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Zabou2004
6 abonnés
150 critiques
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0,5
Publiée le 16 novembre 2015
Quelle bouse! Et surtout quelle honte de faire pleurer, que dis-je, hurler deux bébés d'à peine un an, pendant dix minutes, dès le début du film? Non seulement on se sent agressé par le bruit et on en prend plein les oreilles, mais en plus on imagine les misères que les metteurs en scène ont du faire subir à ces bouts de chou pour qu'ils puissent hurler à ce point, rouges et désespérés. C'est inhumain. Honte à la réalisatrice. Et en plus c'est mal filmé, mal joué et sans intérêt. Je viens d'effacer ce navet de ma box. Ouf!
Je ne vais pas au cinéma pour voir des acteurs faire des impros et se raconter eux même!! Je viens au cinéma pour qu'on me raconte une histoire, et pour voir des acteurs qui racontent autre chose qu'eux même !!!
Abyssal de bétise et pathétique quand ça veut faire rire. Les acteurs surjouent, le scénario est inexistant, bref c'est à pleurer d'ennui. S'il n'y avait pas eu une rangée entière de gens à déranger je serais partie après les 10 première minutes de hurlements de bébés !
Jamais vu une salle de cinéma s'emmerder aussi ferme devant un film. A la fin les gens causaient entre eux, sans se demander si cette chose pouvait intéresser qui que ce soit autour d'eux ! Et personnellement, à la vue du film, j'étais mort d'inquiétude à l'idée de ce qui allait arriver à Walter White dans le dernier épisode de Breaking Bad, mais pas vraiment de comment ces deux couillons allaient régler leur problème de garde alternée... Aussi inintéressant qu'un dimanche pluvieux en novembre. Et encore, la pluie au moins c'est joli.
Un film globalement pénible et sans intérêt excepté, pour certains dont je fais partie, celui de faire revivre des moments forts du 6 mai 2012... En somme, une journaliste totalement hystérique et son ex-compagnon (finalement un peu plus sensé qu'elle) passent leur temps à crier, les gosses braillent, le baby-sitter est aussi inconséquent que le jeu du comédien supposé l'incarner... bref c'est aussi long qu'un dimanche de second tour, l'espoir d'un dénouement heureux en moins... Pourtant, vers la fin, une ou deux scènes drôles et touchantes rattrapent un peu l'affaire.
A la fois original et réaliste, ce film met en scène des parents "bohèmes" séparés, qui se déchirent au sujet de la garde de leurs filles. Au-delà des nombreuses touches d'humour disséminées dans chaque plan et/ou séquence, il offre, grâce à l'arrière-plan omniprésent des "hollandais" et des "sarkozystes" en pleine ébullition le 7 mai 2012, une réflexion sur la solitude malgré la foule alentour, mais aussi sur la persistance (ou non...) des valeurs humanistes au moment du triomphe de la gauche. Sans aller jusqu'à dire que les personnages sont allégoriques de l'affrontement idéologique de la bataille électorale, on peut penser à ce père auquel on nie le droit de voir ses enfants spoiler: sans vraie raison , ou à ce baby-sitter rémunéré 45 euros pour une journée de travail de 13h à 2h du matin — une ironie grinçante à peine voilée. Plus personne n'est capable de communiquer, de s'entendre, tout le monde s'affronte pour des raisons aussi vagues que stupides, voilà une vraie vision de la société française actuelle. C'est rare au cinéma.
Deux étoiles pour la performance d'avoir tourné ce film en pleine immersion de la soirée de l'élection de F Hollande le 6 mai 2013 . Pour autant le parallélisme passé (entre le divorce de la nation et du couple ); on s'ennuie rapidement et même (comme piégé) un certain malaise s'installe !
rien ne va que c'est nul !! c'est quoi ce truc ??. dès le début t'a des enfants qui hurle de pleure, le père ultra bof, les journalites détestables, la méga foulle en déllire, rien n'as de sens tout est en mode pétage de plomb, a un moment un des gars montre ses fesse par la fenetre ?? me demandez pas pourquoi. la connerie continue SVP arretez le masacre je veux mourrir.
