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Votre avis sur Magic in the Moonlight ?
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Il n'est pas besoin de faire d'effort pour entrer dans cette charmante fable bien dans la manière de Woody Allen- éternel jeune homme qui sait comme personne nous convaincre que la vie n'est qu'un jeu. Une histoire comme on les aime, avec un début et une fin, des enchaînements et des rebondissements bien amenés, un soupçon de suspense et, comme toujours, des dialogues ciselés et savoureux, la recette est efficace. C'est léger, enlevé, spirituel. Que du bonheur!
tony-76
1928. Invité par un ami proche à venir démasquer une jeune médium américaine apparemment capable de lire les pensées et de parler avec les morts, le prestidigitateur Stanley Crawford, accepte le défi. Il se rend donc dans un domaine de la Côte d'Azur, où il rencontre Sophie, qui démontre dès son arrivée des capacités étonnantes. Woody Allen nous étonneras toujours dans ces long-métrages. Une nouvelle comédie romantique pour ce cinéaste qui s'avère une oeuvre légère et brillamment bien écrit et bien joué. Il apporte une bouffée de mélancolie comparé à ces précédents films. Une intrigue qui se veut originale et des dialogues divertissants. Un bon rythme avec une bande son qui respecte parfaitement bien le thème. La grande beauté des paysages est aussi l'atout de cette production. Alors attention, on ne trouve aucun effet, aucun suspense, aucune action trépidante mais de longs dialogues et pourtant, on est passionné devant Magic in the Moonlight. Egalement, le charme de la photographie est sobrement éblouissante. Son humour est vif et ses personnages principaux sont très convaincants. Le tandem Colin Firth et Emma Stone est efficace. Pas un des meilleurs de Woody Allen mais un bon moment de détente. Une fois de plus chez Allen, la magie opère !
Une agréable surprise venant de ce film ! Captivant du début jusqu'à la fin ! J'ai également trouvé les
paysages magnifiques (il 'y avait pas de décors fabriqués) ! Les acteurs (Colin Firth et Emma Stones)
jouaient parfaitement bien, ainsi que les autres acteurs (Woody Allen, Eileen Atkins et d'autres...) !
Bref, ce film est une belle réussite !
Bravo, Woody...
paysages magnifiques (il 'y avait pas de décors fabriqués) ! Les acteurs (Colin Firth et Emma Stones)
jouaient parfaitement bien, ainsi que les autres acteurs (Woody Allen, Eileen Atkins et d'autres...) !
Bref, ce film est une belle réussite !
Bravo, Woody...
Petite cuvée 2014 pour ce W Allen très bavard, au scénario faiblard et au rythme soporifique. Si les acteurs sont à leur aise, le film ne décolle jamais de cette lenteur, de ce manque de surprise, d'audace et de génie si caractéristique à son réalisateur. Cette histoire de supercherie n'est qu'un banal prétexte à une amourette assez peu envoutante. De belles images, un peu de charme et puis c'est tout.
