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    Le Géant égoïste
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    3,8
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    129 critiques spectateurs

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    ATON2512
    ATON2512

    58 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2013
    Un Grand Film social sur l'enfance et sa déshérence sans jamais (et c'est cela sa force!) tomber dans la caricature sociale et le misérabilisme. Très bien joué notamment par les deux gosses qui sont touchants de vérité . De plus la façon de filmer cette campagne industrieuse la rend presque belle ! Un film qui vous marquera !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 décembre 2013
    Prenez le risque de voir ce très beau film: l'interprétation est excellente, la photo et belle, le sujet et l'histoire sont touchant. On est surpris et ému sans être écrasé par le drame.
    Arbor est violent, voleur et menteur, il n'en fait qu'à sa tête, méprise ses professeurs et n'écoute pas sa mère. Ce qu'il veut c'est gagner de l'argent et passer du temps avec son ami Swifty. Cette reconnaissance qu'il ne trouve pas à l'école ou à la maison, il la cherche en travaillant comme un adulte dans le milieu des ferrailleurs qui l'exploite au lieu de l'aider à grandir.
    J'ai aimé ce film car il décrit bien les attentes d'un cœur qui n'arrive pas à s'exprimer et être reconnu et l’énergie de vivre malgré tout.
    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2013
    Ce n'est pas vraiment un conte de Noël! C'est une histoire qui dresse un portrait très glauque de l'Angleterre actuelle, après les exploits libéraux de Thatcher, Blair et enfin Cameron.. On ne peut qu'être admiratif devant la maîtrise de la réalisatrice qui traite plusieurs sujets simultanément, l'adolescence, l'amitié, l'école, le travail des enfants, les magouilles des ferrailleurs, les mères... (cette liste peut paraître bien lourde) sans que ce soit ni pesant ni didactique. Je ne vois pas pour ma part de réelle ressemblance avec Ken Loach. Bien sûr ils sont anglais tous deux, et traitent des sujets contemporains, mais il y a dans ce film une sensibilité différente. A voir absolument.
    adrien7514
    adrien7514

    44 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    Un très beau film social et saisissant qui dresse de très beaux personnages sans fioritures ni misérabilisme.
    Mondocine
    Mondocine

    75 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 décembre 2013
    La relève de Ken Loach est-elle assurée ? Sur la base d’une histoire forte prenant racine dans le sillon du cinéma social à l’anglaise, Clio Barnard signe un drame attachant au réalisme cruel et bouleversant. Ses deux jeunes pré-ados sont absolument fabuleux.
    Richard L.
    Richard L.

