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    Le rôle de ma vie
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    3,8
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    228 critiques spectateurs

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    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    133 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 août 2014
    Zach Braff a tout donné pour finaliser ce film. Avec de la bonne volonté, on peut tout faire? Eh bien Braff, avec l'argent de ses fans, réalise un feel-good movie ambitieux, mais aux nombreuses limites scénaristiques. C'est bien ça le problème : ce genre de films puent le déjà-vu, et pour surprendre doit prendre des risques... Et ce scénario n'en prend aucun. On est ému, certes, mais on ne rigole que très peu des situations grotesques, trop attendues. Même si cette famille a, heureusement, un charme fou lorsqu'elle se moque de ces situations ou la religion nous ordonne des choses idiotes. Dommage que ce soit aussi long! Décevant!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 août 2014
    Aussi drôle qu’émouvantContrairement à ce que l’on aurait pu espérer, il ne s’agit pas du Garden State de la décennie. Si l’émotion est clairement au rendez-vous (il ne faut pas exclure de verser une petite larme ici et là pendant les 1h47 que durent le film) l’aspect narratif et le comique (voire l’absurde) du scénario prennent souvent le pas sur la portée dramatique des événements dépeints. (...) S’il paraît plus facile pour le spectateur lambda de s’identifier à Aidan Bloom qu’à Andrew Largeman (le personnage central de Garden State), il ne faut pas se laisser porter à croire que ce nouveau film de Zach Braff ne serait pas une véritable production indépendante comme avait pu l’être son premier film. Le financement participatif via Kickstarter lui a permis de conserver la liberté artistique dont il avait besoin. Pas de final cut, de montages, d’équipes techniques ou de « pré-casting » imposés par des producteurs hollywoodiens. Sur les 6 millions de dollars qu’ont coûté le film à produire de l’écriture à la projection en salle, plus de 3 millions ont été « donnés » par des fans de l’acteur-scénariste-réalisateur. Un tournage intense en 5 semaines, en équipes réduites et surtout en budget réduit a permis à des acteurs classés mainstream comme Kate Hudson, Josh Gad ou Ashley Greene de se frotter, comme s’ils revenaient à leur tout début de carrière , à un cinéma « petit budget ». C’est ainsi qu’habitant normalement à Atlanta, Pierce Gagnon, le jeune acteur jouant le fils d’Aidan Bloom a été logé avec sa maman chez Zach Braff le temps du tournage, tandis que Kate Hudson a dû choisir des vêtements dans sa garde robe personnelle pour le tournage.Au niveau de la bande originale, Zach Braff tient ses promesses et nous embarque dans un voyage indie folk aussi savoureux que pouvait l’être la BO de Garden State en son temps. The Shins, révélés il y a 10 ans par le premier film de Braff, reprennent du service pour notre plus grand plaisir et proposent l’excellent titre « So Now What ». Idem pour Paul Simon qui figurait déjà sur la BO de Garden State. D’autres grands noms du son Folk / Indie Folk contribuent à enfoncer le clou. Radical Face et The Head and the Heart sont particulièrement notables, mais il y a aussi d’autres bonnes surprises que l’on vous laissera découvrir en salle. (...Le Rôle de ma vie, c’est un peu comme un carrefour de la vie. Une croisée des chemins. C’est l’illustration de ces moments souvent difficiles de la vie qui nous mettent un bon coup de pied aux fesses alors que l’on ne s’y attend pas. L’occasion pour ceux qui en ont la présence d’esprit de se remettre sur de meilleurs rails. Le tout sous la forme d’une production indépendante avec une bande originale indie/folk magnifique qui épouse une photographie soignée. Sans être aussi poignant et bouleversant que pouvait l’être Garden State, Le Rôle de ma Vie reste très bon dans son genre. Un film qui sait appuyer sur les boutons de l’émotion et du rire, et même un peu sur ceux de la réflexion et de l’introspection.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 août 2014
    Beaucoup d'émotions lors de ce film. Magnifique 2eme volet, du rire aux larmes en un instant. J'adore
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 août 2014
    Presque dix ans après Garden State, Zach Braff réchauffe les ingrédients de son succès dans une marmite dégoulinante de restes sans grande saveur.Garden State avait presque créé un nouveau sous-genre de la comédie dramatique indé, dans lequel se sont engouffrés Sam Mendes (Away we go), Jason Reitman (Juno) et Marc Webb (500 days of Summer). Avec, pour dénominateurs communs, un casting soigné alliant acteurs issus de séries ou shows humoristiques (Zach Braff passant de Scrubs à Garden State, Michael Cera qui s’est illustré dans Arrested development avant d’apparaître dans Juno, John Krasinski de The Office et Maya Rudolph de SNL dans Away we go) et de films indés (Ellen Page vue dans Hard Candy avant Juno, Joseph Gordon-Levitt révélé dans Mysterious Skin bien avant 500 days of Summer), une BO rock-indé-mais-accessible (The Shins dans Garden State, Alexi Murdoch pour Away we go, The Kinks, The Velvet Underground ou Cat Power pour Juno, The Smiths et The Temper Trap dans 500 Days of Summer), des personnages issus de classe moyenne en plein questionnement existentiel, et un équilibrisme savant diffusé tout au long de ces longs-métrages grâce à une plume précise, à la fois drôle et sensible, et une réalisation audacieuse alliant rythme et plans purement contemplatifs.Dans son nouveau film, Zach Braff semble avoir souhaité reproduire à l’identique cette recette miracle. Non seulement l’intention n’est pas forcément louable, mais il a surtout échoué en tout point. Tout d’abord, et malgré des apparitions agréablement surprenantes en seconds (voire troisièmes) rôles, le casting est relativement plat. Toujours acteur principal, il s’entoure cette fois de Kate Hudson, qui aurait pu être une caution indé si elle n’avait pas tourné que dans des comédies romantiques aliénantes depuis Almost Famous, et de Mandy Patinkin, qui n’a jamais sorti une expression faciale crédible dans Homeland.Peu aidé par ses acteurs, Zach Braff avait pourtant envie de parler de beaucoup de choses : la transition à l’âge adulte, la religion, la réalisation de soi, l’éducation des enfants, l’aliénation par le travail, la mort d’un parent… Ces ambitions contribuent à diluer le propos, d’autant que l’écriture comme la réalisation, précises dans Garden State, sont ici très approximatives. En témoignent la dégradation de la charge émotionnelle du film comme de son volet humoristique, de plus en plus lourd malgré quelques excellentes idées.Enfin, la bande originale comporte certes de beaux morceaux (Bon Iver, The Shins) mais surtout de la musique grandiloquente et faussement libératrice que l’on a plutôt l’habitude de voir dans des comédies sentimentales cheap qui dépassent rarement le rayon d’influence de la télévision américaine. L’environnement musical semble ici être grossièrement utilisé pour masquer la faiblesse de l’écriture : en apparaissant à la fin de chaque scène, la bande originale n’accompagne pas le film, elle l’étouffe. Et c’est bien là la faiblesse du film : la sensibilité et la précision de Zach Braff ont été supplantées par une profusion de musiques, de thèmes à aborder, de blagues, de seconds rôles ou encore d’idées inégales de mises en scène.
    Jeanluc.M
    Jeanluc.M