Après Blue Jasmine, Woody Allen revient à la classique comédie romantique loufoque comme lui seul sait faire. Pour se faire, il intègre à sa nouvelle aventure de nouvelles têtes blondes en la présence du toujours aussi flegmatique et pince-sans-rire Colin Firth, de la pétillante Emma Stone (de plus en plus éloignée des blockbusters pourris et ça fait du bien) et d'une flopée d'autres acteurs talentueux tels que Eileen Atkins, Marcia Gay Harden, Simon McBurney et Hamish Linklater, tous réunis autour d'un scénario rocambolesque situé dans la partie la plus ensoleillée du Sud de la France... Fin des années 20, un prestidigitateur renommé est appelé par un vieil ami pour démystifier une prétendue jeune médium sans cesse accompagnée de sa mère. Et si notre héros voit immédiatement en elles une belle supercherie destinée à arnaquer les plus fortunés, son magicien d'ami s'avoue vaincu. Ainsi parti en pleine Côte d'Azur, le dénommé Stanley Crawford, va tenter de percer à jour cette mignonne petite fleur qui en fait certes des tonnes mais qui semble contre toute attente détenir un pouvoir effectivement spécial qui pourrait mettre à l'épreuve le scepticisme de Stanley. Un pitch pareil, c'est du Woody Allen tout craché ! Et le réalisateur-scénariste va se faire plaisir en mettant en scène ce tandem sous tension où se mêlent animosité et admiration, arrogance et piques british, haine et amour. La mise en scène est quant à elle paradisiaque et rarement le vieux Woody n'aura proposé quelque chose d'aussi visuellement éblouissant : décors de rêve sublimés par l'impressionnante photographie du franco-iranien Darius Khondji (cette capacité à capter la lumière du jour est tout simplement surnaturelle), musique entêtante allant du jazz soft aux chansons de cabaret, dialogues truculents envoyés par chacun comme des joutes verbales sans pitié, interprétation au top du top (Colin Firth s'impose définitivement comme l'acteur le plus britannique de cette génération)... Le nouveau Woody Allen est comme d'habitude rafraichissant, l'auteur ne cessant jamais de nous surprendre tout en conservant son immuable patte et ce don unique pour partager des romances subtiles et originales, même en 50 ans de filmographie.
Un bon Woody Allen, agréable à regarder avec de très belles image de la French riviera des années 20, qui font penser à F. Scott Fitzgerald.
Des acteurs drôles et mis en valeur par une très belle lumière dans de très beaux décors.
De la dérision et de l’humour.
On peut s’en passer, mais quand on y est on passe un bon moment.
Des acteurs drôles et mis en valeur par une très belle lumière dans de très beaux décors.
De la dérision et de l’humour.
On peut s’en passer, mais quand on y est on passe un bon moment.
On retrouve ici tout ce qu'on a déjà vu dans le cinéma de Woody Allen, héros snob, le jazz, le tennis, amour improbable, réflexion sur l'art et les croyances. Il faut dire qu'avec "To Rome With Love" on avait l'impression de l'avoir perdu Woody meme si en 2013 son "Blue Jasmin" était génial.
En 2014 "Magic in the Moonlight" suit les aventures de Stanley Crawford, magicien pessimiste qui s'offre en spectacle pour masquer son incapacité à avoir une vie normale. Il va rencontrer Sophie Baker, jeune médium craquante, pour l'observer et découvrir si elle a vraiment un don ou si elle est un canular.
Mais on est pas dupe, la magie ce n'est pas la réalité ni la mort et Woody lui il l'a comprit, le résultat est fascinant dans son opposition au trafique du réel au réel lui même. Stanley (incarné par un superbe Colin Firth bien meilleur que dans "Le Discoure d'un Roi") lui ne croit pas une seconde qu'il existe quelque chose au delà du réel, or masquer la réalité est sa profession. Mais il n'est pas un personnage très Woodyien, lui il n'est pas lâche ou dépressif et encore moins pseudo intellectuel, c'est plutôt un comique, snob et coincé. Mais derrière la baguette Woody se cache, et il se lâche en Stanley, succombant aux besoins de la passion et reniant tout ce qu'il croit voir pour défendre sa propre nature.
Vu d'un autre angle "Magic in the Moonlight" est également dopé par sa mise en scène, paysagiste, sobre et épurée (saluons les costumes). Emma Stone incarne l'irrationnel et la tentation, elle n'a jamais été aussi bien filmée (même pas dans "The Amazing Spider Man 2" vous vous rendez compte ?), elle à tout un charme que Woody met bien sur en avant.
En bref "Magic in the Moonlight" est une excellente surprise, on passe un bon moment drôle, sensuel et minimaliste. Dommage qu'il manque juste cette petite chose pour en faire un grand film.