    15 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 décembre 2013
    Le géant égoïste ce doit être le producteur de ce film digne d'une série de télé-réalité sur la vie du lumpen prolétariat anglais, c'est long comme un jour sans fin. Je me suis rarement aussi ennuyé, heureusement que je suis abonné car dans le cas contraire j'aurais aussi regretté mes 9,50 euros.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    203 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 décembre 2013
    Le film nous montre bien la misère qui règne dans une partie de l'Angleterre et l'interprétation des jeunes acteurs est bluffante. On regrettera tout de même un scénario un peu trop linéaire et une chute assez peu crédible, vu le caractère du ferrailleur, le fameux géant égoïste. En se concentrant sur des familles de semi marginaux, ce film laisse aussi de côté la vie du reste de la population. Au sortir de la salle, je suis tout de même resté un peu sur ma faim.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 décembre 2013
    Ce film n'est vraiment pas un "film de Noël"...Il nous plonge dans le monde glauque du quart-monde du nord de l't plus d'une heure, on vient à douter du genre humain tant les personnages principaux sont vulgaires, incultes et agressifs...Vers la fin du film un événement fait jaillir de l'humanité chez ceux dont on pouvait croire qu'ils étaient à jamais perdus...À éviter si l'on est déprimé, film dur !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 décembre 2013
    Sans aucune fioritures ni édulcorants, Le Géant égoïste nous fouette le visage sans prévenir avec toute l'amertume d'une Angleterre ouvrière et misérable. Clio Barnard nous dresse un tableau d'un réalisme saisissant. Un film aussi immersif que bouleversant. à aller voir sans hésiter !
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2013
    Certes ce premier film de film de fiction d'une jeune cinéaste anglaise, Clio Barnard, n'est pas sans rappeler certaines oeuvres de Ken Loach et, plus largement, ce qu'on peut appeler le cinéma social du Royaume-Uni. Les personnages, les thèmes, l'environnement, tout nous est presque familier. Et pourtant, très vite, on a le sentiment d'avoir affaire à un film qui ne manque pas d'originalité et à une cinéaste qui n'est pas simplement l'épigone de ses illustres prédécesseurs. Il y a, dans "Le Géant égoïste", récit inspiré d'une nouvelle d'Oscar Wilde, un ton et une atmosphère qui lui confèrent des particularités, qui orientent le film vers autre chose que le seul naturalisme.
    Bien sûr, le constat qu'on peut dresser en voyant ce film est des plus désolants. Constat d'échec du côté du système scolaire, incapable de trouver d'autre solution que le renvoi quand elle a affaire à des gamins turbulents, insolents et déjà presque asociaux. Constat d'échec également du côté des familles. Voilà donc Arbor et Swifty, les deux gamins de ce film, livrés à eux-mêmes et pas mécontents d'échapper à la contrainte scolaire. Une relation étrange et dangereuse se noue bientôt entre eux et un ferrailleur nommé Kitten. L'honnêteté et la droiture n'étant pas les points forts de ce dernier, les deux gamins sont amenés non seulement à récupérer, mais à voler toutes sortes de métaux, y compris du côté d'une centrale électrique où, bien évidemment, les câbles ne manquent pas. Kitten accepte tout, du moment qu'on a pris soin d'effacer toute marque de provenance des matériaux.
    Mais l'un des éléments qui donnent une couleur particulière à ce film, c'est que Kitten, en dehors de son travail de ferrailleur, est également un amateur de courses de chevaux clandestines. Or Swifty, l'un des deux gamins, est également un passionné de cheval. Entre Arbor, qui ne songe qu'à gagner beaucoup d'argent en récupérant le plus possible de métaux, et Swifty, pour qui conduire un sulky et gagner une course l'emporte sur toute autre considération, une distance se creuse. Mais la camaraderie, sinon l'amitié, ne se perd pas si facilement, et quand Arbor se trouvera dans une position difficile, que fera Swifty sinon de lui venir en aide ? Et l'inéluctable risque de se produire...
    Clio Barnard a pris soin d'éviter les clichés, les points de vue simplistes, les personnages caricaturaux. On est surpris, à plusieurs reprises, par le comportement inattendu de tel ou tel protagoniste. Le ferrailleur ne se réduit pas à un salaud et à un profiteur. Swifty le tendre peut aussi faire preuve de dureté. Quant à Arbor, qui a l'air de se fabriquer une carapace, de se protéger ainsi de son environnement, de la misère et des violences, il a soudain de ces exigences ou même de ces accès de tendresse qui prouvent que, malgré les apparences, il y a bien, dans sa poitrine, un cœur qui bat. Il faut le voir exiger des policiers qui viennent chez lui l'interroger qu'ils ôtent leurs chaussures ! Et quand survient le drame, il n'est pas le dernier à être bouleversé.
    Ce film poignant, tourné dans le nord de l'Angleterre, dans une région dévastée par le chômage et la précarité, a été réalisé avec beaucoup d'intelligence et de sensibilité. Même les paysages sans charme prennent parfois des allures quasi fantastiques qui leur donnent de la beauté : des tours de centrale nucléaire dans la brume, des chevaux qui s'ébrouent entre des pylônes... Et l'on se dit que, peut-être, il y a un chemin qui conduit au mieux-vivre, même pour ceux qui semblent abandonnés de tous. 8/10
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    85 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2013
    Beau film que "Le Géant égoïste", drame sensible et réaliste sur l’enfance. Les deux jeunes acteurs offrent une belle complémentarité ; comme leurs personnages, on est passionné par la quête de la ferraille, occupation qui les sauve autant qu’elle les condamne, et on est agacé autant qu’attendri par Arbor, être hyperactif et égocentrique dont les semblables existent par centaines et provoquent en général une complète exaspération dans la vie quotidienne. Ce film permet alors de ressentir une empathie inédite pour ce genre d’individus. Les images sont belles, le scénario très intéressant et fort émotionnellement, quelques scènes sont particulièrement choquantes et remarquables ; sans être parfaitement inoubliable, "Le Géant égoïste" remporte de cette manière l’adhésion.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 décembre 2013
    C'est vu et revu, sujet casse gueule: mais vrai bon film, les enfants sont bluffants, avec une belle photo.
    Pas de pathos, la réalisatrice fait dans la simplicité et ça fait plaisir.
    dominique P.
    dominique P.

    836 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2013
    Un drame social anglais poignant.
    Ce n'est pas du cinéma pour rigoler.
    Flore A.
    Flore A.

    34 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2013
    Ce drame social dresse le portrait d'une région d'Angleterre sinistrée avec son lot de familles dépassées et d'enfants laissés à l'abandon. La fin est prévisible mais l'interprétation excellente, notamment le jeune interprète de Swifty. touche et émeut.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 décembre 2013
    Tiré d’un conte d’Oscar Wilde, le Géant égoïste revu par Clio Barnard est un conte de fée à l’envers. Plutôt une histoire d’un réalisme cru dans la pure tradition du cinéma social anglais labellisé Ken Loach. Arbor et Swifty, deux ados copains comme « pigs » vivent dans deux familles très pauvres d’un quartier forcément pauvre, d’une ville du nord qu’on imagine pauvre aussi...

    Irréductible et bravache, refusant autorité parentale et scolaire, Arbor croit pouvoir s’en sortir en refourguant des métaux, récupérés ou fauchés, à un ferrailleur pas trop regardant. Pour gagner la confiance du « géant », l’escalade des larcins conduira les deux copains à prendre de plus en plus de risques. La caméra filme superbement cet environnement anxiogène : caténaires, lignes à haute tension, centrale nucléaire…

    Ces scènes sont heureusement entrecoupées de jolis moments de douceur… ou de respiration tant le film est constamment sous tension ! Avec quelques paysages soignés comme des tableaux ; et surtout avec des chevaux qui ne servent pas seulement à transporter les matériaux, mais sont aussi source d’évasion et de complicité. Pour le reste, on cherche encore un rayon de lumière dans le ciel anglais.
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