Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Critikat.com
par Clément Graminiès
Il n’est pas fréquent de voir un film conjuguer à ce point douceur et lucidité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par Hubert Lizé
Il y a quelque chose de frais, de sympathique — d’agaçant, aussi, pour le côté cinéma de bobos — dans ces chroniques intimistes racontées à la première personne par des personnages mal barrés sentimentalement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Julien Gester
On peut se demander pourquoi Betbeder s’embarrasse d’un tel fatras sociotypique. Puis constater que son cinéma très délicat, même affairé à la chronique générationnelle, n’a rien perdu de son sens du magique et de l’invisible depuis ses primes essais.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Le portrait pop et mélancolique d’une génération désenchantée mais romanesque à laquelle Vincent Macaigne apporte toute sa démesure de clown triste. La preuve éclatante que le cinéma d’auteur a aussi vocation à être populaire.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Comme l'amour qui, rendant hypersensible, provoque tour à tour euphorie et mélancolie, ce film maîtrisé, révélant un auteur à suivre, inscrit l'inquiétude dans la joie, s'avère successivement drôle et poignant. Donc irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Comme l'amour qui, rendant hypersensible, provoque tour à tour euphorie et mélancolie, ce film maitrisé, révélant un auteur à suivre, inscrit l'inquiétude dans la joie, s'avère successivement drôle et poignant. Donc irrésistible.
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Ce conte des deux saisons effectue la jonction entre le style de la nouvelle vague française et la comédie indépendante américaine pour un résultat savoureux, entre rires et émotion à fleur de peau.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Il y a de belles idées dans "2 automnes 3 hivers", de nobles intentions et parfois une humble ambition qui réchauffe le cœur du cinéphile désespéré par l'interminable hibernation du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Florence Ben Sadoun
C'est un film à prende comme il vient, comme un objet hybride qui ne veut pas forcément être un film, juste une expérience.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
Un ton original dans le paysage du nouveau cinéma français, comique malgré tout.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Comédie originale et joliment écrite (...)
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Romain Blondeau
"2 automnes 3 hivers" est un film d’époque, fugace, postmoderne, diablement séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Canevas de petites histoires de vies, tissé dans un maillage serré de citations, clins dœils et références, “2 automnes 3 hivers” joue à fond (mais avec une franchise plutôt aimable) la carte du mini-film générationnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Eric Vernay
Drôle de numéro que cette comédie romantique ultraréférencée citant aussi bien Alain Tanner que Judd Apatow, Nicolas Sarkozy ou Koh-Lanta, dans un patchwork truffé de regards face caméra à la manière de la Nouvelle Vague.
Transfuge
par Louis Séguin
De comédie romantique, "2 automnes et 3 hivers" se donne à voir comme une fable mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Cet entrelacement de narrations met un certain temps à s'incarner, la faute à une propension bien trop gourmande à compiler les clins d'oeil poseurs. Puis, lentement mais sûrement, le film arrête de faire le malin : le dispositif se relâche, une romance nimbée de noirceur prend coprs, la complexité des personnages se déploie sans faux col.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Sophia Collet
Ce coup d’essai tient plus d’un mix de l’air du temps, à l’instar de la série Bref.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le scénario, passé ses aimables références à Alain Tanner et à Eugène Green, accouche d'une souris.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Fabien Baumann
Mais comment ce "jeune" cinéma français se persuade-t-il qu'il innove et décape ? Il ne resuce indéfiniment que des conventions fatiguées d'il y a cinquante ans.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Critikat.com
Il n’est pas fréquent de voir un film conjuguer à ce point douceur et lucidité.
Le Parisien
Il y a quelque chose de frais, de sympathique — d’agaçant, aussi, pour le côté cinéma de bobos — dans ces chroniques intimistes racontées à la première personne par des personnages mal barrés sentimentalement.
Libération
On peut se demander pourquoi Betbeder s’embarrasse d’un tel fatras sociotypique. Puis constater que son cinéma très délicat, même affairé à la chronique générationnelle, n’a rien perdu de son sens du magique et de l’invisible depuis ses primes essais.
Paris Match
Le portrait pop et mélancolique d’une génération désenchantée mais romanesque à laquelle Vincent Macaigne apporte toute sa démesure de clown triste. La preuve éclatante que le cinéma d’auteur a aussi vocation à être populaire.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Comme l'amour qui, rendant hypersensible, provoque tour à tour euphorie et mélancolie, ce film maîtrisé, révélant un auteur à suivre, inscrit l'inquiétude dans la joie, s'avère successivement drôle et poignant. Donc irrésistible.
Télérama
Comme l'amour qui, rendant hypersensible, provoque tour à tour euphorie et mélancolie, ce film maitrisé, révélant un auteur à suivre, inscrit l'inquiétude dans la joie, s'avère successivement drôle et poignant. Donc irrésistible.
aVoir-aLire.com
Ce conte des deux saisons effectue la jonction entre le style de la nouvelle vague française et la comédie indépendante américaine pour un résultat savoureux, entre rires et émotion à fleur de peau.
Ecran Large
Il y a de belles idées dans "2 automnes 3 hivers", de nobles intentions et parfois une humble ambition qui réchauffe le cœur du cinéphile désespéré par l'interminable hibernation du cinéma français.
Elle
C'est un film à prende comme il vient, comme un objet hybride qui ne veut pas forcément être un film, juste une expérience.
L'Humanité
Un ton original dans le paysage du nouveau cinéma français, comique malgré tout.
La Croix
Comédie originale et joliment écrite (...)
Le Parisien
"2 automnes 3 hivers" est un film d’époque, fugace, postmoderne, diablement séduisant.
Les Fiches du Cinéma
Canevas de petites histoires de vies, tissé dans un maillage serré de citations, clins dœils et références, “2 automnes 3 hivers” joue à fond (mais avec une franchise plutôt aimable) la carte du mini-film générationnel.
Première
Drôle de numéro que cette comédie romantique ultraréférencée citant aussi bien Alain Tanner que Judd Apatow, Nicolas Sarkozy ou Koh-Lanta, dans un patchwork truffé de regards face caméra à la manière de la Nouvelle Vague.
Transfuge
De comédie romantique, "2 automnes et 3 hivers" se donne à voir comme une fable mélancolique.
TéléCinéObs
Cet entrelacement de narrations met un certain temps à s'incarner, la faute à une propension bien trop gourmande à compiler les clins d'oeil poseurs. Puis, lentement mais sûrement, le film arrête de faire le malin : le dispositif se relâche, une romance nimbée de noirceur prend coprs, la complexité des personnages se déploie sans faux col.
Cahiers du Cinéma
Ce coup d’essai tient plus d’un mix de l’air du temps, à l’instar de la série Bref.
Le Journal du Dimanche
Le scénario, passé ses aimables références à Alain Tanner et à Eugène Green, accouche d'une souris.
Positif
Mais comment ce "jeune" cinéma français se persuade-t-il qu'il innove et décape ? Il ne resuce indéfiniment que des conventions fatiguées d'il y a cinquante ans.