En 2014 "Magic in the Moonlight" suit les aventures de Stanley Crawford, magicien pessimiste qui s'offre en spectacle pour masquer son incapacité à avoir une vie normale. Il va rencontrer Sophie Baker, jeune médium craquante, pour l'observer et découvrir si elle a vraiment un don ou si elle est un canular.
Mais on est pas dupe, la magie ce n'est pas la réalité ni la mort et Woody lui il l'a comprit, le résultat est fascinant dans son opposition au trafique du réel au réel lui même. Stanley (incarné par un superbe Colin Firth bien meilleur que dans "Le Discoure d'un Roi") lui ne croit pas une seconde qu'il existe quelque chose au delà du réel, or masquer la réalité est sa profession. Mais il n'est pas un personnage très Woodyien, lui il n'est pas lâche ou dépressif et encore moins pseudo intellectuel, c'est plutôt un comique, snob et coincé. Mais derrière la baguette Woody se cache, et il se lâche en Stanley, succombant aux besoins de la passion et reniant tout ce qu'il croit voir pour défendre sa propre nature.
Vu d'un autre angle "Magic in the Moonlight" est également dopé par sa mise en scène, paysagiste, sobre et épurée (saluons les costumes). Emma Stone incarne l'irrationnel et la tentation, elle n'a jamais été aussi bien filmée (même pas dans "The Amazing Spider Man 2" vous vous rendez compte ?), elle à tout un charme que Woody met bien sur en avant.
En bref "Magic in the Moonlight" est une excellente surprise, on passe un bon moment drôle, sensuel et minimaliste. Dommage qu'il manque juste cette petite chose pour en faire un grand film.
Benjamin A
D'une ponctualité à toute épreuve, Woody Allen garde son rythme d'un film par an, ici son 43ème. Nous emmenant durant les années 1920 dans le sud de la France, il nous entraîne dans l'histoire d'un magicien rationnel qui va tenter de démasquer une prétendue médium.
La magie... thème souvent usé par Woody Allen lors de sa carrière allant d'"Alice" à "Scoop" en passant par "Le Sortilège du Scorpion de Jade". Ici la magie est évoquée comme opposé au rationnel et n'est finalement qu'une façade pour aborder l'amour, la mort, la vie, le scepticisme ou le destin, celui qu'on se donne ou qu'on subit et ce qu'on fait pour le modifier. Mais Woody Allen aborde aussi le cinéma, son cinéma et l'illusion dans l'art.
Finalement, derrière l'aspect romantique, Woody Allen est reconnaissable et ce dès le début avec cette musique jazz puis le générique proposant les noms d'acteurs dans l'ordre alphabétique. Ensuite il nous emmène dans le sud de la France suivre la rencontre entre ce magicien rationnel, égocentrique et sûr de lui et cette médium qui le pousse dans ses derniers retranchements. Opposé par leurs idéaux et leur croyance la plus profonde mais pourtant attirée et intriguée l'un par l'autre.
Fable plutôt sympathique et si Woody arrive tout de même à nous charmer et se faire attachant, ambigu, romantique et amusant, il n'en reste pas moins légèrement décevant, notamment par des personnages qui sont parfois enfermés dans une certaine caricature et un scénario prévisible qui finit par tourner en rond malgré, il est vrai, une ou deux péripéties amusantes.
C'est un peu dommage que ses quelques fausses notes viennent chamboulées une partition élégante et plutôt bien orchestrée car Woody Allen n'a pas perdu son talent pour conter une histoire, ni sa plume pour écrire des dialogues piquants et amusants. On peut aussi admirer les paysages et costumes très "carte postale" mais qu'Allen capte bien. De plus, Colin Firth, ici reflet de Woody Allen, est irrésistible en prestidigitateur qui ne raisonne que par rationalité et ne se laisse entraîner dans aucun débordement, tout comme Eileen Atkins dans la peau de sa tante.
Une fable charmante et agréable dans lequel on prend un certain plaisir à suivre ces personnages même si on peut regretter quelques défauts à commencer par un scénario qui ne convainc pas toujours, tous comme certains personnages, dommage.