    21 abonnés 219 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2014
    Je ne m'attendais pas du tout à ce traité si particulier.Un feel good movie à l'humanité vraiment touchante, il faudra être un coeur de pierre pour ne pas y être sensible.Les personnages sont très attachants, un des grands points forts de ce film pour moi est l'humour très varié et vraiment bien dosé. On rit, on pleure, on s'émeut devant la beauté du couple, ainsi que l'aspect spirituel relativement bien évoqué dans le film, sans non plus tomber dans le prosélytisme, c'est une grande réussite qui m'a énormément plu, et fera partie de mes films préférés, ceux dont on peut ressortir moins bête qu'en entrant dans la salle.Allez y sans crainte, ce sera pour la majorité un bon moment de ciné assuré.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 août 2014
    Un chef d'oeuvre. Tout simplement sublime. Une belle vision de la famille dans toute sa complexité, liée notamment aux aléas de la vie. Avec la petite note en plus signé Zach Braff, tous les ingrédients sont réunis pour faire de ce film une oeuvre comme on en voit peu. Courrez-y !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 août 2014
    Film émouvant, poétique, traitant de sujets douloureux avec une touche de subtilité et d'humour que Zach Braff maîtrise à merveille. A l'image de Garden State, la B.O est un vrai élément du conseille à tous les inconditionnels de Zach Braff mais aussi aux autres!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 août 2014
    Les 3 premiers quarts du film sont top, très drôles, très second degrés, on retrouve l'univers de Scrubs ! Le dernier quart est moins bon, trop manichéens et mielleux. Mention spéciale à la gamine aux cheveux violet, hyper charismatique, qui offre des petites pépites de réalisation
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 août 2014
    Le role de ma vie est un film qui fait aimer encore un peu plus la vie. Zach Braff transmet la métamorphose d'un personnage à travers son lot de souci vers quelque chose qui n'est pas parfait mais tellement suffisant.Par ailleurs, il y a toutes ces apparitions liées à Scrubs qui sont juste parfaites... Un film à voir et à revoir.
    ChroniqueMécanique
    ChroniqueMécanique

