petite fourmi dans un monde grouillant de monstres.

Pour autant, l’émotion pointe quelques fois le bout de son nez, faisant momentanément oublié les difficultés de Zach Braff à vraiment captiver son public, d’abord américain. Sans mâcher les étapes, voici la saga familiale selon Braff, sorte de comédie populaire judéo-américaine, sensible, culturelle et un brin cynique. Reste que si le comédien et réalisateur attend plus de dix ans avant son prochain projet, on ne reparlera pas de sitôt du Rôle de ma vie, comédie noyée dans le tout-venant 2014 et qui ne fera pas date, malgré toutes les bonne intentions. 09/20

Etant fan de Zach Braff, j'attendais beaucoup de se film, et je n'ai pas été déçu. J'ai eu la chance de mettre un peu pour le film via kickstarter et franchement sa a dépassé mon attente.