La magie... thème souvent usé par Woody Allen lors de sa carrière allant d'"Alice" à "Scoop" en passant par "Le Sortilège du Scorpion de Jade". Ici la magie est évoquée comme opposé au rationnel et n'est finalement qu'une façade pour aborder l'amour, la mort, la vie, le scepticisme ou le destin, celui qu'on se donne ou qu'on subit et ce qu'on fait pour le modifier. Mais Woody Allen aborde aussi le cinéma, son cinéma et l'illusion dans l'art.
Finalement, derrière l'aspect romantique, Woody Allen est reconnaissable et ce dès le début avec cette musique jazz puis le générique proposant les noms d'acteurs dans l'ordre alphabétique. Ensuite il nous emmène dans le sud de la France suivre la rencontre entre ce magicien rationnel, égocentrique et sûr de lui et cette médium qui le pousse dans ses derniers retranchements. Opposé par leurs idéaux et leur croyance la plus profonde mais pourtant attirée et intriguée l'un par l'autre.
Fable plutôt sympathique et si Woody arrive tout de même à nous charmer et se faire attachant, ambigu, romantique et amusant, il n'en reste pas moins légèrement décevant, notamment par des personnages qui sont parfois enfermés dans une certaine caricature et un scénario prévisible qui finit par tourner en rond malgré, il est vrai, une ou deux péripéties amusantes.
C'est un peu dommage que ses quelques fausses notes viennent chamboulées une partition élégante et plutôt bien orchestrée car Woody Allen n'a pas perdu son talent pour conter une histoire, ni sa plume pour écrire des dialogues piquants et amusants. On peut aussi admirer les paysages et costumes très "carte postale" mais qu'Allen capte bien. De plus, Colin Firth, ici reflet de Woody Allen, est irrésistible en prestidigitateur qui ne raisonne que par rationalité et ne se laisse entraîner dans aucun débordement, tout comme Eileen Atkins dans la peau de sa tante.
Une fable charmante et agréable dans lequel on prend un certain plaisir à suivre ces personnages même si on peut regretter quelques défauts à commencer par un scénario qui ne convainc pas toujours, tous comme certains personnages, dommage.
Petite cuvée pour Woody allen ! Belle lumière et très bons acteurs mais de grosses longueurs
Une comédie romantique avec un point de départ original dans un cadre enchanteur propice au genre, mais qui piétine un peu. En effet on s'ennuie dans cette comédie moins drôle que d'habitude malgré son atmosphère légère très agréable, la faute à quelques scènes de dialogues franchement inutiles qui ralentissent un scénario malheureusement trop prévisible... Certes c'est beau (l'image et la lumière sont sublimes), les acteurs sont parfaits (comme toujours un casting qui fait plaisir), mais l'ensemble manque de rythme et les dialogues (d'habitude le point fort des films de Woody Allen) sont plats. Un joli paquet pour un cadeau un peu décevant...
Un grand Woody Allen, une belle reconstitution des années 20 et un casting soigné,sans oublier une bande son de qualité.
Woody Allen réaborde sa passion pour la magie et pour l'illusion en général, se laisse aller à une certaine nostalgie en nous plongeant, comme pour "Minuit à Paris", dans les Années folles, nous ressort sa playlist de classiques du jazz ainsi que quelques morceaux de musique classique, teinte l'ensemble d'amertume et de désabusement ; bref on est bien chez Woody Allen mais on est bien aussi chez un Woody Allen qui a perdu depuis pas mal de temps sa singularité.
Malgré un ou deux rebondissements bien agencés, on ne peut pas dire que le scénario stupéfie par son originalité. On sait très bien ce qu'il va se passer à l'avance, on n'est jamais véritablement surpris. A cela, on peut une réalisation pauvre. La photographie suréclairée est franchement laide, pas soignée du tout comme le prouvent par exemple les désastreux reflets de lumière qui sentent bon le bâclage lors de la scène où le personnage principal arrive chez sa tante. De plus, chose impardonnable pour le réalisateur, les dialogues s'avèrent fades, aucune punchline à l'horizon pour arracher un sourire, rien...
