Note moyenne
3,9
28 titres de presse
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Gala
C'est joli, c'est bien écrit, on se retrouve dans cet univers allenien si familier, et on se laisse porter.
Les Fiches du Cinéma
Un prestidigitateur cynique rencontre une ravissante médium. Il doit la démasquer, elle parvient à lui faire croire en ses pouvoirs. Réalité ou magie de l'amour ? Woody Allen a la grâce.
TF1 News
Une romance élégante doublée d'un éloge du trouble où Woody parle avec enchantement de croyance, des illusions et de renaissance du sentiment amoureux tout en se laissant éblouir par la beauté de Emma Stone, sublimée comme Scarlett Johansson à l'époque de "Match Point".
Télérama
Magic in the moonlight est un film délicieux. Le plus délicieux des récents Woody.
20 Minutes
Chaque année, comme le bon vin, les films de Woody Allen font souffler un vent de folie douces dans les salles de cinéma. Le cru 2014, "Magic in the Moonlight", est vraiment délicieux.
CNews
Aussi drôle que beau, le long-métrage bénéficie en outre du talent du directeur de la photographie Darius Khondji (...)
CinemaTeaser
Les doigts pleins de sépia, Woody Allen s'amuse ici à jouer les maîtres de la comédie sophistiquée.
Closer
Une brillante comédie romantique comme seule Woody Allen en a le secret !
Critikat.com
"Magic in the Moonlight", comédie aux inépuisables ressorts scénaristiques, prend appui sur le plaisir étourdissant de la surenchère, la course effrénée vers le bord du gouffre émotionnel dans lequel il est tout aussi tentant que dangereux de se plonger.
Franceinfo Culture
Le ton et l’écriture de cette comédie, qui peut être qualifiée de romantique, renvoient eux-mêmes aux années 20 et ne sont pas sans rappeler Sacha Guitry. Merveilleux film, où la magie, métaphore du cinéma, opère à tous les niveaux. Woody Allen magicien !
L'Express
Voir le site de l'Express.
La Croix
Woody Allenn allie simplicité et maestria.
La Voix du Nord
Un aimable et ravissant divertissement aussi volubile que volatile.
Le Dauphiné Libéré
Sous une comédie romantique, les réflexions d’un humoriste agnostique sur les limites de la raison. Et les pouvoirs de l’illusion.
Le Monde
"Magic in the moonlight" est un film qu'il faut autant regarder qu'écouter, tant ses dialogues - signés Woody Allen - sont un pétillement permanent.
Les Inrockuptibles
Woody Allen, libéré du réalisme de New York, (..) crée une atmosphère à la fois comique, romantique, policière et littéraire, à travers une imagerie à mi-chemin entre Fitzgerald et Agatha Christie.
Marianne
Un enchantement doux-amer dans le vacillement exquis des certitudes, une fable moins légère et plus drôle qu'il n'y paraît...
Ouest France
Un divertissement léger, troussé avec une belle élégance.
Paris Match
C’est délicieux, ensoleillé, prévisible en diable, certes, mais comme un grand numéro de magie où l’on sait qu’il y a un truc, sans parvenir à mettre immédiatement la main dessus.
Première
Vu sous l'angle de la catharsis, "Magic in the Moonlight", qui se double d'une réflexion sur la mise en scène (...), distille une émotion supérieure, accentuée par l'interprétation tout en retenue de Colin Firth. Face à ce dernier, Emma Stone, (...) dans la lignée pour le coup, des grandes héroïnes alleniennes.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Voici
Emma Stone illumine cette fable romanesque et spirituelle qui, sur un ton léger, parle toujours des mêmes préoccupations alléniennes (Dieu, la mort et lui !).
Chronic'art.com
Sans renouer avec la franche médiocrité de "To Rome with love", Allen donne l'impression d'avoir perdu ses décors, ce contexte, cette épaisseur mondaine, urbaine, qui rendaient ses films new-yorkais si vibrants, et ses histoires si convaincantes.
Ecran Large
Malgré une mise en scène trop sage, "Magic in the Moonlight" ne manque pas de charme et de suavité
Le Journal du Dimanche
(...) on se régale de cette fable sans prétention, pétillante et maligne.
Libération
(...) On peut trouver ici une séduisante métaphore et quelque beauté à la subtile incarnation par son actrice de ce qui ravive le feu et la foi en les chairs mortes d’un cinéma vieillard lorsque celui n’entend plus croire en rien, sinon aux jeunes femmes (...).
Positif
Colin Firth excelle dans le rôle de l'homme glacial qui se fendille intérieurement [...] Le plus bel aspect du film: La lumière. Le chef opérateur devient un personnage du film.
Cahiers du Cinéma
Le récit n’est pas mû par l’émotion, mais par le didactisme. Et les quatre-vingt-dix-huit minutes de discussions enquillées sur le sujet « croire ou pas en l’invisible » en paraissent le double.