    314 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 août 2014
    Aidan Bloom, le personnage ici interprété par Zach Braff, semble être un cousin germain d'Andrew, celui que la star de "Scrubs" jouait dans "Garden State" : acteur dont la carrière a beaucoup beaucoup de mal à décoller - et c'est un euphémisme-, cet adolescent attardé et rêveur à l'attitude désinvolte doit se rapprocher de sa famille et affronter la réalité qu'il ne cesse de fuir lorsque son père, atteint d'un cancer, lui annonce qu'il n'a plus que quelques jours à vivre... A savoir que dans son précédent film, c'était la mère du protagoniste principal qui passait l'arme à gauche. Bref, Braff se braque sur ce type de personnage, et semble ne pas s'être trop creusé la tête pour composer celui d'Aidan Bloom, vulgaire simili de celui qu'il avait déjà pondu il y a 10 ans. Il l'a juste fait vieillir (vu que lui aussi a vieilli) et l'a affublé d'une famille, femme, fils et fille, que l'autre n'avait pas. Si l'acteur-réalisateur n'est ni marié ni père dans la "vraie vie", nul doute qu'en couple et à bientôt 40 ans, il doit certainement y songer. Braff se pose aussi des questions existentielles, s'offre une introspection sur le fait de vieillir, sur ses rêves, ses choix, ses racines aussi via son rapport à la religion juive... Je vous le disais à l'instant, malgré sa gueule d'ado, la quarantaine le guette.

    Vous l'aurez compris, pas grand chose de neuf à se mettre sous la dent dans ce second opus. Il n'y a donc plus vraiment la surprise et l'originalité qui animaient le premier jet de Braff, qui lui donnaient ce souffle de comédie dramatique cuisinée à la sauce indé américaine, plat typiquement sundancien dont on raffole souvent. Pour cet acteur raté, le rôle de sa vie, et on le comprend sans se forcer, c'est celui qu'il s'est longtemps refusé à jouer, celui de père, de fils, de frère et de mari. Pas très original... Reste que les fans apprécieront sûrement plusieurs phases de ce film, du reste plutôt bien écrit et pas mal réalisé du tout. Leur idole de "Scrubs" soigne sa mise en scène, et s'offre souvent un show où il multiplie les vannes et les punchlines. Si certaines tombent complètement à plat, d'autres marchent du tonnerre. En général c'est drôle et bien senti, et quelques passages se révèlent véritablement tendres et touchants. Mais Braff, sur de lui, ne fait jamais dans la demi-mesure et, si il ne se vautre pas dans la surenchère, c'est de justesse car il est souvent sur le fil, pas loin d'en tomber. Pour preuve, le nombre de scènes que l'on nommera "Mastercard". Oui, vous savez bien, ces scènes filmées au ralenti, avec une douce musique pop bien accrocheuse, une voix-off qui déclame un texte beau et fort, des sourires sur les visages des personnages, des larmes dans leurs yeux... Ces scènes où il ne manque à la fin plus qu'une voix chaude et sirupeuse prononçant : "ça n'a pas de prix, et pour le reste il y a Mastercard"... Et bien l'on peut dire que si l'ami Braff-la-main-lourde avait des actions pour ce genre de séquences, il aurait fait fortune rien que sur cette seconde réalisation.

    Qu'on se le dise, "Le Rôle de ma Vie" n'est pas un mauvais film. C'est même un agréable divertissement. Petit problème, il ne dépasse cependant jamais ce stade-là alors que l'on pouvait vraiment en attendre plus. Il est imparfait, parfois balourd, parfois surligné, il est bien trop copié/collé sur le très réussi "Garden State", on peut même le trouver un tantinet trop long (à ce propos, amputé de 10-15 minutes, il aurait grandement gagné en efficacité). Mais il en émane pas mal de chaleur, une espace de sincérité. On rit souvent, et le parcours initiatique de ce père de famille qui n'arrive ni à grandir, ni à séduire son bourru de père mourant, ni à se rabibocher avec son geek de frère, ni à abandonner son rêve qui met pourtant les siens dans la panade, n'a rien de bien nouveau mais il est attachant. On sent à plein nez que Braff et son équipe ont pris un réel plaisir à jouer ensemble et à tourner ce film, produit de manière totalement indépendante (et cela avec l'apport des internautes via le crowdfunding). Mention spéciale aux seconds rôles, très bons, notamment les deux rejetons du héros, joués par Pierce Gagnon et l'excellente Joey King. Si le résultat est mitigé, "Le Rôle de ma Vie" arrachera sans trop de soucis quelques sourires, et peut-être même quelques larmes. Surtout, il confirme le vrai talent d'auteur d'un acteur venu du monde des sitcoms. Et ça franchement, c'était loin d'être gagné.