Heureusement que le réalisateur peut s'appuyer sur son casting pour sauver les meubles. Emma Stone et son joli minois n'ont pas grand-chose à faire pour me conquérir. Eileen Atkins est amusante en vieille tante bienveillante. Mais c'est surtout l'excellent Colin Firth qui est admirable de subtilité en personnage très allenien de cynique cartésien ou qui se veut cartésien qui ne veut plus croire en l'amour mais qui ne peut pas s'empêcher de le faire qui tire son épingle du jeu. Si ce film est à voir, c'est surtout pour Colin Firth. Lui ne déçoit pas.
Malgré un ou deux rebondissements bien agencés, on ne peut pas dire que le scénario stupéfie par son originalité. On sait très bien ce qu'il va se passer à l'avance, on n'est jamais véritablement surpris. A cela, on peut une réalisation pauvre. La photographie suréclairée est franchement laide, pas soignée du tout comme le prouvent par exemple les désastreux reflets de lumière qui sentent bon le bâclage lors de la scène où le personnage principal arrive chez sa tante. De plus, chose impardonnable pour le réalisateur, les dialogues s'avèrent fades, aucune punchline à l'horizon pour arracher un sourire, rien...
Heureusement que le réalisateur peut s'appuyer sur son casting pour sauver les meubles. Emma Stone et son joli minois n'ont pas grand-chose à faire pour me conquérir. Eileen Atkins est amusante en vieille tante bienveillante. Mais c'est surtout l'excellent Colin Firth qui est admirable de subtilité en personnage très allenien de cynique cartésien ou qui se veut cartésien qui ne veut plus croire en l'amour mais qui ne peut pas s'empêcher de le faire qui tire son épingle du jeu. Si ce film est à voir, c'est surtout pour Colin Firth. Lui ne déçoit pas.
Charmant et pétillant, ce nouveau film de Woody Allen est à la fois magnifique et magique.
La leçon du film, à savoir la magie de l'amour, mérite notre éloge. Très bonne soirée en perspective.
La leçon du film, à savoir la magie de l'amour, mérite notre éloge. Très bonne soirée en perspective.
On passe sincèrement un bon moment mais ça reste un woody allen très léger, quelques bons dialogues mais le tout reste assez plat, on sourit par moment mais ça ne va pas plus loin. Aussitôt vu, aussitôt oublié, comme la plupart de ses derniers films depuis match point.
Julien D
C’est sur les côtes niçoises que se poursuit le tour d’Europe de Woody Allen qui profite de ces paysages bordés de soleil pour reconstituer l’ambiance opulente des années 1920. A partir d’un canevas assez simple, assimilable à un polar fantastique qui va sans surprise prendre des allures de comédie romantique, le réalisateur-scénariste parvient, grâce à l’écriture de dialogues éminemment croustillants, à faire du face à face entre Colin Firth et Emma Stone un pur moment de cinéma. Et pourtant, la double intrigue, l’enquête et la bluette, n’ont rien de passionnantes en soi, tant leur résolution est prévisible et leur narration semble étirée. Mais c’est bel et bien dans la qualité des échanges, dans la façon de sublimer son actrice et dans le traitement astucieux de quelques-uns de ses sujets de prédilection (la magie, la religion, l’amour…), que Woody Allen fait, comme nul autre n’aurait pu le faire, de ce film léger une comédie atypique, certes loin des chefs d’œuvre qu’il a pu réaliser par le passé, mais, pour la condition que l’on adhère à son style bien entendu, toujours aussi agréable à regarder et qui a le mérite d’être fidèle à l’esprit de l’époque dans laquelle il nous plonge.
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