Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Figaroscope
par La rédaction
Un film remarquable de noblesse et d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Marianne
par Alain Dreyfus
Claus Drexel n'est pas le premier à traiter de la grande exclusion, mais il est le seul à le faire avec un tel parti pris esthétique. Non par afféterie, mais parce que le Cinémascope permet à l'oeil de discerner avec netteté tant les corps défaits que la splendide dureté du monde de pierre qui les abrite et les repousse.
Paris Match
par Alain Spira
Exceptionnel, ce documentaire bouleversant nous force à regarder et à écouter ceux que l’on ne veut plus voir, tant ils nous renvoient à notre impuissance et à nos propres angoisses.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Totalement abouti, parfaitement unique dans son approche, Au bord du monde s’érige comme une absolue nécessité cinématographique et citoyenne, aux chemins croisés entre l’art de Goya, Zola, Dickens et l’abnégation humaine de l’Abbé Pierre ou Coluche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Marianne Fernandez
C’est qu’en réalité le documentariste substitue à ce geste un regard, un regard profondément humain et cinématographique, qui non seulement explore un espace méconnu, mais donne aussi à sentir le poids de ces vies marginales.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Chris Huby
Un documentaire splendide et vital.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Alexis Campion
Ce parti pris humaniste, esthétisant et assumé, ne sombre pas dans le geste lourd, il se teinte au contraire de reflets prégrants ou féériques.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ce parti pris humaniste et esthétisant, assumé, ne sombre pas dans le geste lourde, il se teinte au contraire de reflets prégnants et féériques.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Isabelle Regnier
Sous le charme, le spectateur ne peut détourner le regard, et n'en a nulle envie. Le temps du film, ces SDF ont quitté l'état de spectre. Ils sont devenus ses frères.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
“Au bord du monde” redonne la parole à ceux qui, en perdant leur logement, leur fonction sociale, leur famille parfois, s'en sont trouvés privés. Un film d'utilité publique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le film ne résout rien, bien entendu. Il nous convoque à un carrefour dense de questions humaines, politiques, sociales, avec une mélancolie qui est peut-être une ressource morale plus profonde que la simple indignation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Ariane Allard
Claus Drexel a bien fait d'opter, sur un tel sujet pour la beauté. Antidote au misérabilisme (...) un vrai souci, pourtant, altère cet élan : la voix off du cinéaste qui (...) fait basculer son film documentaire dans une dynamique de reportage.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Pierre Murat
Ils sont tous magnifiques, ces résistants éphémères. Dignes. Aussi beaux que cette ville, magnifique et froide, autour d'eux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Si le film cède parfois à la grandiloquence (…), il parvient néanmoins à provoquer avec justesse la survenance de ces figures de l’ombre.
Première
par Thomas Agnelli
Son documentaire capte des destins brisés sous les lumières de la mégapole et, à hauteur d'homme, rend une humanité aux oubliés de la société, ennoblissant un réel tragique.
Le Figaroscope
Un film remarquable de noblesse et d'humanité.
Marianne
Claus Drexel n'est pas le premier à traiter de la grande exclusion, mais il est le seul à le faire avec un tel parti pris esthétique. Non par afféterie, mais parce que le Cinémascope permet à l'oeil de discerner avec netteté tant les corps défaits que la splendide dureté du monde de pierre qui les abrite et les repousse.
Paris Match
Exceptionnel, ce documentaire bouleversant nous force à regarder et à écouter ceux que l’on ne veut plus voir, tant ils nous renvoient à notre impuissance et à nos propres angoisses.
aVoir-aLire.com
Totalement abouti, parfaitement unique dans son approche, Au bord du monde s’érige comme une absolue nécessité cinématographique et citoyenne, aux chemins croisés entre l’art de Goya, Zola, Dickens et l’abnégation humaine de l’Abbé Pierre ou Coluche.
Critikat.com
C’est qu’en réalité le documentariste substitue à ce geste un regard, un regard profondément humain et cinématographique, qui non seulement explore un espace méconnu, mais donne aussi à sentir le poids de ces vies marginales.
Ecran Large
Un documentaire splendide et vital.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Figaroscope
Ce parti pris humaniste, esthétisant et assumé, ne sombre pas dans le geste lourd, il se teinte au contraire de reflets prégrants ou féériques.
Le Journal du Dimanche
Ce parti pris humaniste et esthétisant, assumé, ne sombre pas dans le geste lourde, il se teinte au contraire de reflets prégnants et féériques.
Le Monde
Sous le charme, le spectateur ne peut détourner le regard, et n'en a nulle envie. Le temps du film, ces SDF ont quitté l'état de spectre. Ils sont devenus ses frères.
Les Fiches du Cinéma
“Au bord du monde” redonne la parole à ceux qui, en perdant leur logement, leur fonction sociale, leur famille parfois, s'en sont trouvés privés. Un film d'utilité publique.
Libération
Le film ne résout rien, bien entendu. Il nous convoque à un carrefour dense de questions humaines, politiques, sociales, avec une mélancolie qui est peut-être une ressource morale plus profonde que la simple indignation.
Positif
Claus Drexel a bien fait d'opter, sur un tel sujet pour la beauté. Antidote au misérabilisme (...) un vrai souci, pourtant, altère cet élan : la voix off du cinéaste qui (...) fait basculer son film documentaire dans une dynamique de reportage.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Ils sont tous magnifiques, ces résistants éphémères. Dignes. Aussi beaux que cette ville, magnifique et froide, autour d'eux.
Cahiers du Cinéma
Si le film cède parfois à la grandiloquence (…), il parvient néanmoins à provoquer avec justesse la survenance de ces figures de l’ombre.
Première
Son documentaire capte des destins brisés sous les lumières de la mégapole et, à hauteur d'homme, rend une humanité aux oubliés de la société, ennoblissant un réel tragique.