Et boum, encore un film français encensé par la critique et massacré par une grande partie du public... Pour une fois la critique "d'en haut" a plutôt raison contre la plèbe "d'en bas" (dont je fais partie !). Faut croire que le cinéma d'auteur, caméra à l'épaule et dialogues improvisés est désormais interdit aux jeunes réalisateurs français, surtout, circonstances aggravantes, lorsqu'ils tournent à Paris. Premièrement, malgré des maladresses évidentes, ce film n'est en rien un foutage de gueule mais un projet somme toute ambitieux, reposant sur une idée très stimulante. Deuxièmement, la Bataille de Solférino n'est pas qu'une bonne idée de court métrage bon pour le concours d'entrée à la Femis. Son fond politique illustre très justement l'idiome "la société est forte avec les faibles et faible avec les forts". Ce n'est pas tous les jours qu'un film pointe les inégalités scandaleuses entre sexe lorsque la garde des enfants est en jeu. Troisièmement, on conviendra que le parallèle entre la France politiquement coupée en deux et ce couple qui n'arrive plus à dialoguer est tout sauf idiot ou irréaliste, hélas... Quatrièmement, on reproche beaucoup à la réalisatrice d'avoir torché le travail et tourné à la va-comme-j'te-pousse... Pas complètement faux, mais pas totalement vrai non plus. A ce titre, l'intégration dans l'histoire de la foule parisienne réunie le 6 mai 2012 est très réussie et représente, de mon humble point de vue, un vrai tour de force technique. Enfin, si vous en avez marre des films qui se passe à Paris, ne les regardez pas (moi c'est New-York qui me passe par les yeux maintenant) ou prenez votre caméra et tournez des long-métrages dans nos belles villes de province.
a bataille de Solférino est un film bien imparfait, mais contrairement au flop pas chic de Tip top, il a le mérite de vouloir bien faire.
Le système que met en place la réalisatrice Justine Triet est diabolique : tourner un film dans la rue, lors d'un événement mémorable (l'élection de François Hollande). On voit la difficulté de la chose : toutes les scènes prévues dans le script pour ce jour-là doivent être tournées ce jour-là, quoiqu'il arrive.
D'où évidemment une pression maximale ce 6 mai 2012, avec un nombre de caméra impressionnant et un... la suite ici :
Insupportable! Une femme insupportable, hystérique et bordélique, confie ces insupportables enfants (l'une ne fait que pleurer pendant 24 heures) à un insupportable babysitter apathique. Sur ces entrefaites, le père insupportable, violent et ne ressemblant qu'à peine à un être humain débarque... Et personne ne s'écoute, tout le monde se coupe la parole... et c'est insupportable! On adore la performance des acteurs, la capacité à filmer en réel lors des festivités du 6 mai 2012 (y compris les militants – très drôles, les jeunes militants UMP de 14 ans qui assurent que, si, si, ils l'ont gagné leur argent) mais cette accumulation de bordel (d'énergie diront certains) est fatigante.
Archètype du film basé sur la mise en scène "mal foutue", actions prises sur le vif, entre fiction et documentaire, il a tout pour plaire à la presse. Pour le spectateur c'est hélas plus compliqué. On s'ennuie ferme.
Justine Triet nous offre un très bon premier long métrage avec cette histoire plutôt basique mais qui reste bien écrite, des disputes et beaucoup de cris pendant 1h30, j'ai trouvé ça très bon. La réalisation est très bonne, mise en scène est maîtrisée et ressemble quelques fois à un documentaire ce qui donne des choses très intéressantes mais peut être pas assez exploités. Les mouvements de caméra restent minimalistes mais Justine Triet arrive quand même a nous installer une ambiance de dispute. L'actrice principale est très bien mais Vincent Macaigne est exceptionnel et on déteste tous les personnages. Après je pense que le film prend parti politiquement et ça je trouve ça assez dérangeant mais ce n'est rien.