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 juin 2015
    Un de ses feel good movies comme on aime ! Profond sans pour autant négliger le divertissement, il est parfait pour un moment de déprime ou de questionnement. Il m'a honnêtement donner envie de voir le précédent film de Zach Braff.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 août 2014
    Encore plus émouvant que Garden State... Vraiment fan des films de Zach Braff
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    191 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2014
    Ce film est passé de manière exceptionnelle dans mon cinéma habituel, et en VOST. J'ai donc pris du temps pour aller le voir car j'avais adoré Garden State et la bande-annonce m'avait beaucoup plu.
    Tellement de sentiments sont venus à moi tout au long du film que je ne peux que lui mettre un 5/5. Zach Braff a réussi un chef-d'oeuvre comme il en a la recette et je suis bien contente que les fans aient réussi à financer ce film qui est tout simplement génial.
    Oriwa
    Oriwa

    63 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2014
    J'en attendais sûrement trop mais l'ambiance fraîche et poétique de Z. Braff opère toujours. Rêvons. Souvenons-nous à quel point ça va vite. Très beau casting et clin d'œil à une génération perdue.
    Nicano
    Nicano

    63 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2014
    Le rôle de ma vie aurait pu être excellent, excellentissime même, et presque se hisser au niveau de Garden State. La poésie et la qualité d'écriture de Braff sont toujours présentes. Un je-ne-sais-quoi sur chaque scène, chaque réplique, qui donne de la vie et de la magie tout le long du film, ou presque. Seulement, cette magie est plombé par un côté religieux du film beaucoup, beaucoup trop prononcé. Les 30 premières minutes du film nous assomment à coup de religion juive en veux-tu en voila. C'est lourd, trés lourd, surtout pour un type comme moi qui ne supporte pas qu'on parle de sa religion dans un film, et de Dieu par extension. Le problème, c'est qu'une fois que la poésie se met en place, on est déjà bien loin, on est déçu, et du coup, on a du mal à rentrer dans le film. De temps en temps, quand on est enfin heureux de notre visionnage, Braff nous ressert quelques minutes de religion juive totalement inutiles. Une seule de ces scènes est réussie.Mais rassurez-vous, c'est là le seul point noir du film. Le casting est astronomique : Zach Braff, Kate Hudson et Mandy Patinkin sont parfaits. Ce qui incroyable, c'est l'énorme tendresse qui ressort de l'interprétation du couple Braff - Hudson . On y croit vraiment. Josh Gadd est merveilleux lui aussi, quand aux gosses, campés par Joey King et Pierce Gagnon, sont impressionants. Enfin, Zach nous ressort des acteurs de Scrubs ou de Garden State pour notre plus grand plaisir : il est évidemment impossible pour un fan comme moi de ne pas citer l'apparition de Donald Faison, ou encore celle de Bob Clendenin, d'Alexander Chaplin, trés bon, et de Michael Weston, déjà présent dans Garden State. Et évidemment, d'un toujours aussi parfait Jim Parsons.Quand il ne parle pas de religion donc, le film est merveilleux. Des scènes lentes, douces, des plans typiques Braff, qui oscillent entre tristesse et joie sans jamais faire dans le tire-larmes ou le drame profond. Le changement de cet acteur au chômage nous émeut sur tous les plans, de sa relation avec sa femme, avec ses enfants ou sons frère, tout est beau, tout est réussi.Évidemment, la B.O. est magistrale. De sublimes mélodies au piano, des chansons très bien choisies. Et une fin très belle par sa simplicité.Bref, le rôle de ma vie reste une réussite. Malheureusement, Braff pêche par un excés de religion, et c'est vraiment dommage. Parce que quand le film reprend son propos, la poésie du réalisateur de Garden State opère encore avec brio.
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